SNIF… Ma vieille Dacia diesel ne vaut plus rien… Remarquez, je ne comptais pas la revendre. Je vais l’user jusqu’à la moelle. Pensez donc, vu le prix des voitures !!

En attendant, la part du diesel s’effondre et c’est une bonne nouvelle pour les poumons des Français et de nos enfants.

« Le diesel est à la peine tant sur le marché du neuf que de l’occasion. En octobre, 46 % des voitures neuves immatriculées roulaient au diesel contre 73 % il y a cinq ans. »
Si avant les voitures diesels se revendaient mieux, désormais c’est l’inverse. Les délais s’allongent et aujourd’hui, une version essence peut se négocier 2 000 euros de plus en moyenne que le diesel.

Cet article de France 2 explique que ce « désamour s’explique d’abord par le classement par l’Organisation mondiale de la Santé (OMS) des gaz d’échappement comme cancérigènes et le scandale du dieselgate il y a trois ans. Dans un marché de l’occasion où s’échangent six millions de véhicules, les conséquences sont redoutables. Comme dans un krach immobilier, les particuliers risquent de perdre beaucoup d’argent ».

Raté c’est pô ça ! 

Les gens s’en fichent comme d’une guigne de l’avis de l’OMS sur les particules fines.

Ils ne regardent que leur porte-monnaie et agissent logiquement à la manière des agents économiques, c’est-à-dire qu’ils font des calculs rationnels.

Si les taxes sur le diesel augmentent et que l’entretien des diesels est plus coûteux, alors les prix baissent et on se reporte sur les véhicules essence.

Cela va évidemment provoquer un « krach » sur le cours des véhicules diesels d’occasion le temps des 5 ans nécessaires à l’adaptation d’un parc de véhicules.

En gros, je vais être contraint de conserver ma Dacia…

Charles SANNAT

Source France 2 ici !

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