Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Aux Etats-Unis il y a une célèbre chaîne de magasins où tout est à 1 $ c’est la chaîne “Dollar Tree” et cette dernière va, selon CNN (source en anglais ici), augmenter ses prix au minimum de 25 %.
Vous avez bien lu.
25 %.
Nous sommes loin des prévisions lénifiantes de nos inspecteurs des finances de Bercy qui ne verront l’inflation qu’une fois le nez dedans comme les experts géopolitiques qui avaient vu venir la chute du mur de Berlin que quand les gravats leur tombaient sur la tête.
La société Dollar Tree, l’un des derniers vrais magasins à un dollar des États-Unis, a déclaré mardi qu’elle augmenterait les prix de 1 $ à 1,25 $ sur la majorité de ses produits d’ici le premier trimestre de 2022. Ce changement est un signe des pressions auxquelles les détaillants à bas prix sont confrontés.
La société ne pouvait plus vendre de très nombreux produits à ses clients en raison d’augmentation de prix et le blocage à 1$ n’était tout simplement plus tenable ainsi d’après le communiqué de l’entreprise à l’occasion de la publication de ses résultats trimestriels, “l’augmentation des prix donnera à Dollar Tree plus de flexibilité pour réintroduire ces articles, élargir sa sélection et proposer de nouveaux produits et de nouvelles tailles dans ses magasins”.
“Dollar Tree a également déclaré que la hausse des prix aiderait l’entreprise à augmenter ses marges bénéficiaires en « atténuant les augmentations historiquement élevées des coûts des marchandises », y compris les coûts de transport et de distribution, ainsi que les augmentations de salaire”.
“C’est le moment approprié pour s’éloigner des contraintes du prix de 1 $”, a déclaré le PDG Michael Witynski toujours dans ce communiqué.
Enfin, Dollar Tree a annoncé son intention de commencer à vendre des articles à 1,25 $ et 1,50 $ dans certains magasins pour la première fois. Il a également déclaré qu’il ajouterait des articles à 3 $ et 5 $ à plus de magasins, développant une stratégie antérieure consistant à proposer ces prix à certains emplacements.
Sous le poids de l’inflation et parce que la mondialisation n’est plus déflationniste, vous assistez à la fin des magasins à 1$ aux Etats-Unis. C’est un symbole important, un marqueur du retour durable de l’inflation.
Au même moment en Europe…
La ménagère allemande de moins de 50 ans tremble à l’idée du retour de l’inflation, une inflation que l’on voit poindre comme l’évoque le magazine Capital à 6 % ! Ce n’est pas rien 6 % quand votre épargne ne rapporte rien.
Encore une fois, vaut mieux stocker vos 5 000 euros d’épargne en raviolis qu’en euros sur votre livret A.
Chaque épargnant allemand perdra cette année 6 % du pouvoir d’achat de son épargne.
Ce n’est pas rien.
L’inflation est une taxe sur tous. Les riches évidemment qui possèdent de l’épargne, mais aussi et surtout les gens les plus modestes, car avec l’inflation, lorsque les gros maigrissent (ceux qui ont du gras et de l’épargne), les pauvres, eux, meurent de faim. Ici ils meurent des difficultés de ne plus pouvoir joindre les deux bouts.
Pour le moment les salaires n’augmentent pas.
Alors il faut jouer sur la localisation. Baissez vos charges, quittez les grandes villes où le smic, ou les salaires à moins de 2 000 euros nets pas mois, vous assurent une vie de misère, mieux vaut un smic en zone rurale ou semi-rurale que 1 800 euros en région parisienne. Nombreux sont ceux à faire le calcul et à sauter le pas.
Ce mouvement s’amplifiera avec la hausse de l’inflation.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire [email protected]
Pour écrire à ma femme [email protected]
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
En fin de compte , ce serra le peuple et les économies du peuple qui vont payer la facture de la mauvaise gestion des couillons qui nous gouvernent
Le petit trait positif c’est qu’il n’y aura peut être moins de GIFI avec ses chinoiseries qui ne servent pas à grand chose sinon a polluer pour de vrai.
Tout va bien ! Enfin! L’inflation n’est qu’un fantasme ! Tout va bien ! La piquouse est très très sûr ! D’ailleurs n’oubliez pas la troisième dose! Celle qui vous permettra plus de liberté ! Tout va bien ! Nous sommes un grand pays! Il n’y aura pas de tension aux urgences cet hiver ! Peut-être un peu chez les pompes funèbres mais la aussi tout va bien nous disposons d’assez de pelle mécanique.! Le bateau coule normalement. Tout va bien.
“mieux vaut un smic en zone rurale ou semi-rurale que 1 800 euros en région parisienne. ”
Quand je disais ça, en 2012, on me prenait pour un barge…
J’ai sauté le pas en 2013 et suis passé d’une grande métropole à une zone rurale profonde.
Il m’a fallu 2 ans pour m’adapter complètement, mais je ne reviendrais en arrière pour rien au monde.
Désormais désendetté, autonome professionnellement et personnellement, je ne peux que conseiller à chacun d’y réfléchir intensément : le temps libre, la nature, les amis et l’indépendance financière, ça change la vie. La vôtre et celle de toute votre famille.
Si tout cela permet une relocalisation –même partielle — de certaines productions alors tout ne sera pas perdu pour notre ex beau pays…
Ne serait-ce pas lié à l’endettement des états dû au virus chinois ?
+20/25% de dettes d’état, “corrigées” par +25/30% d’inflation
Déjà vécu à la campagne.. Tout était plus cher.
Peu de magasins donc monopole et surtout la nécessité d’une voiture ce gouffre sans fond.
C curieux de vouloir convaincre tout le monde à ce point.
Ceci dit, tant mieux, les villes seront plus paisibles.
Mais faire croire que hors logement (dépend aussi de où on loge) la vie est moins chère à la campagne .
Autre chose.. Les études des gamins… Transports.. Pour ça que nous avons quitté la campagne. C cher un studio à louer.
Jamais vu autant de gens picoler, fumer.. Ds les campagnes.
J’étais infirmière du travail à l’époque.. Un vrai fléau !
Vous connaissez beaucoup de jobs payés au SMIC pouvant s’exercer en télétravail?
Bonjour, ici dans les bazars ou marchés les articles à 1 € sont tous passés à 1,50 € ! c’ est téméraire et cela ne reflète pas la réalité : ces ” commerçants ” risquent d’ avoir une diminution drastique de leurs CA, même en visant une marge plus profitable . Restons raisonnables, et réaliste et respectez le consommateur !
Heureusement les privileges de nos aristocrates republicains seront preservés….
D’accord avec Ben.
C’est quoi cette idée que tout est moins cher à la campagne. C’est faux.
Sauf peut-être à habiter au fin fond de la France profonde mais il faut la voiture, toujours la voiture.
Donc le compromis est entre le logement et la voiture.
Donc enrichir un promoteur immobilier ou un constructeur d’autos et les pétroliers.
De plus l’alimentation n’y est pas moins chère.
Leur technique d’augmentation de prix n’est pas très astucieuse, il aurait été préférable de faire “tout à 1 ou 2 dollars” et de faire glisser progressivement vers 2 dollars, c’est plus discret, psychologiquement plus acceptable et cela évite les changements incessants de prix qui ne manqueront pas d’intervenir rapidement … Avant de passer à tout à 5 dollars (voire plus si affinités) !
La planche savonneuse avant la chute, misère pour beaucoup
Dans cette équation ville vs campagne, il faut mettre tous les éléments du système, je vais reprendre ceux déjà présentés en commentaire, et pondérer. Je précise que j’ai vécu en grande métropole et vis désormais à la campagne :
En campagne, en dehors de la voiture personnelle, les accès aux transports sont difficiles. Il FAUT une (ou deux) voiture(s).. pour … quasi-tout. C’est plus cher qu’un abonnement de transport en commun.
La vie quotidienne n’est pas moins chère, les supermarchés et superettes sont économiquement plus chères que les hyper.
Les tentations d’achat compulsifs sont moins présents qu’en ville, donc théoriquement on achète moins de chinoiserie, mais bon, avec un PC ou un Smartphone, tout le monde a accès à l’achat compulsif sur amazon désormais.
Les accès au soin sont moins évidents, mais on apprend une plus grande résilience aux bobos du quotidien. Il faut prévoir qu’un accès aux urgence ou à la maternité va prendre 40 minutes de transport. Quand on vient de se luxer un membre, ou que les contractions se précisent, c’est très long, mais pas vital. Sur les problèmes d’urgence vitale, il n’est pas rare de voir l’hélico de la sécurité civile se pointer, donc “on est couvert” tout de même, statistiquement parlant (je le vois atterrir pas loin de chez moi 1 à 2 x par an, faudrait pas qu’il ait à choisir entre 2 urgences au même moment).
L”achat de son habitat est nettement moins cher, remboursé plus rapidement à la banque, mais la contraposée du coût réduit se retrouve dans 2 bagnoles à entretenir et une forte dépendance au pétrole.
J’ai un potager, des arbres fruitiers, un terrain de 5000m à entretenir, 2 moutons 6 mois dans l’année sur le terrain et 6 mois dans le congel, avec une étape intermédiaire où j’apprends à mes enfants que la viande ne pousse pas dans des barquettes en polystyrène. J’ai pas le temps pour Netflix, et c’est pas plus mal.
En campagne, on peut encore choisir son mode de chauffage. Le chauffage au bois reste autorisé, et avec un petit bout de lopin de bois sur son terrain, on devient quasi-autonome si on s’y prends bien. Pas de dépendance au gaz ou au pétrole, mais c’est évidemment plus spartiate (dans mon cas j’ai un chauffage solaire thermique, assisté par une chaudière fioul, je crame toujours 500l de fioul l’hiver pour le chauffage et l’eau chaude sanitaire – soit 100l par habitant de la maison).
Le niveau scolaire n’est pas pire qu’en ville, j’aurais tendance à dire que jusqu’au collège il est même meilleur.
Le virus circule moins qu’en ville, mais les gens font aussi moins attention ; normal, tout le monde pense que le virus, c’est pour la ville et pour les autres.
Je limite les sursollicitations mentales permanentes de la ville (même si on les retrouve sur son écran de smartphone désormais), ça me laisse du temps pour réfléchir, lire, comprendre un peu mieux le monde. Hors sujet : cette hygiène mentale me permet d’appliquer les Geste Barrière indispensables : je ne regarde pas la télévision, ce qui me permet de prendre le recul nécessaire au visionnage des notifications BFM qu’on reçoit malgré tout sur le tel, pour peu qu’on ne les supprime pas avant.
Bref, mon ressenti c’est que la ville c’est le stress, les sussollicitation, la vie hors-sol, l’accès à tout, tout de suite, pour peu qu’on ait un pass sécuritaire en règle. Une vie efreinée, sans possibilité d’enlever les oeillières, et pour peu qu’on essaye, on est rattrapé par un Big Brother qui ne dit pas son nom.
La campagne c’est avoir le privilège d’une plus grande autonomie, moins de lobotomisation si on n’y prends pas garde. Mais est-ce généralisable à 8MM de personnes, j’en doute.
La présentation de cette équation semble présenter un certain parti-pris pour la campagne, et je ne nie pas l’intérêt de la ville. Le meilleur compromis, et c’est celui que nous avons choisi ma femme et moi, c’est la vie dans une petit village en province, avec une forte dynamique associative (le covid met des baffes, mais on se relève toujours), une maison, du terrain, 2 grandes villes à moins de 40kms avec une dynamique économique locale et régionale nécessaire et suffisante pour pouvoir y travailler, et mener l’éducation de nos enfants en fonction de leurs souhaits d’évolution dans de bonnes conditions ; des métiers quelque peu stressants, mais intéressants (quête de sens) à 25 et 35kms de la maison, qui nous permettent une pseudo liberté et sécurité financière aussi (une paire de smic chacun/mois dans des entreprises pour l’instant solides). Bientôt la fibre généralisée sur le territoire. L’accès à la nature juste en ouvrant la porte.
L’inflation nous touchera sûrement (coûts du pétrole !), mais on pourra y faire face avec une plus grande résilience (comme dit Charles : un homme averti, un homme préparé, etc…).
Rien n’est jamais acquis, tout va de plus en plus vite, le déclassement peut toujours arriver. La campagne c’est la carte d’assurance supplémentaire pour organiser sa résilience. Si le chômage, un accident de la vie nous touche, les coûts de l’énergie ou de l’alimentation flambent, on peut plus facilement réorganiser ses priorités qu’en ville, faire un plus grand potager, couper plus de bois pour l’hiver suivant, s’investir dans des actions qu’on a toujours voulu faire sans franchir le pas et trouver un nouveau sens, etc…
La seule richesse dont tout homme dispose de manière équitable en arrivant sur terre, c’est le temps, le temps présent, et associé aux intérêts que l’on porte aux choses qui nous entourent, on peut tous en faire quelquechose , pour soi ou pour les autres (association, éducation, etc ; cf confs d’Idriss Aberkane et son équation apprentissage = temps * attention pour ceux que ça intéresse). La campagne est une manière d’optimiser le temps dont on dispose, aller à l’essentiel, ne pas le gaspiller à cramer son cerveau à des sollicitations qui ne nous apportent rien finalement (ville, BFM, Netflix, allocutions pestilentielles, le débat peut s’élargir). Ca aide très certainement à avoir un temps de meilleure qualité avec et pour ses proches, ses amis, qui deviennent une entre-aide réelle quand les temps se durcissent.
Alors en ville comme à la campagne, quand on regarde les confs de Jean-Marc Jancovici qui pullulent (et qui sont nécessaires!), on se dit c’est foutu partout. J’ai espoir qu’à la campagne les choses se passeront mieux, les bases y sont moins fragiles qu’en ville à mon sens.
Évidemment vouloir vivre comme un citadin à la campagne n’a aucun sens.
L’intérêt d’avoir un peu de terrain c’est d’avoir des arbres fruitiers, un potager, des poules…
Produire son bois de chauffage économise aussi la salle de sport.
À la campagne on bénéficie aussi d’une cour et/ou de bâtiments pour entretenir soi même ses véhicules, outils…
Par chez nous il y avait également des boutiques où l’on trouvait pas mal de choses à 1 euro, mais cela fait bien longtemps que cela ne se trouve plus …..
@ben et daniel Monetti.
C’est sur que si vous habitez à la campagne et que vous entretenez toujours des desirs de citadin, rester à la ville car pour son bowling ou un cinoche faut prendre sa caisse et faire des bornes. Si vous avez toujours l’ambition de faire vos courses au supermachin du coin, c’est pareil.
Par contre si vous commencer à cotoyer les producteurs du coin, un ami boucher ou un chasseur, mieux, que vous en etes et bien ça coute plus grand chose de se nourrir correctement et sainement mais ça demmande un petit effort comme faire sont potager, avoir des poules. Mois par exemple en plus j’ai quelques moutons, pas beaucoup, six. Mais ça suffit pour avoir des agneaux à bouffer et quelques uns à revendre pour amortir les frais et payer les impots font chier.
Ça tombe pas du ciel c’est un art de vivre et c’est tres faisable….
Pour info j’habite à 20 min d’une ville de 120000 hab. Donc je suis pas perdu au milieu du trou.
Rien à voir avec l’inflation (encore que !) mais je conseille à tous d’investir 4,40€ dans la location web du documentaire HOLD ON (l’excellente et bouleversante suite de HOLD UP) visionnée hier et qui devrait être prescrit à tous et remboursé par la sécu… À visionner en famille, entre amis, voisins, poules de cristal et gens qui se veulent du bien, c’est un investissement minime qui pourrait rapporter gros… Et si vous ne pouvez pas offrir un lingot à votre mari pour Noël, voici une idée bien d’actualité… Portez-vous bien, il n’est jamais trop tard pour se réveiller.
2 choses à dire : 1 – ceux qui ont mis en place ces régimes depuis 1973 et surtout 1981 commencent à réaliser qu’ils ne gagneront plus ou moins et payeront (eux ou leurs enfants et 2 – ces régimes ne parviennent plus à mentir autant sur les données économiques comme d’ailleurs leur mythe covidien. Bref la roue tourne, depuis qu’on le leur dit.
100 % d’accord avec Loïc et son long commentaire.
En rural la vie est moins chère, même si la voiture est obligatoire. Les bobos des villes me rétorquent qu’on s’emm… à la campagne (musées, expos, boîtes de nuit…) certes, mais c’est une autre vie : on a troqué les parcs d’attraction pour le VTT en forêt, le Monopoly ou le Cluedo les jours de pluie… le bricolage sans se faire houspiller par le voisin. ” Mangez moins gras, bougez plus “, aucun problème, les légumes du jardin s’apprécient nature, et le jardin… ça fait bouger. Quant au bois, ça chauffe deux fois : une fois quant on le coupe, une fois quant on le brûle LoL
Mince. Je vis avec 1800€ en région parisienne. Avec un jeune enfant.
Mince. La claque dans la figure.
Mais le départ n’est pas aussi facile qu’on le pense. 5 ans que j’y travaille. Mais rien n’y fait.
Merci pour cet article excellent Charles !
Ce genre d’ “inflation”, n’est-ce pas le signal des chars qui entrent dans les villes ?
Dans votre commentaire vous écrivez qu’avec l’inflation les riches maigrissent …
Vraiment ?
Bourse de Paris :
CAC 40 au 01/01/2021
5551 points.
CAC 40 au 25/11/2021
7063 points.
.Hausse + 27% du cours des actions depuis le début de l’année 2021.
Où trouvez-vous un amaigrissement des riches ? Réaliste
.
Pendant longtemps on a pu imprimer à gogo car la pression inflationniste etait compensée par la pression déflationniste engendrée par l’essor de la production chinoise. Que va-t-il se passer maintenant qu’on imprime tjrs plus, que le pic oil arrive, et que la chine tend à se recentrer sur elle même voir pire à l’avenir?
Ach!nos voisins et amis les casques a pointes vont venir en Alsace !!car chez nous il n’y a pas d’inflation, mais chez eux 3 fois plus, ce n’est pas très sérieux.! Les alsaciens vont toujours en masse faire leurs courses a Kehl ,donc , il y a quelqu’un qui ment au niveau de l ‘inflation et les allemands sont diriges par des gens sérieux et pas par un bande de branquignoles.!
J’ai vécu 6 mois à Paris, j’apprécie d’autant plus ma campagne normande avec mes arbres fruitiers, mon potager et mes poules. Les ballades en vélo sont revigorantes et je ne cesse de songer que j’ai bien de la chance. Le revers de la médaille c’est qu’on est esclave de la voiture.