Hier, je vous parlais de l’édito plein de colère froide de Patrick Cohen dans C à vous au sujet du chaos qui régnait dans l’ensemble des transports parisiens transformant le quotidien des habitants franciliens en un enfer.
Alors quand les choses deviennent tout simplement insupportables et bien les gens finissent par en avoir marre d’en avoir assez et ils votent alors avec leurs pieds, prenant armes et bagages et partant vivre ailleurs, loin des délires des ultras-Parisiens.
C’est le cas d’Elisa une ingénieure parisienne de 27 ans, qui a quitté la capitale et qui a déménagé dans le nord de la France il y a un an. « Je pense que le premier facteur, c’était l’aspect financier, confie-t-elle. Je ne m’y retrouvais plus du tout. Je devais rembourser mon prêt étudiant et comme je n’étais pas assez bien payée (1 900€ nets) pour vivre à Paris, je dépensais 50 % de mon salaire pour mon loyer. Dès le 10 du mois j’étais dans le rouge. »
« Ma vie, c’était métro, boulot, dodo. Les transports parisiens, le monde, le stress… Je n’en pouvais plus. J’avais l’impression que ma vie commençait le vendredi soir et finissait le dimanche soir. »
En réalité, financièrement, Paris vous oblige à partir, c’est plus Paris qui vous quitte que l’inverse. La triste vérité, c’est qu’effectivement quand on est célibataire et que l’on gagne moins de 3 000 euros par mois à Paris, on est pauvre, en raison du coût prohibitif de la vie. Le moindre loyer est à 1 000 euros, vous êtes imposable et payez des impôts sur le revenus, si vous avez 500 euros par mois de crédit étudiant à rembourser, et que vous gagnez 2 000 euros, il ne vous reste même pas 500 euros pour terminer le mois.
Cela implique plusieurs choses auxquelles il convient de réfléchir.
Tout d’abord le retour sur investissement des études payantes et onéreuses est très loin d’être une évidence désormais.
Ensuite, à Paris les salaires ne sont plus si élevés que cela, et surtout, avec un SMIC à 1 500 euros avec les dernières revalorisations, n’importe quel boulot en province permet un reste à vivre supérieur quand les loyers sont faibles (ce qui est le cas par exemple dans mon petit coin de Normandie où l’on peut se loger pour 300 à 400 euros par mois)
Enfin, la qualité de vie à Paris se dégrade à une telle vitesse que l’attractivité de la ville s’effondre. Insécurité, coût de la vie, transports vivant un naufrage, et finalement impossibilité de profiter des spectacles, des sorties à moins d’être très riche et de faire partie de la start-up Nation du jeune phare du Palais et de gagner 200 000 euros à l’année.
Résultat, comme le dit le Figaro dans cet article qui nous parlait d’Elisa…
Quitter Paris pour aller vivre en province ? Rien de plus classique en 2022.
“Ce phénomène d’exode des parisiens n’est pas nouveau. Toutefois, la géographie de l’emploi post Covid-19 montre une évolution historique, selon le baromètre Arthur Loyd de l’attractivité, résilience des métropoles françaises et de la transition des territoires, qui pourrait expliquer un renforcement de l’attractivité des petites villes.
Selon cette enquête, «pour la première fois, les territoires à taille humaine, hors de l’influence des grandes métropoles, observent une hausse d’emplois supérieure à la moyenne française.» Des départements situés en zone rurale, éloignées des pôles urbains. S’agit-il d’un effet “exode urbain” post-Covid que la démographie ne démontre pas encore, s’interroge les auteurs du baromètre ? Ou les prémisses d’une démetropolisation ? Ou encore les bénéfices des politiques publiques de redynamisation des territoires ?
La transition écologique dope l’emploi dans les territoires
Alors que la création nette d’emplois sur 10 ans représentait 15 % dans ces territoires sans grandes villes, elle a aujourd’hui atteint 42 %, c’est-à-dire près d’un emploi sur deux en France. Cette situation est inédite : «l’Ile-de-France ne tire plus la croissance de l’emploi en France. La Région capitale, représentant auparavant 35 % des créations d’emplois, n’en génère plus que 17 %.»
Et oui, si la grande ville était l’enfant de l’industrialisation qui nécessitait de regrouper beaucoup de bras dans le même lieu, la situation actuelle provoque le mouvement inverse. Les grandes villes sont devenues invivables et s’effondrent sur elles-mêmes. Les “vrais” Parisiens ne sont pas majoritaires, et nombreux sont ceux qui viennent d’ailleurs, d’une campagne, d’une province.
Il y a encore, en beaucoup de nous, des restes vivaces de campagnards. La France et les Français sont génétiquement des ruraux.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Source Le Figaro.fr ici
Vous avez vous-même fait le choix clairvoyant il y a déjà quelques années d’aller vivre avec poulailler, grenier en Normandie.
Je vous ai imité et ne le regrette pas.
Aujourd’hui, nos jeunes sont chassés des grandes agglomérations par une conjugaison de facteurs escrologiques (vignettes critair et tout le tintouin bobo-escrolo), au profit de migrants qu’on commence à loger dans des châteaux, à la place de jeunes qui galèrent entre jobs précaires, mal payés et la vie avec une inflation supérieure à 20% (source le grenier).
Comment cela va-t-il se terminer ? mal ???
Que ceux qui ont voté Foutriquet 1 et 2 s’interrogent.
A condition de trouver du travail en province…
Je viens de me reconvertir comme data scientist, et c’est la galère… pour un job qui est sensé être porteur.
Les Frôôôôôônçais ?
De gentils matous, génétiquement programmés pour se plaindre et se vanter, dirigés par des hyènes !!!
Il ne restera que les “hauts” fonctionnaires logés gratuitement dans les immeubles haussmaniens….
Ma fille vit à Paris avec 1500 euros net, une chambre louée 400, plus les charges, pass navigo pour le métro, abonnement de train pour ses retours fréquents en province où elle loue une autre chambre à 300 euros, plus les charges, et elle s’en sort ! Bien sûr, il faut avoir le sens de la débrouille, se contenter de peu, réfléchir à chaque dépense et ne pas être ultra consommateur. Elle arrive même à se payer des spectacles régulièrement, à sortir avec ses copains. Elle fait des choix et priorise les dépenses, pour autant elle mange à sa faim et se chauffe bien. Elle fait même des économies !!! Je ne sais pas comment, mais elle y arrive et ne se plaint jamais.
Je n’ai jamais voulu travailler à Paris et je crois que j’avais du flair…
Que les parisiens viennent en province, soit, mais qu’ils acceptent les bruits de la campagne, le coq les poules et la cloche de l’église!
J’ai quitté Paris et je me suis jamais autant appauvri en raison des distances.
Nous avons été obligé d’acheter 2 voitures, et mon épouse travaille à 220 km AR.
Je ne reviendrai pas sur Paris qui était ma ville en raison de l’insécurité, c’est devenu une ville moche. Des trottinettes, des vélos partout qui vous oblige à faire attention aux moindres pas
“1900€ /mois pour ingénieur”
23K€ c’est un ingénieur en carton!!!!
Dans ma boite en sortie d’école on embauche à 42K€ brut
Monette de là-haut : à votre place je me poserais des questions, car ce que vous dites ne tient pas la route ! Votre fille a forcément d’autres revenus…
P&C : Partir en province, c’est remettre en question ses choix de vie et sa profession. Sinon autant rester dans la métropole.
Le retour à la ruralité est le symptôme d’un basculement civilisationnel qui s’amorce…
P&C : Partir en province, c’est remettre en question ses choix de vie et sa profession. Sinon autant rester dans la métropole.
Le retour à la ruralité est le symptôme d’un basculement civilisationnel qui s’amorce…
Une raison importante de quitter Paris survient quand on décide d’avoir des enfants…
Si bien que de plus en plus de jeunes couples s’installent à la campagne pour l’épanouissement de leurs enfants.
Ainsi, tout doucement la France se repeuple…
Sauf que l’école obligatoire et les vax obligatoires poussent des familles à l’exil …
Provincial viscéral, j’ai quitté Paris et l’IDF après 20 ans de douleurs, de frustrations et de compromis; j’ai redécouvert la vraie vie. Je vivais à Reims mais l’exode des parisiens à Reims commence à faire monter les prix et il commence à y avoir trop de monde ici. Cette fois-ci je pars définitivement dans la campagne en mode télétravail à 100%. Je vis dans un village perdu au creux d’une petite vallée et je m’y sens bien. La vie y est relativement bon marché, les artisans pratiquent des prix très raisonnables, je vais acheter ma viande dans telle ferme, les produits laitiers dans telle autre et les légumes de saison dans une autre… Je suis heureux et mon niveau de vie s’élève, que demander de mieux ?
Partir loin des métropoles oui, ou bien partir à l’étranger où il a parfois de belles opportunités de carrière.
Vous oubliez le cout des contraventions de stationnement : un dépassement de 2 minutes et vous devez payer plu de
QUARANTE EUROS (40 €)
A l’origine, les ville ont été créées comme par exemple les ville hanséatiques( Brême, Cologne, Hambourg, Bruges…) pour gérer et distribuer les excédents des productions agricoles et toutes les activités d’artisanat et d’administrations s’y sont ajoutées. Dés lors qu’il n’y a plus d’excédant mais des pénuries, la ville pert tout son sens et s’effondre effectivement, Paris n’est pas la seule!
J’habite en plein Paris et j’ai 2 enfants en bas âge. Oui le logement est cher et la vie est globalement dense. Elle est aussi mal gérée sur de nombreux aspects. Dont acte. Mais on y apprend la résilience que vous chérissez tant et elle est aussi pleine d’opportunités. Et honnêtement plus forcément si hors de prix. Mes derniers déplacements à Lyon et Bordeaux m’ont fait mal au portefeuille, les restos sont plus chers là-bas! Quant aux villes moyennes, le retour de bâton de l’augmentation du coût de l’énergie va en faire déchanter plus d’un. Paris est l’avant garde de ce qui arrive 5-10 ans plus tard ailleurs. A votre disposition pour un témoignage d’un urbain parisien 🙂
Allez !!! une p’tite place dans le château de Grignon ??? non ?? ha elle est blanche et chrétienne ??
Ha là aucune chance possible …
Comment noircir à dessein…
J’ai des revenus très très modestes et pourtant, je sors tous les jours/soirs : les expos sont gratuites dans les galeries d’art (plus d’un milliers en Île de France), les entrées sont gratuites certains jours dans de nombreux musées, la carte Paris Jazz Club coûte 40 €/an pour 5 à 7 concerts par mois (soit environ 55 cts le concert), les concerts de classique sont gratuits dans les très nombreuses églises de Paris,
Je fais partie d’un groupe théâtre avec des tarifs extraordinaires (2 € l’entrée hier soir au théâtre de Belleville pour une pièce très intéressante sur la vie des modèles d’artistes), ballets à 6 € l’entrée dans le cadre des Rencontres Chorégraphiques de Seine Saint Denis, les concerts, conférences, ballets, projections sont gratuits dans les nombreuses médiathèques, etc etc etc
Je ne ferai pas un trop long inventaire des milliers de possibilités qu’offrent Paris et l’Ile de France pour les passionnés de culture.
Et quelle autre ville/ région peut en proposer autant ?
Je mourrai d’ennui au milieu des pommiers !
Alors chacun sa vie et merci d’éviter les lieux communs partisans.
Si si l’immigration pressante ne rentrait pas également en jeu ?
@MONETT DELAHAUT Etre ingénieur et devoir se débrouiller pour boucler la fin du mois ne vous semble pas être problématique ?
Une chambre de 10m² à 400 Euros, c’est ça l’avenir ?
Rien à voir et pourtant prévisible depuis des décennies. La circulation (routière, piétonne, transports en commun) est la même chose que la circulation sanguine : tu la bloque, le système nécrose et meurt.
Et les frontières c’est comme la peau : tu l’enlèves et tu recoltes des infections/gangrène en séries.
Le reste c’est du détail sans importance.
Il faut changer la formule “métro, boulot, dodo” en “métro, crado, boulot, dodo”
C’est en fait tout l’équilibre Paris-Province qui est bouleversé. Un équilibre séculaire bien loin du vantardisme de clocher ou d’une prétendue fierté boboe incompréhensible extramuros.
Paris est le centre décisionnel de la France depuis des siècles. C’est le lieu de l’élite. Centres de décisions politiques, sièges sociaux privés, grandes écoles (fut un temps où Sciences Po Paris délivrait un Bac+5 en 4 ans). Et comme le souligne justement Ch.SANNAT, la plus grande zone industrielle de France avec sa banlieue. La localisation physique de ces lieux de travail amenenait une population qui pouvait quand même y vivre et fonder une famille. Paris était le lieu de passage des Rastignacs, et pour sa bourgeoisie une rente immobillière et de situation. Pour les employeurs, c’était la garantie de trouver le CV du mouton à cinq pattes sur un si grand bassin d’emploi. Ils y ont pris goût: contrairement à une grande partie de l’étranger ou à une ruralité désertifiée, l’entreprise ne forme pas, elle pouvait exiger un Bac+5 en chimie des pétroles parlant turkmène avec 3 ans d’expérience, opérationnel de suite, en étant certain de le trouver dans ce maëlstrom. C’était aussi le lieu où un couple de cadres pouvait trouver deux jobs à leurs dimensions sans que l’un ne se sacrifie. C’était le schéma fiscal d’une mégalopole riche qui redistribue au désert français ses taxes. C’était la ville de services publics innovants (métro, égouts, lieux culturels…) sans égal. Mais à trop tirer sur la rente, Paris est devenue inabordable pour se loger. Invivable sur le plan de la sécurité, du vivre-ensemble, des valeurs forcément confrontées au multiculturalisme. Quelle Bretonne a pu rencontrer l’amour en draguant le serveur d’un resto srilankais Gare du Nord? Quel alphabétisé est ravi à l’avance de laisser sa fille dans une scolarité de REP+? Le passage invidivuel par Paris est devenu un parcours du combattu.
Les trois dernières années ont moins rabattues les cartes que la longue durée d’un marché de l’emploi plus fluide, plus incisif, plus individuel, moins localisé. Au-delà même des télétravailleurs qui sont pourtant des millions. Cadres ou non diplômes, salariés ou entrepreneurs, les travailleurs doivent s’adapter à un réel local et évolutif. L’économiste Bouba-Olga signalait que les territoires les plus performants ne sont pas forcément métropolitains. Mais l’usine des Mauges sait travailler avec son environnement et embauchera en CDI des employés ravis de pouvoir faire vivre leur famille par le travail et qui resteront longtemps à leur poste. Et des décennies de décentralisation culturelle (Malraux), administrative (Defferre) ou industrielle (Montebourg) ont équipé la province. Des scènes nationales dans chaque département, des communautés de communes avec des personnels compétents, des PMI innovantes.
Peut-être que la pauvre Anne Hidalgo est moins victime de ses incompétences que d’un changement de paradigme et que le rapport Paris-Province devra se penser sur un autre mode que celui de la haine envers l’image minoritaire du bobo.
Paris est une ville de merde, hors de prix, avec peu d’interet et de plus en plus sale avec hidalgo. c’ets bien j’y vais jamais, je laisse ca aux couillons de parisiens et aux touristes encore plus con
Meme un cadre superieur a la defense est tout content de pouvoir se payer un F3. quelle ascension sociale …
Parisien d’origine, j’ai fait le choix de partir en 2000, après la naissance de ma fille. Ce choix privilégiait la qualité de vie, qui n’était déjà ps glorieuse en région parisienne. Le “sur-salaire” parisien ne compensait pas du tout.
Aucun regret, bien au contraire!
Je salue le chant du coq tous les matins, et je m’inquiète quand je ne l’entends pas.
Ni moi, ni mes enfants n’avons rencontré la moindre pénalisation du fait d’être en “province”. Au contraire, ma progéniture y a eu une sacrée enfance.
Je me félicite tous les jours de mon choix d’il y a vingt ans.
ingénieur à 1900e par mois ???
cela dit, ça n’enlève rien au problème.
Paris est invivable sauf , éventuellement, quand on est riche.
Ingénieur payé 1900 net. A Paris. C’est surprenant.
Ingénieur et vivre dans une cage de 10 à 12 m2, cela me parait très dégradant. Imaginez tous ceux qui n’ont pas ce salaire là. Je n”appelle pas cela vivre mais survivre comme une bête. Si c’est cela la vie, sortir de son poulailler pour être dans un environnement sale, bruyant, ou on peut difficilement se déplacer et maintenant en plus les avions, c’est quoi la qualité de vie parisienne. Très peu de personnes profitent réellement de Paris et les autres sont les nouveaux esclaves qui sont en pleine survie. J’ai été parisien 30 ans et j’aimais bien Paris. depuis 14 ans nous habitons dans une adorable petite ville de 3400 habitant au calme, dans la nature et à 2 kms de Tours. Nous avons la Loire en bas de notre rue et aller a Tours à pieds ou à vélo, que du bonheur. Pour rien au monde je reviendrai habiter Paris. Et pourtant avant de partir je pensais vraiment finir mes jours à Paris. Pour savoir ce qui est le mieux il faut faire l’expérience de Paris et d’un super coin en province. Sinon mon jugement est complètement fossé si je ne connais qu’une partie, je ne peux pas comparer.
Un grand oui pour la qualité de vie de la Touraine. Et nous ne sommes qu’à 7 kms du TGV et à 1 heure de Paris.
pour MJ.
Ingénieur à 1900€ par mois, oui.
Cas très fréquent aujourd’hui.
Une surprise pour moi, découverte il y a deux ans qund j’ai découvert qu’une collègue, ingénieur ENAC, 8 ans d’expérience, gagnit le même salaire que celui que je gagnais en 1990.
Ce sont de très nombreuses petites choses qui ont conduit à ceci.
Une triste réalité, mais nous nous sommes considérablement tous appauvris.
Le bordel à Paris (hier je découvre la place de Catalogne derrière Montparnasse quasi interdite) ! ça n’était pas forcément le souhait d’A. Hidalgo mais c’est le socialisme à la barre depuis trop longtemps (avec aucune gestion des RH) qui provoque le chaos urbain actuel (plus tous les migrants du monde qui s’installent comme ils peuvent…comme dans toutes les capitales européennes)
J’ai lu un commentaire d’une personne évoquant le cas de sa fille qui vie apparemment fort bien à Paris avec 1500€ et qui même en sortant régulièrement arrive à mettre de côté .. et dixit la dame
« je ne sais pas comment elle fais , mais y arrive et a l’air d’être heureuse » alors soit cette personne a gagner à la loterie et ne l’a pas dit à sa famille , soit elle a trouvé une source de revenus alternatifs, qu’elle cache à sa famille . Car ça est impossible qu’elle vive ce train là à Paris avec 1500€ en tant que célibataire… j’ai vue récemment un reportage sur le phénomène des suggar Dady ( de l’escorte de luxe, pour ne pas dire un autre mot qui pourrait choquer .. , dans laquelle s’engouffre bcp de jeune filles étudiantes , afin d’arrondir leurs fins de mois )
Et toutes disent que cela leur permets de vivre un train de vie qu’elles ne pourraient pas avoir sinon , que bien sûr leur famille ne sont pas au courant…
Bref en tant que parents il faut savoir se poser les bonnes questions parfois … car quand c’est mathématiquement impossible que notre enfant s’en sorte avec 1500 à Paris en menant la vie qu’il mène et en mettant même de côté .. il faut ce dire qu’il ment et pour son bien , soulever le tapis et voir ce qu’il y a dessous … la politique de l’autruche c’est le pire …
En tout cas aujourd’hui vivre en grande ville quand on est célibataire avec même 1500€ c’est devenus de la survie surtout
Je crois que si j’étais riche, je me serai expatrié…
Paris va devenir la ville des illégaux assistés et des élus planqués. Lorsqu’il y aura assez d’assistés les élus changeront de politique…. Un RSA a son loy rpayé, son électricité et son gaz payé son assurance maison payée la cmu, les restau du coeur et aides alimentaires diverses et il touche 500 euros d’argent de poche…alors à quoi bon s’emm*** à travailler pour 2000 euros si on doit payer transports bouffe, électricité, gaz (vous savez celui qui vient d’ukraine lol), assurance, mutuelle, etc avec 500 euros ??? En province dans mon petit bled du sud ils l’ont compris les assistés sont les rois…et la CAF me paye mes loyers alors…. Et en plus on trouve du travail à 2000 euros mais là la caf etc est à nos frais mais il reste plus de 1000 euros…
Belle histoire ! Un choix de raison mais aussi un choix très personnel. Chacun sa vie et ses aspirations, certaines sont à Paris, d’autres en régions !
Pas d accord avec cette pleurnicharde, 1900eu étudiante, elle fait quoi ? Du coaching pour vieux ,? Hum hum et non le smig ce jour c est 1300 balle net tout ça pourquoi car en France on a un système social qui est parasité , savez vous que l ue verse une indemnité aux syriens en Turquie, connaissez vous les milliers de centenaire algériens, et tien le père du fils qui a agressé la pauvre septuagénaire qui pleurniche sur tpmp alors qu il a volé 59000 euro à la caf et pendant ce temps vous vous payez des impôts , vous n avez le droit à rien pas la bonne tranche , y a tout à reconstruire dans ce pays soi disant démocratique, car faire monter le méchant rn ou lfi aux premiers tour en jouant sur la peur au second pour se retrouver avec guignol president’croncron , vous l’avez vu pendant le match, ce type nous fait passez pour des debiles. , on arme l’Ukraine avec du matériels que l on ne possède pas tandis que nos soldats font les surplus , et que les hôpitaux sont en crise , bientôt il n’y auras plus rien à sauver , pour finir regardez le film netflix avec DiCaprio ou une comète arrive sur terre. , a la fin macron et ses potes ont un vaisseau de secours , pas nous .