INTRODUCTION

Si nous sommes pris par les « Z’élites » pour les « Z’imbéciles » que nous sommes devenus, c’est à nous seuls qu’il appartient de ne pas le rester. Afin d’enrichir vos réflexions et ainsi élargir le « champ des possibles », je vous propose mon analyse issue d’une pluralité de sources d’information pour vous aider à « faire le tri » parmi la masse de « fausses nouvelles » dont nous assène le pouvoir économico-politique, servilement relayé par « ses grands merdias ». Le fait de citer divers auteurs, souvent politiquement incorrects voire controversés, ne signifie pas pour autant que j’approuve tout ou partie de la vision qu’ils développent.Le but de mes écrits n’est pas de vous faire peur, mais de vous préparer, car c’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer. Je m’attache à ne pas donner dans le catastrophisme, mais il ne saurait être question de nier les réalités. Plus largement informés, nous pouvons tirer le meilleur des événements, devenir plus forts et ainsi être en mesure d’aider ceux qui veulent progresser dans ce sens. Je souhaite simplement contribuer à la prise de conscience que si « tout va mal » autour de nous, c’est individuellement qu’il nous appartient de faire ce qu’il faut, pour que « tout aille mieux » collectivement. 

En cette période où nos repères disparaissent et l’avenir est incertain, il ne s’agit pas de juger. Le bien ou le mal n’ont pas de signification en soi. Il est juste question de comprendre et d’anticiper l’évolution des « règles du jeu » qui nous sont soigneusement cachées par les élites qui nous dirigent. C’est avec une meilleure connaissance de ces règles que nous tirerons profit des événements, au lieu de les subir.

Les positions que j’exprime étant l’expression de « ma vérité », je vous donne l’accès à mes sources, afin d’être en mesure d’avoir des appréciations, éventuellement différentes des miennes et ainsi construire VOTRE vérité, la seule qui vaille à mes yeux. Je vous invite à vous joindre à moi pour transformer nos potentielles craintes en une saine curiosité. Vous verrez à quel point c’est une source de sérénité.

Bonne lecture.

UN SUJET D’ACTUALITÉ

Comme je vous l’avais promis dans mon billet du 6 octobre dernier, je reviens sur « la politique américaine et de ses conséquences sur nos patrimoines ». En effet, il nous faut bien comprendre qu’en application de « l’effet papillon », des événements parfois minimes, ou pas, peuvent engendrer des conséquences importantes dans d’autres endroits de la planète et pour un temps durable.

C’est Edward LORENZ, théoricien de la météorologie, qui, en 1973, titre ainsi l’une de ses conférences « Le battement des ailes d’un papillon au Brésil peut-il provoquer un ouragan au Texas ? ». La citation de LORENZ, au cours de cette conférence, est précisément : « Si un battement d’ailes d’un papillon peut engendrer un ouragan, la même chose est vraie pour tous les autres battements d’ailes du même papillon, mais aussi pour les battements d’ailes des millions d’autres papillons, sans parler de l’influence des activités des innombrables autres créatures plus puissantes, comme les hommes par exemple ! »

La notion d’effet papillon est rapidement devenue populaire. Il n’en est pas de même pour une autre de ses citations d’alors qui, à mes yeux, est aussi voire plus importante que la première : « J’avance l’idée qu’au fil des années les petites perturbations ne modifient pas la fréquence d’apparition des événements tels que les ouragans : la seule chose qu’ils peuvent faire, c’est de modifier l’ordre dans lequel ces événements se produisent. » Ce que je me permets de traduire, en relation avec notre actualité, par : si je ne peux pas prédire exactement quand arrivera la prochaine crise majeure, en repérant et analysant beaucoup de « petits événements », il est possible de mieux cerner les caractéristiques (ampleur et délais) des « événements majeurs » qui sont devant nous.

C’est exactement ce que décrit le sous-titre de ma rubrique « Gardons bien cela en mémoire », je cite : « Ma sélection de faits ou événements que je considère comme marqueurs de plus profonds changements à venir ». Les billets de cette rubrique, je vous le précise, à nouveau « se lisent en deux minutes sur votre smartphone, dans les transports… mais pas au volant, même dans les embouteillages 😊 😊 😊».

Cela étant dit, ou plutôt écrit, revenons à nos moutons… Non, revenons à… notre canard ??? Pardon… à « notre Donald ». Je pense que le déchaînement des « grands merdias » américains et internationaux à l’encontre de Donald TRUMP, président ÉLU des États-Unis d’Amérique, ne vous a pas échappé. En réalité, il était déjà, pendant toute la campagne électorale, « au bout du fusil » du parti démocrate (c’est un peu la règle du jeu), mais aussi, directement et indirectement, des « néocons » dont je vous ai maintes fois conté les nuisances.

La plus « Z’énorme » tentative de déstabilisation du Donald semblait être le « RussiaGate », autrement dit l’accusation de collusion avec « l’ennemi russe » pour truquer les élections à son profit. Deux ans après, cette « affaire » a tourné au fiasco pour ses instigateurs et leurs médias (le Post, le Guardian et le Times) dont je vous ai expliqué, dans mes billets du 17 février 2018, du 24 février 2018, puis du 3 mars 2018, qu’ils sont le bras armé de la propagande de l’oligarchie anglo-américaine mondialiste. Évidemment, le sulfureux George SOROS était et est toujours à la manœuvre avec ses milliards de dollars et ses réseaux d’influence pour essayer « d’abattre » Trump par tous les moyens.

Eh bien non. Le « pire » n’avait pas encore été atteint. Il s’est matérialisé lorsque le président Trump a choisi le juge Brett Michael KAVANAUGH pour succéder au juge Anthony KENNEDY. Vous me direz à juste titre que tout cela n’est que le remplacement d’un juge qui, à 82 ans, demande à partir en retraite. Oui, mais … Il s’agit-là de juges à la Cour suprême des USA, le plus haut degré du pouvoir judiciaire du pays. Elle est composée de 9 juges nommés à vie par le président après le consentement du sénat. Très rapidement après sa création, cette institution a été un instrument permettant une lecture de la Constitution des USA favorable aux pouvoirs de l’État fédéral, au détriment de ceux des États fédérés. C’est pourquoi elle a été surnommée « le gouvernement des juges ».

Le célèbre Wiki « en rajoute une couche », nous précisant même que : « L’accusation s’est surtout répandue lors de la lutte dans les années 1930 de Franklin Delano Roosevelt contre la jurisprudence traditionnelle de la Cour qui refusait l’application des mesures que le président Roosevelt déclarait nécessaires à la sortie de la crise de 1929. »

Tiens tiens, tiens ???… Ne vous aurais-je pas expliqué, dans mon billet du 24 mars 2018, dans quelles conditions le président ROOSEVELT a été élu ? Un rappel s’impose : « N’oublions pas que le colonel HOUSE et Paul WARBURG avaient déjà «fait» le président Woodrow WILSON. Sous son administration, notre cher Colonel fait la connaissance de Franklin Delano ROOSEVELT, alors ministre délégué à la Navy. Toujours aussi fin manœuvrier, il parvient à lui obtenir l’investiture démocrate à la présidentielle de 1932. Une fois «élu» président, Roosevelt pouvait travailler activement dans «l’industrie de l’ascenseur», ou plus explicitement dit, dans le sens des objectifs de Paul WARBURG. » Retenez bien ce nom, j’y reviendrai plus loin.

Notre « ami Donald »… Bien que le qualificatif « ami » ne soit peut-être pas le mieux approprié… Allez, soyons « bon prince » !!! Je reprends. Le président Trump nomme le juge KAVANAUGH, mais il faut que sa décision soit entérinée par le sénat. C’est à ce moment précis que revient en scène « l’ami Jojo ». NON… Pas notre Johny HALLYDAY national, il est mort… Il ne peut plus faire de scène, mais ses albums sortent encore !!! Je vous parle de Jojo, le « sulfureux SOROS », qui s’est engagé, pardonnez du peu, à financer à hauteur de 5 millions de dollars une association ayant pour but de faire capoter la nomination du juge KAVANAUGH.

Autre « contrarié » de taille, par la nomination du « juge maudit », l’État profond, dont je vous ai de nombreuses fois informé de ses noirs desseins et notamment dans mon billet du 6 janvier 2018. État profond donc et son allié historique, le parti démocrate. C’est que la nomination du juge KAVANAUGH « change la majorité » à la Cour suprême. Ce « bastion démocrate », solidement tenu depuis des années par des juges dits progressistes, a été, depuis le président Bill CLINTON, le poste de pilotage des réformes dites « progressistes » de la société américaine, comme le droit à l’avortement, le refus de condamnation de la sodomie et le mariage pour tous. Comme le fait justement remarquer la toujours pertinente blogueuse Pauline MILLE, « Le juge KAVANAUGH est soupçonné de revenir au droit […] On peut parler de gouvernement des juges, et même de coup d’État des juges, dans la mesure où ils ne respectaient nullement l’esprit de la constitution US. Or Kavanaugh passe pour un constitutionnaliste strictement attaché à celle-ci. Les démocrates, l’État profond, craignent qu’il ne revienne à une pratique plus orthodoxe du droit et qu’il modifie la jurisprudence de la Cour suprême, par exemple sur l’avortement et le «mariage» pour tous. Ce qui serait aux yeux des progressistes l’abomination de la désolation ».

J’évoquais « le pire » tout à l’heure, nous y voici. Le 16 septembre 2018, quelques jours avant le vote du sénat pour confirmer ou non la nomination du juge, une femme de 51 ans, Christine BLASEY FORD, déclare au Washington Post qu’elle a été l’objet d’une agression sexuelle de la part de Monsieur KAVANAUGH… quand celui-ci avait 17 ans !!!! Il en a aujourd’hui 53. Re !!!! Le 27 septembre 2018, elle confirme ses accusations devant la commission judiciaire du sénat. Déchaînement des « merdias » internationaux contre « le futur ex-juge ». Après l’audition des deux protagonistes, les sénateurs se forgent une opinion dont résulte la nomination du juge (50 voix pour et 48 contre). De plus, le battage médiatique « anti-KAVANAUGH » a été tellement outrancier qu’il semble être devenu « contre-productif » pour ses instigateurs démocrates. Du coup, « le spectre de l’ingérence russe » dans les élections de mi-mandat refait surface. Serait-ce parce que les démocrates ont peur de perdre cette élection ?

De manière beaucoup plus policée, mais non moins efficace, l’autre côté de « la tenaille » destinée à briser le « grand méchant Trump », est la Banque centrale américaine (la FED). Institution clé de l’Amérique, dont je vous ai expliqué dans le détail dans mes billets du 10 mars 2018, puis du 17 mars 2018 et enfin du 24 mars 2018 que c’était en réalité un groupement de 12 banques privées qui se sont arrogé le pouvoir d’émettre et de contrôler la monnaie du monde, le dollar. Dans ces différents billets, je vous explique le rôle particulièrement actif de Paul WARBURG dans la « fabrication » de la FED. Donald TRUMP n’est pas un président « fait » par la FED et ses sbires. Il est donc à « tuer » par celle-ci. CQFD.

C’est que la FED a la capacité de « gêner » considérablement le président puisque, toute son histoire le démontre, elle « organise les bulles » et les fait « éclater » quand elle le désire, au gré de ses seuls intérêts. Trump lui, a des objectifs tout autres et pour les réaliser, il a besoin de « gagner les prochaines élections de mi-mandat ». Explications.

Je demande pardon par avance aux lecteurs spécialistes du système politique américain, mais je simplifie, tellement le système électoral des USA est compliqué et différent du nôtre. Tout d’abord, des élections « primaires » sont organisées par les deux partis principaux : les démocrates (la gauche) et les républicains (la droite). À cette occasion, les citoyens américains élisent des délégués de leur parti. Lors de la convention nationale de chaque parti, les délégués élus par le peuple désignent leur candidat à la présidence ainsi que le vice-président. Les candidats désignés font alors campagne dans tout le pays. Chacun des États élit ses « grands électeurs » et ce sont eux qui vont élire le président et le vice-président. Il s’agit donc d’une élection au suffrage universel indirect.

Si le président et le vice-président sont élus pour une durée de 4 ans, la mise en œuvre de leur politique est largement influencée par les résultats des élections de « mi-mandat » ou midterm pour les anglophones. En effet, les élections des deux chambres du Congrès américain (100 sièges de sénateurs et 435 sièges de la chambre des représentants) interviennent au milieu du mandat présidentiel, d’où le nom de ces élections. C’est le 6 novembre de cette année 2018 qu’auront lieu les élections de mi-mandat, d’où les « manœuvres » de chacun des camps AVANT cette date du 6 novembre.

Le Congrès américain est de peu actuellement majoritairement républicain et donc « favorable » au président, d’où ces combats acharnés pour obtenir une majorité… ou pas !!! TRUMP a incontestablement « marqué un point » avec la nomination du juge KAVANAUGH et de son côté, la FED essaie de « torpiller » les résultats économiques actuels, plutôt favorables au Donald, en mettant fin à l’assouplissement quantitatif (les fameux QE) et en relevant ses taux directeurs, espérant ainsi faire « éclater la bulle boursière », d’où la colère Trumpienne : « la réserve fédérale est folle ».

LE DESSOUS DES CARTES

Nous venons de le voir ensemble : il y a beaucoup de « battements d’ailes de papillons » en ce moment aux États-Unis d’Amérique. La société américaine s’est gravement fracturée et radicalisée lors des dernières élections présidentielles. Dans mon billet du 23 décembre 2017 consacré à mes prévisions pour 2018, j’écrivais : « L’Amérique est très malade, contrairement aux affirmations de sa presse aux ordres. Cela est devenu visible à l’occasion de la dernière élection de son président. Elle est socialement profondément déchirée pour longtemps et bien malin est capable de dire quel camp détruira l’autre en 2018. Les démocrates n’ont toujours pas accepté d’avoir perdu ». Nous y sommes.

Une révolte populaire… ou « populiste », pour côôôser comme les grands merdias, est en train de s’installer dans ce pays. Ce fait inquiète au plus haut point des cadres des partis républicains et démocrates, les amenant, dans un document conjoint, à la nécessité de reconnaître qu’ils sont : « Dans une période de crise – un moment qui pourrait présager un réalignement à long terme – et d’élaborer une stratégie pour gérer le changement [… et qu’ils sont ] entré dans la crise actuelle en semblant indifférent aux préoccupations qui poussent les électeurs à se tourner vers les populistes extrémistes ».

Ces responsables démocrates et républicains ont identifié une série de « points communs frappants » entre le populisme de gauche et celui de droite aux États-Unis concernant les attitudes à l’égard des questions clés : « une profonde méfiance à l’égard actions militaires américaines à l’étranger, l’inquiétude sur la montée d’un État de surveillance, la méfiance à l’égard des grandes institutions et la défiance envers les élites mondiales ».

Ne trouvez-vous pas que « les ailes des papillons français » battent au même rythme ?… Sauf que !!! La prise de conscience de notre monde politique hexagonal est loin d’être faite, et pour cause. Emmanuel MACRON a « su faire exploser » les partis encore plus magistralement de François MITTERRAND ne l’avait réalisé en son temps avec l’affaiblissement du parti communiste (Union de la gauche) et celui de la droite traditionnelle d’alors (émergence du Front national).

La réalité de notre quotidien est que les augmentations de prix, les impôts et les nouvelles taxes ne cessent de proliférer, il n’en est pas de même de nos revenus. Contrairement aux statistiques offfficielles, notre pouvoir d’achat baisse très régulièrement.

Trois « grands investisseurs », Stanley Freeman Druckenmiller, Kenneth Cordele Griffin etJeffrey Gundlachmilliardaires, dirigeants de fonds d’investissements importants, font un constat commun : « Nous avons pris les causes de l’ancienne crise et les avons triplées. Et nous l’avons fait au niveau mondial. »

Ivan Danilov de Sputnik France remarque très justement que « les analystes occidentaux remarquent une augmentation anormale des réserves d’or de la Russie, de la Chine, de l’Inde et d’autres pays. Même la Banque centrale polonaise, qui n’est pas menacée par les sanctions américaines ni les risques politiques qui l’accompagnent, s’est mise à acheter soudainement de l’or pour la première fois depuis des décennies ».

Et de conclure assez logiquement : « La situation fait penser au naufrage du Titanic : l’orchestre joue sur le pont et les passagers continuent de s’amuser, mais l’impact avec l’iceberg est inévitable. Pendant ce temps, les plus prévoyants descendent déjà dans les canots de sauvetage et se battent pour y prendre place. La seconde vague de la crise financière mondiale sera douloureuse pour tous, mais quand le Titanic de l’économie occidentale percutera l’iceberg, le canot russe a toutes les chances de se trouver à une distance sûre. »

Si avec tout cela, vous n’êtes toujours pas convaincu qu’il est temps de renforcer votre détention d’or physique comme je ne cesse de vous le conseiller, c’est votre choix.

QUEL ENRICHISSEMENT EN TIRER

« Face à l’événement, c’est à soi-même que recourt l’homme de caractère » (Charles de Gaulle)

Précision liminaire pour les lecteurs aux âââmes sensibles. Comme écrit au fronton de la page d’accueil de mon site : « Je ne cherche pas à vous faire peur, mais à vous préparer – C’est en sachant les choses qu’on peut mieux les gérer – L’avenir ne se prévoit pas, il se prépare ». Cela étant précisé, depuis le début de mes billets en 2012, c’est la première fois que, dans la même semaine, je vous mets en garde.

Commençons par le constat. Connaissez-vous la « Collapsologie » ? C’est, selon les Français SERVIGNE et STEVENS, « l’exercice transdisciplinaire d’étude de l’effondrement de notre civilisation industrielle et de ce qui pourrait lui succéder, en s’appuyant sur les deux modes cognitifs que sont la raison et l’intuition et sur des travaux scientifiques reconnus ».

Nous sommes tous aujourd’hui, plus ou moins conscients du délabrement politique et social dans lequel s’enfonce notre civilisation et plus particulièrement notre pays, c’est un fait.

Il m’apparaît comme primordial de changer notre état d’esprit et ne plus raisonner « comme avant ». Les temps ont changé et continuent de le faire dans une accélération constante. Il est l’heure de « se poser » et de réfléchir calmement et sereinement. De ne plus raisonner sur la base des postulats d’hier qui deviennent rapidement obsolètes.

Je fais un parallèle avec les stratégies militaires, actuellement opposées, de la Russie et des USA. La course aux équipements d’attaque n’est plus de mise. Il est plus efficace et moins coûteux de s’équiper en matériels de défense. Le pouvoir russe l’a bien compris et la mise en œuvre récente de cette stratégie en Syrie le démontre pleinement. Je reviendrai dans un prochain billet sur cet aspect de géopolitique internationale et ses conséquences pour nous.

Pour ce qui est de nos patrimoines, la « course aux investissements » doit être revue. Une approche « défensive » est de mise et la stratégie actuelle doit consister à faire en sorte de « perdre le moins possible », faute de quoi, beaucoup de ruines totales se profilent à l’horizon. Cet horizon se rapproche, mais il est encore temps d’agir. Je sais, c’est contrariant, mais il est nécessaire de l’admettre.

Pour intégrer ces nouvelles façons d’aborder notre patrimoine et notre vie en général, nous devons « prendre bien soin de nous ».

Cette formule qui clôt mes « longs billets du samedi » n’est pas une figure de style, mais un appel sincère à vous mettre dans les meilleures conditions pour prendre le recul nécessaire et, en paraphrasant la 10e satire du poète romain JUVENAL, avoir « un corps sain abritant un esprit sain ». Pour ce faire, si ce n’est déjà le cas, pensez à modifier votre alimentation. Par exemple au profit du « régime méditerranéen » qui, c’est largement prouvé, limite considérablement les états dépressifs peu propices à une « sage réflexion ». Pensez-vous un instant que ma délocalisation andalouse n’est pas AUSSI motivée par cette considération ?

Pour vous prouver encore et toujours à quel point je vous aime, voici maintenant une autre « thérapie » pour être « bien dans ses godasses » : avoir une activité sexuelle régulière 😊 😊 😊. Un neuropsychologue de l’hôpital d’Édimbourg en Écosse, le docteur David WEEKS, a réalisé une étude sérieuse (3 500 participants, hommes et femmes de 20 à … 104 ans !!!), qui démontre que si le principal moyen de sembler plus jeune est la pratique d’une activité physique régulière, ça nous le savons bien, une deuxième solution « pour paraître 12 ans de moins » est d’avoir en moyenne trois rapports sexuels par semaine.

Nous sommes samedi… C’est le moment de « bien » commencer la semaine. Re 😊 😊 😊

Plus sérieusement, bien que l’activité sexuelle soit une chose très sérieuse, Re re 😊 😊 😊… J’ai le plaisir de vous annoncer que je travaille activement à la réalisation d’une « lettre de conseils confidentiels » qui permettra à ses abonnés, non seulement de comprendre ce qui nous arrive, mais aussi, et surtout de se projeter efficacement dans le monde de demain. Pour ce faire, elle apporte des solutions concrètes et pratiques aux questions posées. Chaque lettre développe quatre grands thèmes : L’état du monde ; Développement de mes richesses personnelles ; Développement de mes richesses matérielles ; Mon coach personnel.

Je prévois une mise en place effective de « La lettre Premium d’Hubert » en janvier 2019.