Comme vous le savez les prix de l’immobilier sont orientés à la hausse, en France comme partout dans le monde.
La raison ?
Les taux d’intérêt n’ont jamais été aussi bas, partout dans le monde.
En France en octobre, ils baissent encore !
“Crédit immobilier : les taux baissent encore en octobre, du jamais vu”
C’est le titre de l’article de Capital qui revient sur cette thématique centrale.
“Des planchers pulvérisés” : Maël Bernier, directrice de la communication du courtier Meilleurtaux, ne mâche pas ses mots. Et pour cause : les taux d’intérêts immobiliers moyens sont de nouveau en baisse en octobre. Ils atteignent désormais 0,78 % sur 15 ans, 0,96 % sur 20 ans et 1,16 % sur 25 ans et descendent même à seulement 0,52, 0,63 % et 0,89 % sur ces mêmes durées pour les meilleurs dossiers. “Les taux devraient pourtant augmenter, car l’inflation repart”, note le courtier. Une tendance confirmée par Cécile Roquelaure, porte-parole du courtier Empruntis : “Les taux moyens sont autour d’1 % sur 20 ans, on n’avait jamais connu ça !” Mais comment expliquer ces taux ultra compétitifs ? D’une part car le crédit est un produit d’appel soumis à une forte concurrence. Mais le calendrier joue également.
“Nous sommes en fin d’année, et les banques ont toujours des objectifs élevés qu’elles veulent remplir, d’où la course à l’échalote sur les taux à laquelle on assiste”, estime Maël Bernier.
Serait-ce alors le moment idéal pour démarrer un projet immobilier ? “Oui, mais à condition d’avoir déjà un projet solide, tempère le courtier Empruntis. L’offre immobilière est limitée en ce moment, et les politiques commerciales des banques restent très sélectives”. Même son de cloche chez Meilleurtaux, qui donne quelques conseils aux éventuels futurs emprunteurs : “Il faut montrer patte blanche, mettre en avant sa stabilité professionnelle, éviter les découverts dans les mois qui précèdent mais aussi essayer de solder ses petits crédits à la consommation restants, s’il y en a.”
Alors emprunter à taux bas, oui, mais à condition d’être solvable et de respecter les règles d’endettement et notamment le fameux taux d’effort maximum de 33 %. Si vous avez des revenus convenables et une véritable capacité d’emprunt alors votre taux de crédit sera vraiment au plus bas. En fait les banques se disputent les derniers clients “haut de gamme” c’est-à-dire très solvables parce qu’ayant surtout de hauts revenus. Le crédit immobilier redevient donc un produit d’appel pour les banques.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Source Capital.fr ici
C’est suspect. Etre propriétaire, c’est sans doute bien, mais c’est de l’immobilier. Dans ce mot il y a ‘immobile’. En bref, on est propriétaire d’un tas de cailloux.
A vendre,…, c’est long. Pendant ce temps, l’état (en qui j’ai une confiance faible, et c’est un euphémisme), peux voter tout un tas de lois pour en faire baver les zeureux propriétaires.
Bref, s’agit-il d’un piège ?
On verra bien la suite.
Bien à vous tous
oui mais il faut voir également les frais de dossier. Les banques se refont une partie de la cerise sur les frais de dossier et l’assurance emprunteur ( qu’on vous contraint à souscrire pour profiter des taux).
Les taux ça ne veut rien dire. Car le capital à rembourser sur un bien immobilier est énorme avec l’inflation sur le prix des actifs
Si les taux sont historiquement bas, les prix sont historiquement hauts…
Les banques ne prêtent qu’aux riches, voilà tout! D’ailleurs cela n’est pas nouveau car elles vous incitent à emprunter vous désolvabilisant au passage pour mieux vous dépouiller avec le système des cautions personnelles.
Bonjour, Charles toutes zé tous.
Je souhaite revenir sur les objectifs de fin d’année.
Ce qu’il se passe, c’est que les grosses boites ayant leurs objectifs à atteindre, le font non pas pour atteindre leurs objectifs, mais pour toucher leur primes de fin d’année.
Alors, pour cela ils emploient des esclaves, intérimaires, payés comme des esclaves au radada du SMIC, pour qu’ils produisent à fond pour que les grosses boites atteignent leurs objectifs et que les enfoirés touchent leur primes. Hé bien, il faut refuser de faire leur jeu. Si certains esclaves lisent ce commentaire, qu’ils cessent d’engraisser tous ces fénéants qui les font bosser pour trois cacahuètes… qui ne font rien de l’année qui sont syndicalisés et qui vous expliquent que l’intérim c’est pas la bonne solution, sauf que chaque fin d’année, ils vous regardent bosser pour toucher leur prime de fin d’année. Il faut lutter contre une sociètè qui nous prend pour des jambons, en refusant de coopérer, et pas en manifestant en dansant dans la rue tous les samedi, parceque ça fait rigoler la macronie et le lundi vous retournez à la mine comme des esclaves.