Le feuilleton grec devient véritablement épuisant. C’est aussi long que « Les feux de l’amour » et cela dure depuis des années.

Le problème ? Toujours le même : la Grèce est en faillite mais personne ne veut le reconnaître et prendre ses pertes. Des pertes qui ont été transférées des banques commerciales privées… aux banques centrales nationales de chaque pays à travers la BCE et ses mécanismes de sauvetage européens bidons !

Résultat, ce sont des dizaines de milliards d’euros que le sauvetage de la Grèce a coûté rien qu’à la France et dont personne ne parle.

Les Allemands, eux, ne veulent surtout pas avoir de pertes à constater… pourtant, comme la Terre tourne, la Grèce est en faillite.

Voilà ce qu’en dit cet article de La Tribune :

« Nous pensons qu’il est très, très probable que nous parviendrons à un accord avec le Fonds monétaire international qui ne nécessite pas une décote sur le montant de la dette grecque, a indiqué le ministre des Finances allemand.

Le ministre des Finances allemand s’est opposé à cette option et pense parvenir à un accord avec le FMI n’impliquant pas de décote sur le montant de la dette.

La Grèce ne doit pas bénéficier d’un renflouement qui impliquerait que ses créanciers acceptent de subir des pertes, a déclaré Jens Spahn, ministre délégué allemand aux Finances, dans un entretien à la radio Deutschlandfunk diffusé dimanche, réaffirmant la position ferme de Berlin sur ce dossier. »

Charles SANNAT

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