Les cryptomonnaies basées sur la technologie de la « blockchain » sont les plus « sûres » du monde, mais elles se font dérober et voler aussi facilement que n’importe quel e-bidule électronique piratable parce que l’écosystème nécessaire à leurs échanges n’est, lui, pas suffisamment sécurisé.
Autre sujet, comment se fait-il que ces cryptomonnaies volées puissent-être réutilisées ?
D’où la prochaine étape. La « monnaie » A émise par X va passer des mains de Pierre, à celles de Paul puis dans celles de Jacques… et tout sera tracé et numéroté et affecté. Chaque block sera tracé et dûment enregistré par X, vous savez X, l’émetteur. Mais X devra être un véritable tiers de confiance pour avoir ce rôle. Et puis X va vouloir obliger à cette traçabilité pour votre sécurité, et puis aussi évidemment pour lutter contre le blanchiment ou encore le financement du terrorisme.
Bref, X sera un État ou une banque centrale.
C’est une évidence d’avance !
Charles SANNAT
Des hackers dérobent une somme record à une Bourse de cryptomonnaie japonaise
La Bourse d’échange Coincheck, basée au Japon, a perdu près d’un demi-milliard de dollars, une somme record, suite à une intrusion non-autorisée dans ses systèmes.
Une Bourse de cryptomonnaie japonaise a subi 530 millions de dollars de pertes en raison d’une attaque de pirates informatiques, rapportent les médias nippons.
La Bourse d’échange Coincheck a annoncé vendredi sur son site Web la suspension des ventes et des retraits de la cryptomonnaie baptisée NEM. Par la suite, l’établissement a indiqué qu’elle avait également limité les transactions dans d’autres cryptomonnaies.
Lors d’une conférence de presse organisée vendredi soir, le président de Coincheck, Koichiro Wada, a présenté ses excuses, tout en soulignant que la société pourrait solliciter une assistance financière pour pallier les dommages subis, selon l’agence Kyodo.
Coincheck, qui se considère comme la plus importante bourse d’échange de cryptomonnaies en Asie, a fait savoir qu’elle avait détecté un accès non-autorisé à ses systèmes vendredi à 3h00 heure locale. Le montant des pertes subies par Coincheck devance le record enregistré en 2014 par la Bourse d’échange de Bitcoins Mt. Gox, basée elle aussi au Japon (441,6 M USD).
Eh oui, c’ est la vocation de tous logiciels informatiques de se faire un jour piratés .
Bonjour charles
Quand on pense qu’ au japon en un temps révolu le responsable se serait fait hara kiri (ou sépuku) , les traditions se perdent même en asie!
Le blockmachin et le Chainbidule ne seraient donc pas totalement inviolables ?
On nous aurait menti ? En vérité……….pas croyable !
A titre indicatif, les 2 plaisanteries nippones frôlent les 1000 milliards, Ah quand même !!!!!!!!!!!!
Question pratique, comment trimballer tout ce pognon, même en très grosses coupures ? Fastoche……….
Réponse, il vous suffit de posséder un ordinateur et quelques notions de programmation informatiques, Sissi, ça rentrera.
La meilleure étant : »suite à une intrusion non-autorisée dans ses systèmes », QWOI ! z’ont même pas demandé l’autorisation, en plus d’être cupides, les hackers sont malpolis, tout fout l’camp ma pôv Lucette.
Je me marre, mais kèsse que je me marre avec la virtualité, ça fait du bien après avoir vu tous ces lobotomisés se castagner pour un pot de Chiottella.
Les japonais sont quand même très mauvais en terme de sécurité, c’est fou…
🙂
Les Japonais se font voler des NEM… nul doute qu’ils vont se rattraper au dessert avec les crêpes au Nutella… 😉