Ce qui se passe à Davos est absolument fascinant. Et ce qui est très bien, c’est que nous pouvons suivre les débats et les échanges officiels en direct sur Youtube, comme si nous avions la chance d’être réveillé tous les matins par une escort girl prodiguant des soins que la bienséance m’interdit bien évidemment de détailler plus précisément, après être arrivé là-bas en jet privé (pour mon bilan carbone) puis m’être bien repus de mets délicats comme de la viande de Kobe, c’est très tendre le bœuf de Kobe parait-il, arrosé du meilleur champagne le tout sur des terrasses de balcons avec chauffage au sol… Bref, comme si nous y étions les amis, les gâteries en moins.

Du côté de l’OMS et de la “complosphère” comme il faut l’appeler c’est l’ébullition et pour cause.

Sur le site de l’hôpital John Hopkins vous avez tout une partie consacrée aux simulations concernant l’arrivée d’une maladie X (source ici), et la dernière fois que cette institution vénérable aux Etats-Unis avait fait une simulation c’était l’Event 201 (source ici) et le scénario était une pandémie mondiale liée à un coronavirus. Il faut donc bien comprendre d’où vient la fumée “complotiste” plutôt que de bêler avec le troupeau.

C’est dans ce contexte qu’à Davos le grand prêtre de l’OMS, le bon docteur Tedros dont les élixirs se composent de trois doses minimum, explique doctement qu’il faut se préparer à la maladie X, celle que l’on ne connait pas, mais dont l’arrivée n’est qu’une question de temps, et pour le faire, il faut signer avant mai 2024 le traité sur la préparation pandémique qui donne d’exorbitants pouvoirs à l’OMS.

Vous l’aurez compris, avec de tels projets politiques du côté de l’OMS, de tels traités qui nient les souverainetés nationales ou encore de tels exercices si proches d’évènements qui arrivent quelques mois ou années après, le “complotisme” à de très beaux jours devant lui.

Heureusement, Ursula veillera à ce qui pourra être dit ou penser ou pas.

Charles SANNAT

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