C’est une bonne nouvelle car en attendant, cela donne du travail à quelques milliers de gus et c’est toujours ça de pris.
Cette dépêche Reuters nous apprend que “le secteur du bâtiment en France devrait connaître cette année une croissance un peu plus forte qu’anticipé à condition que l’approche de l’élection présidentielle ne fasse pas dérailler la reprise engagée, a estimé mercredi la Fédération française du bâtiment (FFB)”.
“Grâce à la demande en logements neufs – la FFB prévoit 375 000 mises en chantier en 2016, soit une hausse de 8,6 % par rapport à l’an passé – l’activité du secteur devrait progresser d’au moins 1,2 % en volume sur l’année, alors que la fédération prévoyait +0,9 % à l’automne dernier.”
Alors quelle est la raison d’une telle reprise ?
Tout simplement les taux bas, pour ne pas dire négatifs, et quelques dispositifs comme le nouveau PTZ qui resolvabilise certains acquéreurs.
Les taux négatifs incitent les investisseurs et les épargnants à également retourner sur la pierre malgré son prix élevé au m² car les rendements restent facialement positifs surtout pour du neuf ne nécessitant pas d’entretien dans les premières années.
Bref, l’immobilier est à nouveau en bulle dans les grande villes, ce qui n’est pas le cas des petites villes de province ou de l’immobilier rural très sous-coté en réalité.
Charles SANNAT