Je peux vous dire que les bras ne cessent de me tomber du corps lorsque je lis le courroux de certains lecteurs…
« Mais Charles vous n’y pensez pas, l’éducation musicale c’est important », mais « Charles, et votre âme artistique », mais « Charles, si vous dites ça c’est que vous êtes riche » et blablabla et etc…
Je vous en passe et des meilleures, alors il va falloir revenir sur quelques concepts de bases importants et je vous invite déjà à relire la Constitution française sur les impôts, la propriété privée et ce genre de chose. Une fois compris la différence entre le communisme (pas de propriété privée) et un régime de liberté (la propriété privée) vous comprendrez que notre Constitution est incompatible avec le communisme et encore moins avec notre Déclaration des droits de l’homme et du citoyen.
Ensuite revenons en aux cours de flûte qui coûtent 2 000 euros à Monique, enfin aux contribuables vu que Monique ne paye même pas 200 euros par an.
Le 1er argument consiste à parler des arts qui ne sont pas rentables… et doivent être accessibles à tous. Je répondrai que c’est exactement pour cela qu’autrefois, dans un monde qui fonctionnait encore un peu, il y avait des cours de musique et de dessin de l’école au collège chaque semaine, justement pour mettre les arts et la musique à la portée de tous, je m’en souviens, moi aussi je faisais justement de la flûte et du solfège avec une flute en plastique à 10 francs accessible à tous ! Mais, c’était avant mes amis.
Oui. Je vous le redis.
C’était avant.
Avant que l’on considère qu’apprendre le solfège, les notes de musique, et la flûte à bec à 10 balles c’était trop compliqué pour nos enfants d’aujourd’hui.
Alors aujourd’hui on leur fait écouter du RAP et autres crétineries bien démago.
Personne n’a à payer les cours de flûte de Monique à 2 000 euros par an parce que cela relève d’un choix de loisir personnel et individuel et donc du porte-monnaie de Monique qui s’offrira soit ses cours de flûte, soit sa croisière, soit sa Mercedes, je m’en contrefiche, mais elle le fera avec son argent, ses deniers et pas les miens ni les vôtres.
Mais nous pouvons tous nous accorder, parce que cela me semble raisonnable et de bon sens pour que les cours de musique et de dessin soient dispensés comme autrefois de l’école au collège. Mais des vrais cours de flûte et de musique qui ne coûteront certainement pas 2 000 euros quand on voit ce qu’un prof est payé, et à ce prix, il est même possible d’offrir les flûtes à nos jeunes dont les parents n’en auraient pas les moyens. Il en va de même pour l’éducation artistique et la visite de Musés qui sont déjà payés par l’argent du contribuable, alors oui, les enfants devraient avoir accès à plus de musées, à plus de culture, à plus de savoirs et de connaissances.
Payer pour l’éducation de nos enfants d’accord, car ce n’est pas du « loisir », mais payer les cours de flûte de Monique non.
Tout ne relève pas du financement par l’impôt, au contraire, l’essentiel doit relever d’un choix financier personnel.
Nos dépenses sont un choix.
Je bois ma paye… et mes enfants n’ont rien a manger ? Un choix. Je préfère l’IPhone 27 à 2 000 dollars plutôt que de mettre de côté en cas de coup dur ? Un choix. Je préfère la Mercedes à la Dacia ? Un autre choix
A chacun de faire les meilleurs pour soi et sa famille dans le respect de la liberté du libre arbitre de tous.
Parce que Monique peut aussi se passer de cours de flûte mais pas de soins ou de médecins, et parce que les poches des méchants riches ne sont pas illimitées, il faut bien à un moment faire le choix de ce qui relève de la dépense personnelle et de la solidarité nationale.
C’est parce que collectivement, plus personne ne veut faire, ni n’accepte de faire ces différences que notre pays accumule 3 500 milliards d’euros de dettes.
Au bout du compte, le mur de la réalité sera pris de plein fouet par nous tous, et à commencer par toutes les Monique de notre pays.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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Je connais un prof de musique au collège qui n’avais comme budget alloué que 200€ pour des classes de 25 à 30 élèves.
Tout d’abord fini, le financement des flûtes et pipeaux par les parents en achat groupé et puis les pipeaux c’est dangereux. Imaginez un instant que le pipeau qui appartient à Paul et qui l’avait porté à sa bouche, aurait malencontreusement par pure inadvertance se retrouver entre les lèvres de Mohamed, nous aurions là une action qui pourrait s’apparenter à une volonté de nuire par arme à destination.
Le covidio interdit le port de flûte.
Donc l’état a financé des xylophones, 4 pour une classe de 25, donc naturellement pendant que Mahomed interprète le beau Danube bleu, Paul fait l’andouille avec ses contemporains.
Alors mon pote musicien a sur ses propres deniers, par l’entremise du bon coin et autres similitudes acquis des instruments variés pour pouvoir jouer de concert la cacophonie du nouveau monde.
C’est une histoire vraiment vraie .
C’est exactement ça les aides sont devenus aberrantes. On paie pour les loisirs des plus oisifs.
Le chèque de Noël me fait exactement penser à ces cours de flûte.
Par mon travail, je paie en impôt ce chèque de Noël sans en profiter. Et j’alloue comme budget pour chacun de mes enfants moins que le montant de ce chèque.
Les aides c’est se loger, manger, se déplacer quand on a un accident de la vie. Le reste, c’est de la folie et du vol.
Ces gens veulent une démocratie de gauche sans se rendre compte qu’ils vivent comme des communistes. Vivre d’aide d’état, c’est être communiste car c’est lui qui décide de ce que vous avez le droit de consommer par ce qu’il vous donne. 100€ d’essence et rien d’autre. Ou 100€ d’électricité et rien d’autre. Tous vous sera repris si ils le décident
Bonjour Charles. Je partage entièrement votre opinion. Cependant le cas de Monique est intéressant, je pense qu’en vérité elle représente un maillon important de stabilité financière et politique : Monique aussi modeste soit-elle représente le profil typique de l’épargnante prudente, qui ne touchera pas à son épargne tant qu’elle voudra par son assiduité faire plaisir à son professeur de musique, de même Monique votera toujours pour la belle figure ( pensez vous, avoir un PDLR aussi brillant qui aime une femme plus âgée au point de la marier est une vraie aubaine ) qui représente le pouvoir en place , celui lui apporte tellement de confort. Quelles que soient les situations le principe du cas de Monique est très répandu : les employés municipaux en surnombre pour avoir sa petite cours locale de pistonnés, la prime de rentrée des classes, les aides fiscales pour la voiture électrique ou la pompe à chaleur, les subventions pour les associations inutiles, la prise en charge de la modification de genre …A mon avis toutes ces situations modernes et absolument illogiques sur le plan économique et d’équité fiscale honteuse ont envahi nos us et coutumes, s’enracinent et obligent la nation à s’endetter. Pour régler cette fumisterie il faut un sacré courage politique et de ce point de vue je ne vois rien à l’horizon. J’ai la conviction que la solution est individuelle ; pour tout un chacun il s’agit d’agir pour diminuer son exposition à l’impôt : réduire son temps de travail, ne jamais acheter de voiture neuve ( pas de TVA ), n’investir dans l’immobilier que dans les communes où il y peu d’installations collectives à financer, se procurer des biens de consommation dans les circuits parallèles tels que ressourceries ou marchés aux puce ou LBC … de plus, cette moindre manne fiscale provoquant une décroissance annoncée ferait plaisir aux écolos, et permettrait de faire comprendre à Monique, qu’effectivement ça n’est pas à l’autre de financer son bon plaisir, car au bout du compte si nous avions en nombre l’intelligence de bien gérer notre fiscalité, il y aurait au total moins d’argent à gaspiller par nos élites.
Totalement d’accord avec vous. Et j’ajouterais que si elle prenait des cours privés, elle en aurait sans doute pour moins de 2000 euros. N’oublions pas que ces prestations sont systématiquement surfacturées aux administrations…
Bonjour Charles, effectivement, il faudrait que toutes les Monique de France et de Navarre paient leurs activités.
Coïncidence, ma mère s’appelle Monique et elle est à la retraite, elle fait de la marche nordique, elle paie, elle prend des cours d’aquagym, elle paie. Elle assiste à des conférences une fois par mois, elle paie. Pourquoi personne ne lui paie ses activité? Mais parce que ce n’est pas à la société de payer ses loisirs tout simplement!
La société lui verse une retraite, c’est à elle de décider ce qu’elle fait avec.
La solidarité nationale fait son travail (elle donne un revenu à ma mère qui après avoir bossé plus de 40 ans mérite de se reposer un peu). Mais ensuite stop. C’est à chacun d’arbitrer son argent et de définir ses priorités. Et qu’on ne vienne pas me dire que les gens n’ont pas accès à la culture sans argent versé pas l’état. Vous pouvez aller à la bibliothèque gratuitement. Chaque année, il y a des concerts gratuits en plein air où l’on peut écouter de la musique, vous pouvez aussi tout simplement brancher votre radio et magie …. de la musique. Vous voulez apprendre la musique mais vous n’avez pas l’argent, vous pouvez essayer de trouver quelqu’un qui joue et lui demander gentiment de vous apprendre. Vous ne connaissez personne, il y a des plateformes en ligne qui proposent des échanges de compétences. Bref, il y a pleins de solutions pour qui veut bien prendre le temps de faire marcher ses méninges quelques minutes. Mais le problème ne vient-il pas de là justement? A force de donner la béquée, l’Etat a fait de ses concitoyens des gens qui ne réfléchissent plus. La moindre contrariété devient une catastrophe. Les gens sont perdus, sans vision. Je crois que notre plus grand problème n’est pas tant que les Monique de ce monde ne puisse plus apprendre la flûte aux frais du contribuable, mais bien que plus personne ne sache fonctionner de son propre chef, sans maman Etat pour subvenir à tout.
De mon côté, je me demande comment nous allons sortir de ce système. Les Français ne sont plus capables de réfléchir autrement que sur la question de savoir à qui on va faire les poches pour continuer de payer toujours plus. Mais à un moment donné, une autre voie est possible. Redonner à chaque être humain sa dignité, sa responsabilité aussi…. Mais ça, personne n’en parle ou presque….
Pourtant je trouve que l’on a déjà beaucoup de joueurs de flûte, ce n’est pas ce qu’il manque. On en a même d’excellents que l’on pourrait qualifier de virtuoses…
3500 milliards de dettes !! ça c’est hors bilan, en réalité vous pouvez multiplier par 3 !!
En 50 ans ils ont tout détruit avec leurs cerveaux malades.
Tout ça pour ça !! et pourtant à y regarder de plus près ceux qui ont connu leurs grands parents verront des avancées considérables.
Vous croyez que ceux ci jouaient de la flûte à part une classe aisée où celle du saltimbanque qui le jour de grand marché venait divertir.
Nos grands parents malgré le dur labeur étaient pauvres, très pauvres avec de grandes bouches à nourrir !! Alors oui, c’était mieux avant, on se moque du monde !!
Le mal est venu que ces 50 ans ont développé trop vite le progrès et tout ce qui va avec et le résultat n’a pas rendu les gens plus heureux même avec des cours de pipeau payés par on ne sait qui !! par contre lorsque vous avez la satisfaction de vous les offrir de par votre sueur, là vous l’appréciez.
On ne peut qu’assister à l’agonie d’une époque révolue où rien n’était simple mais tout avait de la valeur
Si il n’y avait que la flûte !!On paye la cantine des autres , les billets de bus les repas des vieux avec Enrico Macias et consorts …
Tout à fait raison Charles ! On ne peux pas toujours demander à l ‘État ce qui relève de choix personnels.
L’art d’être un con, oui, mais ça c’est inné, ça ne se paie pas … le crétin qui va jouer de la flute aux frais du contribuable pendant que ceux qui bossent, bossent pour payer ce minable aux frais de la princesse. Il y a l’école pour fluter et le conservatoire aux frais des parents qui doivent assumer leurs enfants dans ce domaine. Bientôt, les associations demanderont de payer la came pour que ces petits chéris se sentent vivre au septième ciel. Un monde de malades.
Ah ah.
J’ai eu les « cours » de musique à l’école et au collège et j’espère qu’on est d’accord que c’est pas avec ca qu’on va vraiment apprendre grand chose de la musique et de la sensibilité aux arts.
Vous avez raison, c’est un choix de société. Comme le fait de promouvoir le sport grâce à l’impôt. Comme le fait de promouvoir les bibliothèques / médiathèques. Comme le cinéma francais (oui, c’est criticable, il est ce qu’il est mais en tout cas, on est un vrai pays de cinéma avec des artistes reconnus internationalement aussi).
Donc oui, je suis d’accord avec vous, c’est un choix. Mais perso, je persiste et signe. C’est important pour la société. L’art est tout ce qui nous divertit.
Juste pour rappel: pendant le covid, qu’est-ce qui a permis a presque tout le monde de ne pas péter une durite ? Oui, c’est l’art. Les livres, les séries, les films, la musique.
C’est pas avec des cours de 1h au collège qu’on transmet la passion de la musique…
Je vais 10 000 fois préférer donner des cours de musiques accessibles à tous que mettre 1 euro dans la défense nationale pour aller envoyer des gamins se faire buter au front.
C’est un choix.
Je souscris au propos…simple question de bon sens!
il y a bien longtemps que l’on nous raconte que l’on peut tout avoir…pour rien. C’est gratuit et c’est « l’Etat qui paye » parait-il !
la réalité c’est que rien n’est gratuit et que l’Etat ne paye rien : c’est nous qui payons . Triste France!
J’ai commenté hier, et je suis absolument d’accord avec vous sur le fond.
Si je me souviens bien, le maire affiche l’éducation musicale pour un enfant, et France 2 n’a rien trouvé de mieux que d’illustrer avec le cours d’une adulte amateur (qui représente une infime partie des élèves et dans des cas très précis, comme expliqué hier).
Mais le problème que vous soulevez est bien plus large. Et oui vous avez raison !
Moi, prof en conservatoire, je vois :
– des journées de la cohésion (la collectivité offre une journée de jeux divers (pétanque, etc.) à ses agents, sur le temps de travail !) auxquelles je ne suis jamais allé, préférant travailler,
– des cadeaux du Président à Noël (chaque agent reçoit un cadeau d’une valeur de 20 à 50€), mais le Président paye de sa poche ou de celles des contribuables ?!
– le délire écolo, avec des achats de vélos électriques utilisés 5 fois par an,
– l’obligation de souscrire à une mutuelle de l’agglo et une assurance perte d’emploi (on me prend ça sur le salaire, alors qu’avec ces sommes je pourrais augmenter moi-même mon assurance personnelle avec de l’or ou des actions)
– les impôts augmentent, la circulation avec le nouveau tram est bien plus difficile, la délinquance augmente, la crèche fait grève, etc.
Pas mieux merci ça fait du bien un peu de bon sens une qualité rare de nos jours…
Il y a vraiment des lecteurs qui critiquent votre point de vue frappé de bon sens ??? Sûrement qu’ils vous répondait avec avec ironie, je ne peux croire que des gens soit assez déconnecté pour soutenir le droit à Monique à des cours de flûte gratos à mes frais !
Je suis d’une génération où, en effet, il y avait la flûte à bec, rangée dans une chaussette pour ne pas être abîmée ! Notre instit avait un tourne-disques (à lampes) et des 78 tours, le 33 tours n’ayant pas encore accédé à l’Instruction Publique. J’ai eu la chance, en CM2 d’avoir un instit (avec blouse grise) qui avait acheté sur ses deniers le premier magnétophone : un système hybride qui mariait un disque gravé pour le suivi de la tête d’enregistrement et une couche magnétique. C’est ainsi qu’il nous faisait écouter notre « chorale » avec ses couacs, un moyen de nous améliorer, et ça ne coutait pas 2000 € par élève, d’ailleurs nous étions plus de 30 en classe, avec le respect du silence et le doigt levé pour intervenir. Sans oublier l’estrade, symbole de l’autorité du maître qui dominait ses élèves.
Un de mes petites-filles (13 ans) sort de cinquième. Elle m’a montré son « cahier de musique ». La photo du rappeur X (me rappelle plus le nom !), casquette de travers, histoire de savoir à qui on a affaire. Texte d’une de ses chansons. au ras des pâquerettes (dur, dur pour les pâquerettes !).
Pas de solfège, ne sait pas ce que c’est qu’une portée, pareil pour la clé de sol (hiéroglyphe ?).
Pas un mot sur les grands musiciens classiques etc….
Vivre avec son temps, c’est le quotidien. Quand on va à l’école, c’est pour s’instruire = culture…
Qui peut le plus peut le moins.
Quand je pense qu’en CE 1 (1956/57) l’instituteur nous a fait écouter « L’apprenti sorcier » de Paul Dukas, qu’il nous a expliqué les différentes scènes de l’histoire et comment elles étaient traduites musicalement…. Ce qui ne m’a pas empêché plus tard d’aimer les Beatles ! (Ceci dit, Paul Mc Cartney a une solide culture musicale classique.)
Excellentissime, comme d’habitude. Merci pour ces mises au point fondamentales, qui semblent échapper à certains de vos lecteur, pourtant, à priori, bien pensants.
Au collège ils n’enseignent plus le solfège ni l’histoire de la musique. Quelques fois, on parle musique à propos de « variétés ». D’un autre côté, j’ai eu une « prof » de musique qui dictait des pages sur les grands compositeurs classiques (biographies, etc.) et puis qui passait dans les rangs : j’écrivais plutôt mal, elle m’arrachait la page du cahier et je devais recommencer…
Heureusement, quand je me réveillais le matin, j’entendais de la musique classique : ma mère écoutait Radio Luxembourg.
Le soir, avant les informations de 20heures, il y avait les rapports du tiercé et de la bourse, puis un morceau de musique classique. Souvenirs de moments merveilleux.
On a déjà les politicards qui jouent de la flûte pour endormir et ça fonctionne pas besoin de plus !!! …. Merci!!!!!
Effectivement ça pique un peu 2000 euros l’année.
Mais préférer les cours de musique au collège, ou d’autres arts, comme il y a plusieurs générations ? Laissez moi rigoler un peu…
Sinon, inscrire ses enfants au conservatoire municipal de musique est un choix en effet. Les cours privés sont rares…
Clignant de l’œil, mon voisin me dit que quand il sera président il s’empressera d’interdire la flûte, na !
Il me rappelle aussi que quand le guide montre le chemin l’imbécile regarde le doigt.
Ah bon ?
Merci Charles de remettre les pendules à l’heure
J’ai 89 ans.J’ai appris à l’école primaire en plus de la morale, lecture ,écriture ,calcul(y compris calcul mental rapide) les sciences (expériences diverses),histoire et géo,chant et dessin ,couture , agriculture et hygiène, et plein air le samedi après midi.
Puis au collège les mêmes matières plus complètes Avec profs spécialisés cette fois Solfège et chant bien sûr.Et cuisine samedi matin et sport l’après midi .Les matches c’était le jeudi après midi .
Bravo mon cher Charles !! il en va de même pour toutes ces associations recevant de la part des communes des subventions pour exercer leur loisirs sans bourse déliée.Pourquoi financer un club de foot professionnel dont les joueurs sont payés des fortunes ? que le petit club amateur reçoive une aide pour que les jeunes puissent faire du sport n’est pas complètement choquant bien que discutable dans un pays en ruine,il le devient dès qu’il s’agit de dépenses somptuaires
Les collectivités territoriales n’ont pas à payer les cours de musique de Monique.
Elle peut s’inscrire dans une association de musique proche de son lieu de vie. Payer son adhésion à un cours collectif. Peut être avec des bénévoles. Il y aura sans doute une petite participation / subvention aux associations, mais pas dans les proportions annoncées (90% payés d’un montant astronomique de 2000€ pour un cours individuel)
Depuis que notre Mozart de la finance est à l’Elysée, c’est des cours de pipo gratuits pour tous le monde qui sont dispensés régulièrement pour peu que le bon peuple s’interessent à ses discours.
Flûte alors !
On a tant habitué les français à avoir un état nounou, leur payant tout ! Donc difficile de revenir en arrière maintenant. Nous sommes shootés au socialo-communisme, et il va falloir beaucoup de courage à nos « zélus » pour enclencher le nécessaire reflux. Beaucoup … . Et vu les profils actuels, ce n’est pas prêt d’arriver, car contrairement à beaucoup, eux ont une carrière à faire.
Alors je n’ai pas la référence. J’ai loupé une vidéo ou un reportage ou un info?
Je me rappel de l’école primaire ou on j’ai effectivement appris à jouer de la flute il y a plus de 30 ans (et j’ai encore ma flute dans son étuit en tissus couleur jaune moutarde ><) et où le prof de musique venait une fois par semaine nous faisait jouer et chanter.
Je ne savais pas que ça ne se faisait plus par contre, c'est effectivement une regression :\
Saine colère mon cher Charles ! Et coup de gueule juste.
Attendons les autres notations !
Bientôt le triumvirat FMI, UE et BCE, va bien nous obliger à arrêter nos inepties.
Même en rendant nos « riches » pauvre, la France, gérée comme elle l’est, continuerait à plonger économiquement et socialement.