Le Brexit est une opération complexe et là encore, les mondialistes europathes qui dirigent Bruxelles sont prêts à tout pour empêcher ce processus tant ils savent que le Royaume-Uni ira bien mieux en dehors de l’Europe que dedans !

Il faut donc par tous les moyens possibles, y compris l’intimidation et les rétorsions économiques, forcer le bras des Anglais, mais les europathes sont tombés sur un os : il existe encore cet esprit anglais assez indomptable, et la perfide Albion dispose de quelques moyens de pression également. Jugez-en par vous-même !

« Le ministre britannique de l’Économie Philip Hammond a menacé l’UE de « changer de modèle » fiscal et économique si son pays n’obtient pas un accès au marché européen couplé au contrôle de l’immigration lors des négociations du Brexit, à deux jours d’un discours clé de Theresa May.

« Nous devrions être capables de trouver un accord pour permettre, sur une base de réciprocité, l’accès à nos marchés respectifs sans l’intégration politique que l’adhésion à l’UE a impliquée », a déclaré le ministre dans une interview au journal allemand Welt am Sonntag.

Répétant que « le message du référendum est que nous devons contrôler notre politique d’immigration », il a précisé que ce contrôle devra porter, pour les ressortissants de l’UE, « sur la liberté de voyager pour venir travailler, la liberté de s’installer et la liberté de créer une entreprise. »

Les 27 autres pays de l’Union européenne se sont montrés fermes depuis le résultat du référendum du 23 juin sur le futur accès au marché unique, s’opposant à ce que Londres puisse en bénéficier s’il ne respecte pas le principe de libre circulation des personnes, en particulier de la main d’œuvre d’Europe de l’Est. Ils ont ainsi refusé de façon constante le choix par Londres d’un Brexit « à la carte ».

Le Royaume de sa gracieuse majesté peut vite devenir un paradis fiscal… et vu que l’Europe est devenue un enfer… le décalage pourrait paraître assez flagrant et tenter quelques millions d’aventuriers d’aller se faire tondre de l’autre côté de la Manche pour le plus grand bien de la couronne.

Charles SANNAT

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