C’est l’apocalypse, la fin du monde, car selon une étude de l’Inserm, l’organisme prévoit jusqu’à 25 000 admissions hebdomadaires à l’hôpital fin mars !!
Les médecins veulent depuis plusieurs mois maintenant confiner la France entière.
Mon avis n’a jamais varié.
Le confinement est une arme de dernier recours. Quand tout a échoué et qu’il n’y a plus d’espoir et plus le choix.
On ne confine pas préventivement.
Les médecins prévoyaient une horreur avec les fêtes de fin d’année.
Il ne s’est rien passé.
Ils voulaient tous confiner la France en janvier…
Il ne s’est rien passé et heureusement qu’ils n’ont pas été écoutés.
Je le dis et le re-dis, les tests sont un mauvais indicateurs car il y a nettement moins de malades que de positifs.
Le nombre d’admission à l’hôpital lui est plus révélateur mais avec une réserve toutefois.
Pour donner raison au corps médical et à l’Inserm, il suffit d’hospitalier tous les cas positifs.
Vous n’aurez pas plus de malades, mais vous pourrez remplir tous les lits à hauteur de 20 000 personnes par jour.
Alors quel est l’indicateur le plus pertinent ?
Pour le moment, ce sont les entrées en réanimation.
Elles sont globalement stables.
“L’Inserm n’est pas optimiste. L’Institut national de la santé et de la recherche médicale a publié dimanche 14 février une étude, réalisée en collaboration avec Orange Labs et Santé publique France, sur l’évolution du variant du Covid-19, nommé “B.1.1.7” ou “VUI-202012/01” identifié au Royaume-Uni. Ce variant pourrait devenir “dominant” en France entre la “fin février et mi-mars”, selon l’Inserm, qui a élaboré différents scénarios à partir notamment des données relatives aux admissions à l’hôpital.
“Ces données montrent qu’après une augmentation de leur nombre de décembre (6 700 hospitalisations hebdomadaires en moyenne) à début janvier (environ 9 000), l’épidémie a plafonné dans la deuxième moitié du mois, après la mise en œuvre du couvre-feu à 18 heures et le renforcement des mesures de distanciation sociales en France”, note l’Inserm. Mais dès que le variant B.1.1.7 sera dominant, et si la situation n’évolue pas, le nombre d’admissions à l’hôpital grimpera pour atteindre 15 000 autour du 7 mars, puis plus de 25 000 dans la semaine du 22 mars.
Pour rappel, lors du pic de la deuxième, plus de 20 000 admissions hebdomadaires avaient été enregistrées. En Ile-de-France, qui compte actuellement moins de 2 000 hospitalisations par semaine, on pourrait en dénombrer jusqu’à 7 000 d’ici fin mars, soit deux fois plus qu’au début du confinement de novembre“.
On verra bien ce qu’il se passera.
Avec les vacances scolaires, et les écoles étant en réalité le principal vecteur de la maladie et le principal lieu de contamination dans notre pays bien que personne ne voudra vous le dire haut et fort, l’épidémie pourrait même reculer ce qui ferait mentir les prévisions de l’Inserm et c’est à souhaiter.
Charles SANNAT
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Source France Info ici
Hahaha.
Blablabla…..
Noël et jour de l’an n’ont eu aucun effet…
Le couvre feu est un blague complète…
Ici aux ssspôrrtd’hiver, la classe aisée vie débridé, alcool en terrasse, attroupements, 20% de porteur de masque… Hahaha autant dire que c’est open bar pour ceux qui peuvent s’offrir des wacances…. Car pas un kepi à l’horizon…
Les képis c’est pour les gueux.
Alors les prévisions de l’inserm laissez-moi rire…
Mais il faut entretenir la poeürrr car il faut avoir le temps de TOUT privatiser..
Hahaha et c’est pas fini…
Si vous n’atteignez pas un certain taux de vaccination dans la population, leur plan s’écroule …
Donc ils vont continuer à vous faire flipper jusqu’en mai !
Actuellement l’épidémie recule PARTOUT quelque soit le mode de contingence !
Si le printemps est précoce et ensoleillé, ils auront du mal à tenir le discours …
Bonjour Charles, non, l’indicateur pertinent d’une pandémie est le nombre de cadavres dans les rues. Et rien à ma fenêtre depuis un an.
Pour ceux qui aiment lire, “Le Grand Livre” de Connie Willis décrit très bien de l’intérieur ce qu’est une “vraie” pandémie (ici, la peste).
Ah oui j’oubliais, en Savoie, le personnel hospitalier covid est en congé “forcé”….
Ouhhhhh pourtant il y a 292839 cas à la seconde…
Mon pauvre Charles
Depuis le début de cette crise, une chose est apparue de plus en plus évidente: la réalité n’a plus aucune importance. Nous sommes rentrés dans une nouvelle ère, ça devient flagrant.
Il y a d’une part ce que les autorités disent: “la situation médicale est catastrophique”, et la réalité, qui n’a rien à voir.
On se retrouve dans un cas de figure où la vérité officielle diverge de plus en plus de la réalité, on peut l’observer dans presque tous les domaines. Faites-y attention, et ça devient criant.
Ne serait-ce pas un signe d’une entrée dans une dictature de moins en moins complexée?
Les mêmes nous promettaient, en 2020, 400 000 morts…
C’est là qu’est l’os!
Bonjour Charles,
Je tenais à réagir à votre article, qui malgré le fait que j’apprécie tout particulièrement lire vos raisonnements tous les matins, celui-ci me semble profondément erroné, en particulier votre dernière phrase : “Pour le moment, ce sont les entrées en réanimation”.
En effet, il faut placer les choses dans leur contexte : le nombre d’entrée en réanimation est un indicateur pertinent, certe, tous le monde en conviendra, mais pertinent pour qui ?
Pour répondre à cette question il est nécessaire tout d’abord de chercher à comprendre quelle information cet indicateur nous donne-t-il ?
A cette question, la réponse semble être : le nombre d’entrée en réanimation nous indique le niveau de chienlit présent et à venir dans un futur proche.
On en déduit que cet indicateur est pertinent pour un niveau de management opértionnel du type “chef de service hospitalier” afin de préparer ses troupes
Le gouvernement n’opérant pas à ce niveau de granularité, il se doit, lui, d’éviter de mettre ses services en défaut et pour cela il doit faire preuve d’anticipation. Il est donc clair que le niveau d’entrée en réanimation n’est absolument pas un indicateur pertinent pour la prise de décision à l’échelle nationale.
Mais alors quel indicateur ?
Le nombre de nouvelles hospitalisations ? En définitive, n’est-ce pas peu ou proue le même type d’indicateur que le précédent ? Si, à la différence qu’il donne 10 jours d’avance, il interessera alors le niveau de management supérieur, soit le type “Directeur régional de santé”, qui pourront anticiper les zones qui vont être submergé et ainsi réorganiseront à une échelle territoriale les rustines à apporter. Ce n’est donc toujours pas l’affaire du gouvernement.
Le nombre de cas positif ? C’est déjà plus intéressant. Il ne nous indiquera certes pas avec précision le nombre de mort ou la pression qui sera mise sur le système hospitalier, mais il est un indicateur pertinent dans le sens ou il indique la hauteur de la vague (cf 2ème vague majoritairement dû à des jeunes asymptomatiques qui rentrés de vacances on allègrementpropagés le virus dans leurs entourages plus agés et plus sensible qu’eux). Ainsi, lorsque confiner est la seule solution radicalement efficace (qu’avons nous comme autre choix pour éviter la mort de nos anciens et des séquelles encore mal connues qui affecteront les survivants), c’est cet indicateur qui me semble le plus pertinent. Pertinent car il permet d’appréhender par anticipation les vagues futurs et c’est là le niveau de management auquel appartient le gouvernement et son président.
On pourrait se poser la question de la validité de l’objectif que le gouvernement s’est fixé : limiter le nombre de morts quoi qu’il en coûte. Mais est-ce que remettre en question les objectifs que nous nous sommes fixés en plein milieu de la crise est la meilleure chose à faire ? Je suis presque sûr que non. La remise en cause de l’autorité du chef et de sa vision n’apporte que chaos et méfiance.
Nous aurons tout loisir d’en changer l’année prochaine, en attendant, rongeons notre frein en patience et serrons les dents.
Merci encore pour vos articles,
Thomas.
Macron annonçait lors de sa prise de parole d’octobre 2020, 400000 morts à venir. En fait ce chiffre est fantaisiste, faux, tout simplement mensonger.
Il n’y a plus d’épidémie depuis neuf mois! Les variants sont une “greffe” du covid 19, lancée par le gouvernement français et Macron, pour maintenir la population dans la peur et les convaincre de se faire vacciner avec des thérapies géniques toxiques.
N’oubliez pas que le Remdésivir, acheté massivement par l’UE, cause l’émergence de variants (d’après les déclarations censurées de la généticienne Alexandra Henrion Caude) et constitue un produit dont la toxicité est reconnue par de nombreux scientifiques sérieux.
Nos médecins “pataugent” face à ce(s) virus encore mal connu.
En l’ occurrence la médecine n’est pas une science exacte.
Quant à nos politiques, ils s’efforcent de masquer leur impuissance…
Thomas je pense que vous êtes intoxiqué, éteignez donc votre téléviseur et ouvré une fenêtre puis regardez dehors…
Vous nous indiquez de suivre le même raisonnement fallacieux que le gouvrene-ment, avec la justification, faite pour le pire et ça ira…
Sauf que la réalité de la vraie vie est dehors et qu’il ne se passe pas grand chose dehors, juste des boutiques closes, des visages clos.
Le prix de la vie c’est la mort au bout, on peut faire ce que l’on veut pour le moment ; riche ou pauvre aucune importance, au bout d’un temps le reste à vivre tombe à zéro.
Hors, le mantra actuel est que pour protéger de la mort on tue la vie…
Sacré paradoxe !
Merci Thomas. Il est difficile cependant de convaincre les personnes à majorité dans le déni. Chiffres et anticipation ne font pas bon ménage derrière les obsédés de la démonstration complète. Comment prouver qu’il y aurait eu 400000 morts quand on a réagi pour les éviter ? Alors que les chiffres économiques sont indéniables. Pourtant, j’attends toujours l’effondrement du système … bien avant les prédictions de Charles. Il faut croire en une certaine aptitude du système à planer sur l’abime, non ?
taisez vous, et laissez faire le “plan” pour l’avènement du passeport vaccinal obligatoire….
Qui a entendu parler d’un cluster suite à la rave party à 2000 personnes en Ile et Vilaine?
Merci Thomas et Fredleborgne. Ça fait du bien de voir qu’il n’y a pas que des complotistes a lire ce blog !
On verra si la boule de cristal de l’Inserm est meilleure que la mienne fin mars. Moi je prédis qu’on n’aura pas ces chiffres. Après une période de froid glacial on rentre dans une période de douceur printanière pour au moins 10 jours qui va freiner tous les maux hivernaux, Covid y compris. Et d’ici fin mars le printemps sera peut être définitivement installé sur une partie de la France et la Covid disparaîtra peu à peu.
la réalité c’est 0 cas en médecine générale dans ma ville aujourd’hui (>250000hab). pourtant c’est là que viendraient ceux avec des symptômes et ayant déjà des difficultés mais l’échelon préalable à la réa. et là 0 patient !
en janvier il y en avait, mais pas beaucoup… alors qu’en mars -avril – mai 2020 là il y en avait beaucoup
les experts se trompent très souvent, c’est à cela qu’on les reconnait. ( et à leurs salaires aussi, évidemment)
comme disait feu Pompidou, arrêtez d’emmerder les français.
Qui délire le plus, les “complotistes”, ou ceux qui ont émis des estimations à 400.000 morts ?
ben apres vaccination c’est un peu normal .. effet secondaire :p
@JLG : mais alors, que faites vous ici au milieu des complotistes ? Allez donc voir des blogs de journaux sérieux comme le monde ou autre site de bfm…
Attention, le scénario catastrophe est l’un des 3 étudiés, celui où la distanciation sociale se relâcherait
(https://www.epicx-lab.com/uploads/9/6/9/4/9694133/inserm_covid-19-voc_socialdistancing-20210214.pdf)
ps : mes messages ne passent plus…
Pour info, le site officiel “Sentinel” des médecins généralistes et pédiatres ne voit toujours rien (accessible à tous pour lire les données).
Pire, les archives de 2015 montrait une France rouge écarlate d’une vrai pandémie grippale … mais pas nos comploteurs à cette époque.
Ah! Nous vivons une grande “comedia dell’arte”, plutôt éprouvante lorsque l’on s’attache au factuel.
Mais bon, il faut s’adapter à la modernité, n’est ce pas?
Bonjour Charles,
Je réagis à votre article d’hier, je ne peux pas être tous les jours devant mon écran, il faut parfois aussi gagner sa croûte…
Si vous cherchez les malades du covid et l’engorgement des services de réa, rassurez-vous, vous ne les trouverez pas aux mêmes endroits qu’auparavant. Hormis la région nicoise que je salue, ces dans les petites provinces que vous pouvez les trouver. Et pour ceux qui crient “il ne s’est rien passé à Noël”, peut être leur faut-il sortir de leurs grandes villes pour ouvrir les yeux… Le schéma était malheureusement prévisible. J’habite en Dordogne. Jusqu’aux fêtes de Noël, rien, ou quasi… Le virus ayant du mal à passer d’un humain à un autre en faisant du saute mouton (ou vache, il y a plus d’éleveurs de bovins dans cette région), on étaient assez tranquilles. Et puis Noël est arrivé. Je suis infirmière libérale, je peux témoigner de la réalité du terrain. Les gens ont littéralement débarqué des grandes villes et pendant 1 semaine nous avons été harcelés au téléphone avec le même discours à chaque fois : “bonjour, c’est pour faire un test covid, je viens d’arriver chez mes parents et je voudrai voir ma grand mère ce soir”… Euh… Oui mais non… Enfin, nous voulons bien tester les gens mais dans les campagnes le nombre de soignants et proportionnel à la population, donc on a fait notre maximum, on a fini les vacances épuisés… Un paradoxe… Mais ce qui fut inquiétant c’est de constater, et ce fut le cas pour nos collègues des autres cabinet aussi, que tous ces braves gens étaient en activité dans leur bureau le vendredi, chez papa maman sans masques le samedi et en visite chez mamie à l’ephad le mercredi….. Alors oui on les a testés lundi…. Mais… C’est actuellement une hécatombe dans nos ephad… Et c’était prévisible. Une personne contaminée, sans symptôme, va en contaminée une autre etc… Il faut 2 ou 3 semaines avant qu’un cas symptomatique déclenche une série de tests. Mais le temps qu’on les repère, il est trop tard, fin janvier le nombre de cas a explosé (c’est nous qui testons, et croyez moi, on n’arrête pas…)… Et les personnes âgées ne vont pas en réa. Elles ne vont pas non plus à l’hôpital systématiquement. On a eu plusieurs patients qui sont décédés, dans les différents cabinets c’est la même chose. Ce ne sont pas des vieux de 95 ans. Ceux là sont trop isolés (et on les protègent assez bien finalement), ce sont des “jeunes” autour de 65/70 ans…. À vous de voir ce que vous en pensez.
Ça se calme maintenant car à chaque fois (hormis avec les “non croyants dans le virus” ) les porteurs sont isolés et les vaches reprennent le dessus en geste barrière… Mais les vacances ont commencées et… Les gens de la ville, y compris les londoniens et nos amis belges, sont de retour….
Merci pour vos infos sur l’économie, je les lis avec avidité et curiosité mais demandez nous des nouvelles si vous voulez des infos sur la santé
Bonne journée à tous
Nathalie