Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Je vais vous montrer que le camarade Zucman nous prend vraiment pour des bourriques, mais avant et pour tenir dans cet enfer fiscal qu’est la France et résister au délire de la foire à la saucisse fiscale que représente cette discussion budgétaire bien trop longue et totalement folle, commençons par la seule, l’unique, l’indispensable thérapie !
C’est une thérapie gratuite.
C’est une thérapie accessible à tous.
C’est la thérapie par le rire et par l’humour alors j’appelle mon maître de l’humour, le grand, l’immense Louis de Funes dans la Folie des Grandeurs où il incarne Don Salustre le ministre des finances et taxovores de l’époque du roi d’Espagne.
Vous remarquerez que rien n’a vraiment changé !
Vous remarquerez aussi, qu’ILS veulent toujours qu’on les acclament !
Ils veulent en plus que nous les remercions de nous prendre notre pognon, pour le gérer comme des bachibouzouks du capitaine Hadock.
Enfin n’oubliez pas cette réplique célèbre : Les riches c’est fait pour être très riches, et les pauvres très pauvres !
C’est pour cette raison que les riches finiront par ne point trop payer (encore une fois le problème ce sont les conditions économiques créées par la mondialisation le vrai sujet) et les petits que nous sommes paieront tout ! Je vous met d’ailleurs une vidéo d’un entrepreneur qui explique à un député macroniste tout le bien qu’il pense des taxes sur les GAFAM que lui finit par payer car Google les lui refacture bien évidemment !
Allez d’abord mes amis, rions un bon coup!
Bon vous avez rigolé ?
Maintenant je vous propose un coup de Malhuret qui est le tonton flingueur oratoire du Sénat (et qui est nettement moins drôle quand il parle avec une immense violence des non-vaccinés, mais c’est un autre sujet) qui a le mérite cette fois de poser un diagnostic parfaitement « partagé » pour rester dans le politiquement correct.
Taxe Zucman : « Depuis quelques jours le concours Lépine des taxes les plus déjantées bat son plein à l’Assemblée, mené par les pistoleros de la justice fiscale. Que comptez vous faire face à cette Assemblée prise de folie fiscale ? » @ClaudeMalhuret #QAG pic.twitter.com/b5Py7y4QKe
— Public Sénat (@publicsenat) October 29, 2025
Maintenant convoquons notre cher (très cher) Gabriel Zucman à la barre du Tribunal de la fiscalité confiscatoire (c’est un truc imaginaire qui n’existe pas hein, c’est de l’humour) et lisez sa définition d’une action…
Qu’est-ce qu’une action ?
C’est un bout de papier qui donne à son détenteur le droit de percevoir les bénéfices d’une entreprise.
Ces bénéfices, quand ils sont versés aux actionnaires, s’appellent des dividendes.
— Gabriel Zucman (@gabriel_zucman) October 28, 2025
« Qu’est-ce qu’une action ?
C’est un bout de papier qui donne à son détenteur le droit de percevoir les bénéfices d’une entreprise.
Ces bénéfices, quand ils sont versés aux actionnaires, s’appellent des dividendes. »
Meuhhhhhh qui l’est mignon notre Gabinou (comme disent les vaches normandes dans mon coin).
Mais il nous prend pour des quiches !
D’abord une action n’est plus un petit bout de papier (moi aussi je peux prendre les autres pour des jambons avec ou sans nitrites) parce que maintenant ya eu les zordinateurs qui font clic-clic panpan (les jeunes comprendront sans doute la réf et les parents qui ont des « sales » gosses aussi). Et maintenant qu’il y a les zordis mon Gabinou les zactions elles sont nu-mé-ri-ques !
Ensuite cela donne le droit de percevoir des bénéfices d’une entreprise… oui mon Gabinou mais ça c’est à la fin.
Allez, toi qui est normalien supérieur tu vas te prendre un cours d’économie de grenier normand de province bien inférieur, mais là à Normale Sup, il semblerait y avoir quelques trous dans la raquette tout de même !
Alors, une action c’est une part d’une entreprise.
C’est donc un titre de propriété !
Ce titre de propriété donne avant tout des pouvoirs appelés droits de vote.
Quand toi avoir beaucoup de droits de vote, toi pouvoir décider de la stratégie de l’entreprise et prendre décisions opérationnelles ou nommer grand chef et Centurions mis à la tête des Légions (si je parle ainsi, c’est uniquement en référence au chef d’œuvre et au cour d’économie magistrale donné dans le manuel Obélix et Compagnie où le jeune Néarque en référence aux Enarques, s’adresse aux Gaulois du village comme à des demeurés ce que fait exactement le Gabinou Zuc ici avec nous, les gueux).
Ce droit de vote peut voir sa valeur cotée en bourse quand l’entreprise est trèèèèèès grosse (et la Zuc est content car il se dit qu’il va pouvoir prendre plein de sous pour rentrer dans l’histoire et avoir son prix Nobel).
Mais ce droit de vote qui est un titre de propriété peut aussi valoir 0… si l’entreprise fait faillite, ou beaucoup moins quand elle a des difficultés et ce ne sont pas les actions dont la valeur baisse qui manquent ! Tient, prenez l’automobile. Pas fameux ces derniers temps.
Au bout du compte l’entreprise peut faire des bénéfices. Un peu, beaucoup, à la folie…. et même pas du tout ce qui marche aussi avec les pétales de fleur puisque tu nous prends pour des bourriques.
Mais imaginons qu’il y ait beaucoup de gros et baveux bénéfices dégoulinant d’injustice fiscââââleu…. Il va y avoir l’impôt sur les sociétés, la participation et l’intéressement pour les gentils salariés, et puis des réserves obligatoires, complémentaires en fonction des choix, des sous conservés pour réinvestir ou faire face aux coups durs et l’assemblée générale (tous les petits détenteurs d’un petit bout de papier hein, mon Zuc) vote pour savoir combien ils verseront de dividendes généralement 18 mois après avoir démarré l’exercice comptable.
La valeur du petit bout de papier « à Zuc » n’est jamais certaine, jamais la même et jamais réalisée, concrétisée sauf quand on vend son petit bout de papier… et là, boum, la taxe, sur les plus-value à maintenant presque 32 % pour l’Etat qui n’a toujours rien fait à part jouer au Don Salustre une fois de plus.
Zuc veut taxer le petit bout de papier au lieu de taxer les revenus que procurent le bout de papier… et c’est complètement crétin raison pour laquelle personne ne l’a déjà fait pas même en France!
Et pour faire avaler aux gens, qu’il prend pour des ânes, son histoire, il nous raconte des âneries, il maquille la réalité, change les définitions et omet la vérité et la réalité de ce qu’est une action profondément à savoir d’abord un titre de propriété dont la valeur peut aller très haut ou à zéro.
C’est vilain, c’est moche, c’est intellectuellement affligeant, parce que je ne peux pas un seul instant imaginer que notre Zuc national avec son pédigré académique ne sache pas ce que c’est qu’une action.
Alors mon Gabinou, l’honnêteté intellectuelle c’est quand même important, sinon il ne reste plus que l’idéologie et cela nous mène dans le mur depuis 50 ans !
Pour la route les explications du camarade entrepreneur Rafik Smati qui payent les belles taxes imposées aux Gafam par nos vedettes politiques… un bel effet Cobra !
Le délire fiscal continue ! Face à un député qui propose d’augmenter la « taxe GAFAM », je brandis en direct la facture que mon entreprise paie à Google. Et je lui démontre que c’est moi, PME française, qui, in fine, paie cette taxe, à travers une ligne intitulée « Coût… pic.twitter.com/nJ7NSLU1kW
— Rafik Smati (@RafikSmati) October 29, 2025
Bande de Bachibouzouk et d’ectoplasmes fiscaux, foutez-nous la paix !
Occupez-vous de l’évaporation fiscale de 1700 milliards d’euros dont vous n’êtes pas les héros… mais les responsables et les coupables.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
 « Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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Le plus sidérant est qu’une pareille absurdité économique ait pu
prendre l’ampleur médiatique et politique que l’on sait. Que cet
idéologue gauchiste manipulateur et malhonnête ait pu voir
l’immense majorité de la classe jacassante lui ouvrir ses colonnes
et lui tendre ses micros ! A la fin, ce monsieur aura gagné une
notoriété spontanée proche de 100% et grâce à ça va pouvoir
vendre sa soupe sous forme de livres, conférences ou même
publicités….. C’était évidemment son but principal. Écœurant
Oh je la connais très bien la facture google !!
Ils ont su se rendre indispensables mais le sont-ils réellement ?
Leur système d’enchères adwords est une arnaque totale, vous ne gagnez pas des euros mais des clients qui ne sont plus ou très peu fidélisables vu le nombre d’offres sur internet et la versatilité de l’e-acheteur.
Ce Mr Smati est soit un menteur, soit un idiot.
S’il continue de payer bêtement ses adwords, c’est son problème.
Et il n’y a pas que google, amazon fonctionne exactement de la même manière, quand j’étais aux affaires, on payait 10% de commission, puis c’est passé à 15% et quand je me suis retiré des affaires (2016), on était à 17%. (secteur mode) + tous les frais cachés bien entendu.
Ces grosses plateformes sont là pour se rendre indispensables (facile qui gère internet ? –> armée USA), et une fois en position dominante, elle pille et élimine méthodiquement les entreprises du pays.
Mais il a raison sur le fait que la taxe sera reportée sur les clients de google vu que google est en situation de monopole et que ses clients sont devenus complètement drogués aux adwords.
Donc vous voyez pour qui bosse réellement Zucman … (Comme Gluckmann ou Robert Schuman en sont temps !! Désolé pour le hors sujet).
Les américains ont compris qu’il faut vous droguer pour vous fidéliser à vie.
Le meilleur exemple est la crise des opioïdes. Mais il y a beaucoup d’autres exemples :
Explosion du sucre dans la nourriture = addiction, addiction aux réseaux sociaux, aux jeux, système swift, réparation (F35, J. Deer, …), extraterritorialité du droit, etc etc etc … Ils ne cherchent plus à être les meilleurs et vous convaincre, ils cherchent à vous rendre dépendants et/ou vous contraindre.
C’est pareil pour Amazon ou google, ceux qui ont bati leur modèle économique avec ces sites sont aujourd’hui dépendants, ils ne peuvent plus faire machine arrière sauf à licencier 30%-50% de leurs équipes et réduire la voilure. Impossible !!
Donc ils continuent, ils font du CA sans plus de résultats, la marge partant aux actionnaires US sans taxes ou presque.
Comme tous drogués, décrocher est très dur mais nécessaire car on sait tous comment cela se termine à plus ou moins long terme : La mort.
Quand on voit ce pauvre Arnault, marionnette décérébrée et disloquée pour lesquels des abrutis ont voté, le reste est du même acabit … la gauche, un parti de crétins totalement déconnecté des réalités dont financières et dont le cerveau s’ils en ont un tourne à vide … ça fait longtemps que ça aurait dû être éjecté de la sphère politique, si cela était il ne resterait, il est vrai, plus personne, un ouragan fait moins de dégâts … quand la tête est pourrie, le reste suit …
Quand on me prend pour un imbécile je répond toujours aux cons !
Mais n’allez pas trop loin, je ne sais pas m’arrêter ! Un peu beaucoup comme tous ces enfoirés !
Ravie de vous voir sur TOCSIN Charles!
La maladie infantile du socialo-communisme est que pour lui tout les hommes sont égaux ou doivent l’être de force si nécessaire sur cette planète .Manque de pot , ce postulat est faux , car par nature les hommes sont tous différents et uniques.Ce qui est contre nature ne fonctionne pas , n’a jamais fonctionné et ne fonctionnera jamais Les Zucman en sont la parfaite illustration
Je prends les paris que Zucman n’a jamais dirigé une entreprise comme la majorité des députés de gauche.
Très bonne mise au point de Rafik Smati !
Ce ne sont que des parasites, des sangsues qui se gavent sur notre dos. Ignares, malhonnêtes, nuisibles.
Les diplomés en sociologie ont compris que le plus grand nombre d’un groupe humain est toujours constitué de benêts faciles à duper….ce qui est une façon de rentabiliser leurs etudes par ailleurs superflues.
On a le sentiment d’ un pays qui se suicide, sur le plan financier comme sur le plan social, avec un pouvoir politique totalement déconnecté des réalités…
Les vérités dites par M. Smati passent pas mal sur ce plateau de journalistes et politiciens pourris.
AU FEU !!!
Avec LECORNUL comme PM, on est dans la merde.
Très intéressant.
Après il faut pas se leurrer chez Google, ils sont malins de marquer une ligne supplémentaire pour marquer les esprits européens
Le pire dans tout ça.. Ils ne savent que TAXER…
Aucun parti politique souhaite réduire les dépenses…
Marre de ces abrutis au pouvoir… Qui se gavent sur notre travail..
La politique est devenu un métier très très bien payé avec le fruit de notre travail !!!
Tous dehors
Ce que je me demande, c’est comment se fait-il que des gens comme lui autrement plus intelligent que moi, puissent faire des raccourcis intellectuels que même les imbéciles comme moi trouvent stupides, poussant ainsi à décrédibiliser tout le reste de leurs propos qui pourrait être intéressant, notamment lorsqu’il parle des optimisations fiscales qui selon moi Sont un réel problème. Même s’il est vrai qu’au fond, le gros problème, c’est et ce sera toujours ce qui est fait de toute la laine qu’ils amasse sur le dos des contribuables.
Mr Smati a tout dit. C’est terrible.
Et où travaille-t-il ? Aux USA pardi où il vaut mieux la fermer avec ces théories vaseuses …
Pour apporter de l’eau à votre moulin, qui n’en a guère besoin: il y a quelques années, j’ai acheté des actions (une centaine) d’une entreprise vendéenne que j’imaginais promise à un brillant avenir. Le cours était aux alentours de 19 euros. Aujourd’hui (je viens de vérifier) le cours est à 4,12… Je suis donc un « âffreux ultra riche ». En attendant, j’ai permis à cette entreprise de se développer et je continue à espérer (en imaginant avoir un jour raison) que j’en tirerai, a minima, une opération nulle.
Il faut se rendre à l’évidence : notre pays vit aujourd’hui sous perfusion.
Ce n’est pas seulement une affaire d’aides sociales ou de “fainéants”, comme on aime parfois le caricaturer. Non, c’est bien plus profond. Tout le pays est devenu dépendant de l’État : les citoyens, les entreprises, les collectivités, et même les élus.
La dépense publique fait vivre tout le monde.
Le RSA soutient la consommation, les subventions font tourner les PME, les marchés publics nourrissent les grands groupes, et les dotations entretiennent les communes. Chacun, à sa manière, profite d’un système qu’il critique sans jamais vouloir s’en passer. Nous sommes collectivement accros à l’argent public.
Ce modèle, hérité de l’après-guerre, reposait sur un équilibre fragile : beaucoup d’actifs, peu de retraités, une croissance forte.
Mais cet équilibre a volé en éclats.
Aujourd’hui, la dette explose, la productivité stagne, et la France vit au-dessus de ses moyens. Nous dépensons plus que nous produisons, en espérant que la machine tienne encore un peu. C’est une illusion confortable — mais dangereuse.
Le plus inquiétant, c’est que les politiques encouragent ce système, parfois consciemment.
L’assistanat électoralement rentable, la redistribution comme instrument de paix sociale : on achète le silence des uns et la résignation des autres. Réformer devient impossible, car chaque réforme touche un groupe dépendant. Résultat : on ne réforme plus rien, on colmate.
Ce modèle, hérité de l’après-guerre, reposait sur un équilibre fragile : beaucoup d’actifs, peu de retraités, une croissance forte. Mais cet équilibre a volé en éclats.
La cure de désintox sera douloureuse.
Il aurait tort de s’en priver, nous sommes des grosses quiches qui méritons ce qui nous arrive, et ce n’est pas fini !
Vu la foire à la saucisse comme vous dites et les diverses élections qui ont eu lieu depuis maintenant des dizaines d’années, il ne faut pas avoir fait polytechnique pour s’apercevoir que ce « merdier » est inextricable et que, tel un noeud Ggrdien, il faudra un couperet extérieur pour le trancher, non cela ne viendra pas de l’intérieur, c’est impossible.
La claque !!!!!!!!!!!!!