Le gouverneur de la Banque de France, François Villeroy de Galhau, s’est dit lundi favorable à des « mesures anti-optimisation fiscale sur les hauts patrimoines » dans le cadre du budget 2026.
Trois jours après la dégradation de la note souveraine française par Fitch, il a appelé à un assainissement rapide des finances publiques afin de ramener le déficit à 3 % du PIB en 2029. « On ne peut plus attendre », a-t-il déclaré dans Le Parisien, plaidant pour un « effort partagé » reposant principalement sur la maîtrise des dépenses, mais incluant des mesures fiscales exceptionnelles et temporaires.
Le gouverneur a insisté sur la nécessité d’épargner les classes moyennes et les PME.
La Banque de France a par ailleurs relevé à 0,7 % sa prévision de croissance pour 2025 (contre 0,6 % auparavant), tout en abaissant légèrement celles de 2026 et 2027 à 0,9 % et 1,1 %.
Encore une fois, le sujet n’est pas de prendre plus à ceux qui ont encore, mais de lutter contre les conditions d’un enrichissement indécent et les causes c’est la mondialisation (produire à pas cher là-bas pour vendre très cher ici, sans droit de douane et en se faisant taxer dans un paradis fiscal), et d’augmenter la prospérité de l’ensemble du pays et cela ne se fait jamais contre une catégorie de citoyens, l’URSS a tenté l’expérience. Une fois tous les riches exilés, en fuite, au goulag ou tué, cela a été la misère générale, en ex-URSS comme en Chine ou au Cambodge. Donc ça suffit maintenant.
Quant à Monsieur de Galhau, il ferait bien de travailler et de plancher sur le sujet suivant : Une bonne politique monétaire modernisée pourrait-elle relancer la croissance et l’optimiser ? La réponse est oui, 100 fois oui et j’aurais l’occasion de vous en reparler prochainement beaucoup plus longuement.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
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Source RTL ici
Une solution, abroger la loi Giscard de 1973 et faire rembourser tous les intérêts perçus par les voleurs, Rothschild et compagnie. On s’est fait gruger dans les grandes largeurs. FREXIT, ça nous coutera moins cher que de continuer avec ça.
C’est utile de comparer les mesures fiscales actuelles aux expériences malheureuses des régimes autoritaires du XXᵉ siècle. Mais je crois qu’il est utile de rappeler qu’en France, l’histoire a suivi un chemin très différent.
À la Révolution française, l’objectif n’a pas été de détruire la richesse mais de la redistribuer et de casser les privilèges féodaux, tout en créant un socle fiscal commun.
Sous Napoléon, puis avec l’action d’Haussmann sous le Second Empire, l’État a massivement investi dans les infrastructures, l’urbanisme et l’organisation administrative. Cela a eu pour effet d’élargir la prospérité et de moderniser le pays, sans pour autant éradiquer l’initiative privée.
Après 1945, la France a connu une politique de nationalisations partielles (près de 25 % de l’économie), mais dans un cadre démocratique et avec une forte reconstruction industrielle. Loin d’appauvrir le pays, ces choix ont jeté les bases des « Trente Glorieuses ».
Autrement dit, nos expériences françaises d’intervention économique – qu’elles aient été fiscales, sociales ou industrielles – ne s’apparentent en rien aux expropriations brutales et idéologiques des dictatures russes, allemandes ou asiatiques. Elles visaient au contraire à renforcer la cohésion nationale et à accroître la prospérité collective.
Qu’il commence par ne plus percevoir son indemnité de logement pour habiter chez lui….et qu’il se taise!!
Faire semblant de taxer les riches pour retirer l’argument d’une injustice en taxant réellement le prolo… C’est du Mozart !
Prendre aux riches, mais aussi aux chômeurs, aux retraités, aux malades. Ils n’ont plus que ça. Mais aucune remise en cause sur les dépenses.
Tiens donc, au sujet de la Dette, il parait que le capital n’est jamais remboursé, d’où l’accumulation monstrueuse constatée actuellement…
Sans oublier les retraites du secteur public :
« Directement financé par le budget de l’État, ce compte d’affectation spéciale ne permet ni d’identifier un solde avant subvention d’équilibre ni un besoin de financement, laissant à penser que, contrairement aux autres régimes de retraite, le régime de la FPE serait équilibré. »
(source: IFRAP)
C’est certain qu’avec de telles « recettes » on va y arriver…
Il a été vendu aux citoyen le libre échangisme il y a plus de 50 ans qui est un des attribut de la mondialisation sans retenue ,sauvage et sans gardes fous , le résultat est là : un pays sans industries qui ne crée plus de richesses et sans matières premières pour en créer ,; la suite était prévisible dans la fuite de la seule richesse qui restait la matière grise .Pour remonter cette pente il faudra des vrais alpinistes et sur le temps long,nous n’en prenons pas le chemin
ce monsieur, » élite auto-proclamée » gagne 400000 euros/ an : il sait donc comment moraliser le système !
Et 3% – chiffre mythique sans aucune base scientifique du traité de Maastricht – est encore beaucoup trop, cela ne devrait pas dépasser la croissance du PIB si on veut éviter que le ratio dette/PIB n’augmente
François Villeroy de Galhau, le gouverneur de la Banque de France, est le fonctionnaire le mieux payé dans l’Hexagone. En plus d’une indemnité de logement et d’indemnités internationales, il perçoit la somme de 310 678 euros
En 2024, la rémunération totale du gouverneur s’élevait à 508 687 euros brut, comprenant un salaire de base et une indemnité de logement.
Mais c’est simplement la suite logique.
On a ruiné le pays appauvri la population donc il ne reste plus qu’à faire fuir les riches pour que le peuple accepte qu’on taxe l’épargne des pauvres pour « sauver le pays »…
C’est juste la continuité du plan.
Il veur taxer dans les paradis fiscaux alors….. moooort de rire.
Il ferait mieux de faire amende honorable sur le retard à l’allumage de la BCE en 2022 qui a commencé à relever son taux directeur de zéro à un ridicule 0,5% le 21 juillet 2022 lorsque l’inflation mesurée culminait déjà à 8,9%.
Payer des régiments d’économistes sert donc à se faire voler la valeur de ses créances (salaires différés, retraites) endormis par cette clique parasitaire de bonimenteurs grassement rentés.
Sur ce point les libertariens mènent 21 à 0 .
Je rappelle que Galhau se rend régulièrement à la BRI de B’ale et qu’il a failli être assassiné par un illustre inconnu alors qu’il se dirigeait vers la gare de Bâle. De braves Suisses, ne connnaissant pas Galhau, avaient empêché le forcené de lui défoncer le crâne à coups de marteau…
Ce fait fut longtemps caché par les médias helvétiques et hexagonaux. Mais cela a finalement fuité quelques mois après…Sale temps pour les apparatchik?
Ils ne partirons pas, et d’autres viendrons, ne vous en faites pas trop…