Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Comme tous les lundis, où presque, j’étai l’invité de David Jacquot sur Ecorama. Le thème ?
Le budget 2025 présenté en fin de semaine dernière par le gouvernement, 70 % des efforts demandés sont finalement des hausses d’impôts et taxes selon le Haut Conseil des finances publiques, soit bien loin des objectifs annoncés. Comment expliquer cet écart ?
Belle thématique et réponse très simple.
Dans un pays où l’on parle de plan de sauvegarde de l’emploi quand on licencie, ou l’on parle de croissance négative pour ne pas prononcer le mot de récession, il ne faut s’étonner que l’on tente de nous faire prendre des vessies pour des lanternes et que les badernes des ministères nous fassent passer des hausse d’impôts pour des baisses de dépenses.
Ce que je disais à David Jacquot c’est que je suis un homme simple de la campagne.
C’est assez facile de faire la distinction entre une baisse des dépenses et une hausse d’impôts.
Une hausse d’impôts c’est des sous que je paye en plus.
Une baisse des dépenses c’est des sous que je touche en moins !
Simple.
Un impôt c’est une somme en plus que je paye.
Une dépense de l’Etat c’est toujours un crédit supplémentaire pour quelqu’un comme par exemple des APL ou des CAF, ou une Prime Rénov, ou une prime inflation, ou une prime fioul ou que sais-je. Baisser les dépenses revient à baisser les aides. Une aide c’est de l’argent que l’on reçoit. Baisser une aide veut dire que l’on ne reçoit plus d’argent ou moins, mais pas que l’on paye plus.
Si on paye plus c’est des impôts, des taxes, cotisations et autre rapines publiques.
Simple.
Je vous rappelle que le dossier spécial intitulé “Faillite de la France, ces signaux que personne ne veut voir” et qui est disponible dans vos espaces lecteurs. Pour vous abonner c’est ici.
Je vous y détaille tous ces signaux faibles et forts qui montrent l’état dramatique de nos finances publiques. Je vous partage également les mesures à prendre pour éviter de tout perdre. Vous aurez également, autant de notes et flash que nécessaires en fonction de l’évolution de la situation financière de notre pays et des discussions à l’Assemblée Nationale sur le budget et donc les évolutions fiscales qui nous frapperont au porte-monnaie. Je serai à vos côtés dans ces moments compliqués pour vous aider à mieux comprendre ce qu’il se passe, ce qui se décide et comment s’adapter et protéger chacun de vos “magots”, petits et gros, si durement acquis. Pour tous vous avez la vidéo du JT du grenier de la semaine consacrée à ce sujet et à l’analyse de ce que Fitch vient d’écrire sur notre pays.
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Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
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des cotisations pas des charges
Le problème c’est l’affectation des dépenses et c’est politique et dépend de l’idéologie des protagonistes :ou on est réaliste ou bisounounours ,pour l’instant c’est la deuxième option qui a été choisie et ça dure depuis 1981,donc on l’a dans l’os
La nov’langue des criminels d’État est riche…
N’oublions pas qu’une augmentation de plus de 300€ d’indemnités pour nos mamamouchis fait partie des dépenses publiques.
Tous font la queue pour la soupe. Je dis bien TOUS!!!!De l’extrême gauche à l’extrême droite tous sont là pour leurs bénéfices.
Rappelons nous que le général De Gaulle, lui ,payait ses factures d’électricité à l’Elysée .
Barnier s’est entouré pour le budget de ministres voulus
par le gamin de l’Elysée !!!!
Comment voulez-vous que cela change ? Barnier est également le représentant du vouloir de la présidente de l’Europe !
Les Français vont souffrir de ne pas l’avoir compris.
Enfin, sauf quelques -uns….
Les patriotes se font rares pour sauver notre France.
Malheur aux traîtres !!!
Il faut savoir pour quoi et pour qui on paye, si c’est pour aller engraisser voyous et parasites, c’est scandaleux … faire les bons choix pour en payer le moins possible …
………
Après « Le Constat »….que FAIRE ?
Camarade Princesse sur 14 octobre 2024 à 11 h 40 min nous interroge :
– La question suivante c’est: on fait quoi? Une grève concertée des impôts?
Nous nous ne pouvons rien faire. Nous sommes trop peu nombreux. Il y a encore trop de cons. Et nous n’avons pas de leader charismatique indispensable (Asselineau intellectualise trop ses interventions, Philippot et NDA sont de piètres orateurs..etc)
Laurent O. vient d’écrire un livre sur cette question :. « Guerre »….C le titre.
Lisez le. (Je ne suis pas commissionné )
Pour les croyants…ajouter La Prière !
Vive l’U.E. !
Vive La Ripoublique !
Et Vive La F’ance !
VG
Albert Einstein avait parfaitement défini la bêtise.
Encore que dans la citation originale, il parle bien de “folie” (Wahnsinn), qui est un terme plus élégant que ce que l’on pourrait qualifier actuellement !
50 ans qu’on a les mêmes et que le cirque continue.
J’ai même entendu récemment un chroniqueur (me rappelle plus où) avancer l’hypothèse que micron s’attendait à ce possible résultat des législatives pour “finir” le pays…. D’où la dissolution éclair… calendrier parfaitement chronométré.
micron ? le bonheur d’un psychanalyste !
Qu’il soit aux ordres de Macron ou de Cruella ne change rien: c’est plus d’Europe et moins de France que nous annonce le Premier Menteur en poste.
Et oui rien ne va changer.. tout va s’agraver
Tous nos politiques pensent à conserver leurs énormes privilèges !!! Leurs énormes retraites !!
Toujours sur le dos de ceux qui bossent..
Après les Français sont contents.. Ils ont élus 192 députés NPF ….
Que dire de plus….
Voilà les dernières trouvailles pour renflouer le tonneau des Danaïdes (source Europe 1):
Première recommandation : raboter le taux du crédit d’impôt service à la personne, sauf pour les dépenses liées à la garde d’enfants et à la dépendance. Ce crédit d’impôt, qui permet aussi aux Français de payer moins cher les prestations de ménage ou de jardinage, représente un manque à gagner d’environ 6 milliards d’euros par an pour l’État.
C’est trop, selon le premier président de la Cour des comptes, Pierre Moscovici, d’autant que la majorité des bénéficiaires de cet avantage n’en ont pas vraiment besoin. “Ce crédit d’impôt se concentre largement sur le dixième de revenu le plus élevé. L’objectif initial de mieux lutter contre le travail dissimulé pourra toujours être atteint en abaissant son taux de 50 à 40%”, explique-t-il.
Avec cette mesure, l’État pourrait récolter 800 millions d’euros par an. Le Conseil des prélèvements obligatoires suggère aussi de supprimer la réduction d’impôt pour frais de scolarité, qui fait doublon avec l’allocation de rentrée scolaire. Dernière proposition : ramener de 66 à 55 % le taux de la réduction d’impôt sur les dons aux associations. Au total, ces trois mesures permettraient à l’État de récupérer plus d’un milliard d’euros par an.
Des vrais tocards.
Les dépenses en moins, ce ne sont pas nécessairement des aides en moins. Ça peut être des commissions, agences, administrations en moins, donc des bureaux et des salaires en moins: mais les fonctionnaires peuvent être affectés ailleurs ou mis à la retraite. Ce peut aussi être des travaux en moins, si on a bien entretenu les routes ou les bâtiments. ce peut être des achats en moins. Par exemple, j’étais enfant lors des “trente glorieuses”. Nous n’étions pas riches et on faisait attention à ne pas gaspiller à la maison, à l’école, et ailleurs. En classe, le tableau noir et l’encre étaient nos objets techniques, avec quelques cartes de France; et le niveau des élèves était plutôt meilleur. Mais avec la mentalité actuelle, on n’imagine même pas faire ces économies… sauf si une déroute économique nous y contraint.