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Alors qui sont les premiers élus à payer pour la patrie en danger financier ?
C’est Le Figaro (source ici) qui nous livre ce portrait robot passionnant des premières victimes de Michel Barnier.
“Parmi les très hauts salaires (les 0,1 %), près d’un quart sont des dirigeants salariés, 18 % sont des cadres administratifs et commerciaux et seulement 4 % sont des sportifs professionnels.
Toujours selon les données de l’Insee, la grande majorité d’entre eux travaillent dans le secteur tertiaire (86 %), notamment dans des activités de conseil de gestion ou des services financiers. « Même si leur part est plus marginale, d’autres professions sont aussi surreprésentées parmi les hautes rémunérations : des professions scientifiques, des avocats salariés ou encore des artistes », note l’Institut. On note par ailleurs une surreprésentation des hommes à ces très hauts échelons. Parmi les 0,1 % des salariés du privé les mieux rémunérés, seules 14 % sont des femmes, selon l’Insee.
Concernant le département de résidence, les 0,1 % les plus aisés vivent le plus souvent dans ou aux abords de la capitale. Cette partie de la population est à 85 % propriétaire de son logement, note l’Insee. 40 % d’entre eux résident à Paris ou dans les Hauts-de-Seine, où l’on recense des communes parmi les plus riches de France comme Neuilly-sur-Seine, Saint-Cloud ou Boulogne-Billancourt, comme le note l’Observatoire des inégalités. Cette concentration est en grande partie due à l’implantation des sièges des grandes entreprises le plus souvent dans la capitale ou dans le quartier de la Défense. Le reste des très hauts revenus habitent dans les grandes métropoles comme Lyon, Marseille ou Lille. Côté famille, les contribuables collent bien à l’exemple pris par Laurent Saint-Martin puisqu’ils sont le plus souvent en couple et sans enfant (35 % d’entre eux). Ces très hauts revenus se situent le plus souvent dans la soixantaine.”
Pour résumer, les 0.3 % les plus riches habitent plutôt Paris, ils sont en toute fin de carrière et n’ont plus d’enfant à charge. Finalement tout ceci est très logique et sans surprise. On commence sans rien ou avec pas grand-chose, on travaille on monte, puis on termine sa carrière parfois brillante avec des salaires au top.
Charles SANNAT
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Mais la HAINE de l’extrême-gauche fait ses ravages.
Un seul chiffre intéressant ici. 86% sont des voleurs pros (services financiers et gestion). Comme l’état donc. Bizarrement aucun elu politique cumulard, pas de star des médias, …
Ah si on repère les footballeurs.
Bref rapport de biiip.
C’est évident qu’il ne faut pas faire de généralités aussi bien sur les pauvres qui ne méritent pas forcément leur salaire de misère (travaux durs souvent indispensables) et aussi sur les riches qui ont durement travaillé et qui ont bien réussi financièrement.
Là où il y a un énorme hic, c’est que l’écart se creuse sans réelle justification.
Y a un trou dans la raquette, les gouttières du ruissellement sont bouchées. Les barreaux de l’échelle sont sciés à la première marche et les gueux tombent en arrière le cul dans les ronces et les orties.
Les futurs gueux, c’est la classe moyenne qui se fait tondre en permanence.
Y avait pas eu un mini scandale parce que me Betancourt ne payait pas l’ISF ? Alors que des plus “petits” l’a payait
Avec autant de moyens , curieux que beaucoup n’aient pas d’enfants. Patriotes car ils pourraient s’échapper vers d’autres cieux.