En entreprise, il faut accepter de se faire “formater”, d’obéir aux injonctions au bonheur du “CHO”, le chief happyness officier, il faut se plier aux règles stupides du “présentisme” ou le “petit (ou grand) chef” confond travail, productivité et léchage de bottes tard le soir. Inutile de vous dire que je n’ai pas du tout une bonne image (ni des bonnes expériences) des méthodes de “management” que l’on doit subir dans les entreprises.
Pour illustrer ce que je dis là, vous pouvez regarder ces quelques minutes d’un entretien de recrutement pour devenir un simple conseiller prévoyance… dans une compagnie d’assurance. Le rêve absolu. Quand j’étais petit… je rêvais de devenir conseiller prévoyance au Gan… hahahahahahahahaha. Evidemment que non ! Je voulais être pompier et conduire les gros camions rouges !
6 min de pressing tout terrain pour un poste de commercial santé payé au SMIC. J’ai même cru qu’ils allaient lui demander s’il était prêt à laisser sa vie pour l’entreprise. pic.twitter.com/XlxI55OaXS
— Jason Burne (@Monty_Brogan69) April 4, 2024
Cet extrait est issu de ce reportage “La gueule de l’emploi”. Je vous invite à le regarder pendant vos longues soirées de printemps ! Ce reportage montre la violence inouïe que subissent les salariés dans notre pays. Une violence managériale qui est une succession de manipulations mentales et de méthodes plus que contestables mais qui servent de base à la vie dans les grandes sociétés.
Face à cette ambiance aussi toxique qu’abjecte, ceux qui pensent, ceux qui ne plient pas, ce qui ne se laisse pas “formater” et qui ne se soumettent pas, trouvent généralement le chemin de l’épanouissement professionnel dans des carrières en Freelance qui justement deviennent de plus en plus tendance !
Et c’est le Figaro qui y consacre un long article intitulé (source ici). Effectivement, il n’y a encore pas si longtemps devenir “consultant indépendant”, cela signifiait très souvent “je suis senior trop vieux qui ne trouve plus de boulot de salarié et avec mes 57 ans il faut bien que je tienne pour atteindre la retraite”.
« J’ai triplé mon salaire et je m’organise librement » : le freelance, eldorado des actifs en quête d’indépendance
“Autrefois considéré comme voie de garage, le travail en indépendant a gagné ses lettres de noblesse. Désormais, il s’érige même en choix de carrière à long terme.
Depuis sa chambre, Paul, 24 ans, empoche 4000 euros net mensuels. Quelques mois auparavant, ce consultant en SEO, qui optimise la visibilité de différentes marques, amassait cette somme depuis le Canada ou la Thaïlande. Fraîchement diplômé d’un master à l’IAE, il s’est lancé à son compte. Il réalisait déjà des missions, et planchait en parallèle sur sa notoriété sur LinkedIn. À lui, la parfaite autonomie : il module ses journées à sa guise, se limitant à 7 ou 8 heures quotidiennes, et profitant du confort de son antre. Tout comme lui, 9 indépendants sur 10 ne cherchent pas un poste salarié, selon l’étude de la plateforme Malt auprès de 5000 freelances en Europe.
Ils refusent même des propositions, et ce, dès la sortie d’école, à l’instar de Paul, qui n’a pas souhaité poursuivre dans la structure qui l’a accueilli en alternance. Claude, 25 ans, a lui joué de malchance. Il a achevé son cursus d’ingénierie en pleine pandémie, ce qui contrecarrait ses envies d’ailleurs. Ce data analyst, dont le métier consiste à collecter des données afin de doper les performances marketing, a accepté un CDI «dans l’attente de» pouvoir embrasser ses desseins, explique-t-il aujourd’hui depuis Bangkok. Ces profils correspondent à une nouvelle tendance : «L’âge moyen demeure de 37 ans, mais la pyramide des âges s’avère davantage éclatée, aux extrêmes, avec des jeunes et des seniors», observe Alexandre Fretti, directeur général de Malt.”
« Je ne supporte pas de me plier au présentéisme. » témoigne le premier, ou encore cet autre témoignage, «j’ai triplé mon salaire, de 40.000 euros nets annuels à plus de 120.000, et je m’organise librement», souligne celle qui n’avait pas «prémédité» ce choix. Unanimement, le freelance tord le cou au slogan de campagne de Nicolas Sarkozy de 2007. Car pour eux, cela permet de travailler moins pour gagner… plus. «Je ne supporte pas de me plier au présentéisme, respecter bêtement le 10-18 en négligeant ma productivité du moment», soupire Claude.
Etre indépendant ce n’est pas facile mais…
En fait rien n’est facile et pour “gagner” sa vie, il n’y a pas de solution de facilité. Les méthodes de management peuvent être terriblement toxiques et la pression telle que rapidement les salariés craquent. Mais ce n’est pas grave pour l’entreprise car ces derniers sont interchangeables. En revanche, c’est évidemment grave pour les personnes. Les gens. Les individus.
Quand on est “freelance”, il y a une réelle précarité et aucune certitude du chiffre d’affaires qui sera fait le mois suivant. Néanmoins, il n’y a pas dépression liées aux techniques de contraintes managériales.
Là où les choses deviennent très philosophiques, c’est qu’en réalité, nous avons tous un choix à faire. Celui de travailler pour les autres et dans une forme de soumission plus ou moins marquée en optant pour une forme de sécurité (un salaire versé, une mutuelle, un droit au chômage, des congés payés), soit de choisir le chemin de la liberté avec tout ce qu’l implique d’incertitudes a priori. A l’usage, nombreux sont les freelances, qui apprennent à gérer les périodes de moindre activité, en mettant beaucoup d’argent de côté quand ils travaillent pour les périodes de vaches plus maigres.
Pour ceux qui veulent penser et réfléchir à tout cela, sachez que la partie Emploi de mon approche PEL dans la lettre STRATEGIES (pour Patrimoine, Emploi, Localisation) traite évidemment cette thématique et continuera à la traiter régulièrement. En effet, par bien des égards, il est désormais plus facile de trouver des clients, qu’un bon poste salarié ce qui est un renversement des choses que très peu ont encore formalisé.
Pour vous abonner à la lettre et aux dossiers Stratégies c’est ici.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu.
Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire [email protected]
Pour écrire à ma femme [email protected]
« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Et, pour M et Mme ToutLeMonde, il reste le travail au black. De toute manière, avec une inflation réelle de 8 %, le salariat c’est : Travailler 12 mois et n’être payé (en pouvoir d’achat) que 11 mois (en effet 8,3% = 1/12) !
Le loup et le chien – Jean De la Fontaine…
Les deux exemples “d’émancipation professionnelle” que vous nous donnez sont en fait 2 “bullshit jobs” qui ne peuvent gagner un peu d’argent que parce que, précisément, de grandes entreprises (avec plein de salariés donc) ont recours à leurs services.
Pour ce genre de boulots, pas de grandes entreprises, pas de clients, pas de CA…
Alors, “émancipés”, je ne pense pas. “Externalisés pseudo-volontaires” leur conviendrait mieux.
Et pour une entreprise, externaliser ce genre de fonction, c’est tout bénéfice.
D’accord avec vous sur le fond, mais je tiens à dire que les choses ont quand même largement évolué depuis l’époque de ce téléfilm : les grosses boîtes ont un mal de chien à remplir les postes à pourvoir, et leur principal problème serait plutôt de réussir à conserver les cadres qui ont tendance à se barrer dès qu’ils trouvent mieux ailleurs (et ils surveillent le marché).
La monnaie de leur pièce, après ces manières odieuses ? Sans doute.
Mais à la base, le problème reste le même : un bon commercial, c’est celui qui réussit à trouver des contrats. Il y aura toujours une sélection, mais elle sera sur les résultats, et pas sur le formatage (la séquence proposée est d’ailleurs un tantinet caricaturale, même pour l’époque)
Ar c’hazh du:
Vous me l’ôtes du clavier 🙂
3 ptites boules roses genre “dragonal” et au lit!
Avec la recommandation d etre plus aimable à l avenir.
Pensant 3 semaines et réévaluation du sujet dans 15 jours.
Voilà tout ce que ces requins méritent.
Et un ptit plongeont dans la seine pour les rafraichirs pendant qu on est dans le sujet.
Non mais, tout de même!!
Un homme ça s’empeche!
“A.Camus”
Attention au “paradis” des indépendants.
Ce qui est décrit dans ces articles (c’est étrange, il y en a beaucoup en ce moment ; on y reviendra), c’est le cas de moins de 1% des freelance.
Déjà, être Freelance en France, c’est très difficile car les entreprises ne savent pas, ne veulent pas travailler avec des externes. Toujours ce manque de confiance très français (ils ne croient pas leurs propres salariés, alors des extérieurs !).
Au mieux, ils vont les traiter comme des sous-traitants lambda et leur demander un salaire de misère “c’est facile, en plus tu travailles chez toi, t’as moins de frais”.
Donc, à part certains qui ont une compétence particulière dans un domaine sans bullshit, c’est plutôt délicat.
Ce qu’on voit dans les articles, c’est plutôt des références du monde anglosaxon, avec les freelance (en France, on parle bien d’indépendants). Et là, c’est la compétition : oui, les meilleurs/les plus débrouillards vont gagner des sommes délirantes (comme tout boulot bien payé aux US), tandis que ceux qui n’arrivent pas à se battre vont se faire laminer.
En France, de toute façon, le modèle du salarié est bien établi : formatés dès l’enfance, dans l’idéal de trouver une bonne boite, avec un bon salaire, acheter une bonne maison, avoir une bonne femme, de bons enfants, qui font de bonnes études, jusqu’à sa bonne retraite…
Le top ? Etre fonctionnaire, emploi garanti à vie.
Voilà. C’est ça la France.
C’est le salarié qui referme lui-même ses chaines.
Demandez autour de vous : personne ne veut quitter son boulot, la peur de tout perdre, plus de crédibilité bancaire, le “qu’en dira-t-on ?”…
Personne n’a le courage de se libérer.
Car il faut aussi un état d’esprit, un courage, une persévérance, voire une compétence (mais c’est pas obligatoire, ça), pour être FreeLance.
Et les quelques rares qui l’ont fait ont vite quitté le pays pour des endroits plus merveilleux.
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Par contre, voir ce genre d’articles mis en avant depuis quelques temps, outre le putaclick, c’est peut-être aussi l’idée d’amener les gens vers leur futur : celui où l’emploi garanti n’existera plus, où tout le monde cherchera un boulot et que ça bataillera parmi 1000 demandeurs pour 1 seule offre.
Comme on peut le voir dans les films, surtout américains, où les sans boulot fixe vont poireauter sur un parking de supermarché, et attendent qu’une camionnette arrive, et qu’un employeur prenne “à la tête du client” quelqu’un…
Dans la vision de nos cadors psychopathes, chiens assoiffés de sang, sans sentiments : tout le monde doit être un battant, s’imposer et prendre les jobs qui sont “de l’autre côté de la rue”. Un peu comme eux.
Sauf que la plupart des gens n’ont pas les névroses de nos dirigeants libidineux ; et dès la moindre aspérité de la vie, que ce soit un mauvais choix ou la simple maladie les pousse sur le côté, c’est fini. Pas de fortune personnelle ou de bons copains pour se rattraper.
Moi, perso, j’aime bien les indépendants, les battants, les warriors, et aussi les putois, les divergents, les “chemins de traverse” qui donnent du pep’s à la vie, mais avec le sourire eux ; par contre, jamais je n’oublie toute la cohorte de gens finalement normaux qui suit.
En fait, le problème est que nos systèmes politiques font une sélection des dirigeants par l’apologie des plus cruels sans pitié (et donc des psychopathes sans cœur).
Au détriment des moutons qui sont trop gentils pour s’en rendre finalement compte.
C’est évident.
Quelle tragédie.
Tous ces gens dont vous nous parlez,ce ne sont pas ceux qui vont se faire engloutir par l’IA ?
Ce qu’on appelle la formation de “commercial” est essentiellement l’acquisition des mille et un moyens de tromper son client en le poussant à signer un ordre d’achat qu’il regrettera apres.
J’ai 57 ans. Free lance. Nomade digital depuis le covid. Je reviens de 4 mois en Asie. Il s’agit d’un tout autre esprit que le salariat. Il y a un renversement à faire dans sa tête car la manière d’aborder la vie professionnelle est tout à fait différente. Je suis passé de salarié à indépendant à 35 ans. C’est le changement d’état d’esprit qui m’a demandé le plus d’effort car je venais d’une famille où seul le fonctionariat offrait la sécurité d’emploi. Aujourdhui, comme indépendant, j’ai un contrat a durée indéterminée, une sécurité que je n’ai jamais connue comme salarié. Dans le passage, il y a une nouvelle conscience à développer où liberté rime avec responsabilité. Je choisis librement maintenant mes clients et mes heures de travail. Mais je dois aussi assumer les conséquences de mes choix. Il s’agit de mettre en place une nouvelle vie qui se gère… comme une entreprise. Passer en free lance a été la meilleure décision de ma vie mais ce n’est pas nécessairement pour tout le monde. Cela demandé 1. Préparation 2. Savoir gérer l’incertitude 3. Bien connaître ses compétences, ses forces, ses faiblesses 4. Un minimum de connaissance en gestion 5. Et surtout, la passion car un indépendant ne compte pas ses heures
LA SEULE FACON DE BIEN GAGNER SA VIE SANS NE RIEN C’EST D’ ENTRER EN POLITIQUE. A.N SENAT . ET DE FAIRE DE LA POLITIQUE EN ARRIVISRTE OPPORTUNISTE QUI PONCTIONNE DES SALAIRES FARAMINEUX SAND AVOIR RIEN A DONNER EN RETOUR… SI CE N’EST DE RETOURNER LEURS VESTES( TOUJOURS DU BON COTE BIEN SUR)
A titre personnel je suis passé de salarié suite à un licenciement économique à créateur de société dans le même domaine : je n’ai jamais regretté mon choix et disons le clairement, la liberté acquise bien avant une meilleure rémunération qui sont allés de paire.
Ne plus faire de courbettes devant des gens que l’on sait moins compétent et gérer son travail ou son temps à sa manière est pour moi le plus grand luxe : je fais partie des privilégiés…mais je remarque souvent que ça dérange certaines personnes, curieusement dans la fonction publique, qui ont certes la “sécurité de l’emploi” mais n’aiment pas ce qu’ils font et détestent leurs collègues…leur “sécurité de l’emploi” est réellement une “prison de l’emploi” car ces gens là ont réellement peur du risque (c’est frappant) et préfère végéter dans leur job insipide pour ne pas perdre leur précieux “statut”. Tout de même assez pathétique cette mentalité : la France était un pays d’entrepreneur ou d’indépendants après guerre : c’est ce qui a fait la richesse des fameuses trente glorieuses. Nous nous sommes rabougris dès que tout le monde a voulu devenir fonctionnaire et avoir “la sécurité de l’emploi” : cela a eu pour conséquence un Etat plus obèse taxant toujours plus ces mêmes PME/TPE autrefois prospères ou compétitives.
Freelance depuis 25 ans, je suis bien placé pour affirmer que ça n’a jamais été considéré comme “une voie de garage”.
Les cas décrits sont assez significatifs du milieu dans lequel j’évolue (4000€ nets à 24 ans pour un consultant SEO, c’est un début raisonnable, Paul devrait pouvoir faire croitre ce chiffre très rapidement s’il sait se vendre correctement. 120.000€ de chiffre d’affaires, c’est ce que je réalise en ne travaillant que 3 jours par semaine).
La remarque de Pousse-fumier à 8h00 est très pertinente : freelance pour une clientèle de PME c’est difficile, il n’y en a pas beaucoup, et ça gagne une misère. Les cas décrits (et le mien aussi) ne peuvent exister que parce qu’il existe des grandes entreprises avec plein de salariés. C’est une réflexion intéressante à avoir sur ce métier de freelance.
Et pour rappel, les livreurs à vélo qui pédalent sous la pluie pour 1000 balles par mois sont aussi des freelances. Pas exactement dans la même situation que l’ingénieur informatique à 700 euros par jour, en télétravail au bord de la mer.
1) Pas pu écouter la vidéo à cause d’une musique de merde trop forte !
2) Passer par la case salarié a aussi son avantage : constater les niveaux d’incompétence, la mentalité des presse-citron mange-merde. Et puis, c’est une expérience qui permet de mieux anticiper son avenir, de voir si on a le niveau pour être son propre patron.
Lorsqu’on est indépendant, il y a 3 postes à maîtriser : le côté technique du boulot, le côté commercial et le côté gestion/comptabilité. On ne peut pas être au top dans les 3 domaines. Donc il faut être bien clair quand on se lance.
L’avenir est aux free-lance, mais gare, les obscurantistes de la cgt et autres gardiens du code du travail (ventru et obsolète) sont le cancer du monde du travail “à la française”….
@xavierdenoël Et vous êtes vous renseigné sur vos cotisations retraites et autres et sur la constitution de votre carrière? combien vous manque-t-il de trimestres? combien allez vous percevoir de pension? À mon avis, pas beaucoup, hélas pour vous, j’espère que la liberté que vous avez gagné de 35 à 57 ans suffira à vous faire manger quand vous serez à la retraite.
Bon courage!
1000 % d accord, il n y a qu une vie qui mérite d être vécue, celle d indépendant. Et n attendez pas la retraite pour vivre votre passion, ce sera trop tard
Dans l’informatique, ce n’est absolument pas aussi ensoleillé en raison du parasitisme des SSII/ESN/whatever acronyme choisit.
Les indep. sont traités comme les salariés de ces intermédiaires avec facturation & recouvrement et compta à gérer en plus et comme salariés par les clients de ces parasites (horaires, présentéisme, etc)
Et banque/finance/assurance : c’est et sera tjs le secteur le plus médiocre qui soit avec ce qu’il y a de pire niveau management, carriérisme, corruption, médiocrité et j’en passe.
j’ai commencé à regarder la vidéo et je me suis arrêtée après 20 minutes. C’est quoi ce système? Parler à des adultes comme ça, des personnes qui recherchent un travail et les infantiliser. Ce “jury” de “je suis à la bonne place” : hautain et désagréable! Y en a marre de ces réunions sur des sujets diverses pour faire briller une minorité qui profite du groupe!
Manu-la-fiotte est aussi un freelance !
Qui dit mieux ?