Le dossier de janvier “Comment construire votre bunker comme les milliardaires, les milliards en moins ?” est disponible en téléchargement dans vos espaces lecteurs ici.
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J’étais hier invité sur TV Finance et nous avons discuté des dernières déclarations de Jérôme Powell le gouverneur de la FED.
Il a globalement expliqué aux marchés qui n’étaient pas prêts à l’entendre, que face à la robustesse de l’économie américaine, il risquait ne pas baisser les taux d’intérêt tout de suite.
En Europe la situation est différente, et l’économie européenne, elle, rentre bien en récession.
Je pense qu’il y a des explications à ces différences entre les USA et l’Union Européenne et c’est ce que j’ai essayé d’expliquer durant cette émission.
Plus important encore.
Et si la FED ne baissait que relativement peu ses taux d’intérêt ?
Après tout, les banques centrales viennent globalement de réussir à sortir d’une politique de taux 0 ou négatifs ce qui était du délire intellectuel comme économique.
Alors finalement… les banques centrales risquent de ne pas vouloir replonger dans cette politique monétaire-là et les marchés n’ont pas du tout intégré la possibilité de taux qui restent durablement vers un niveau de 3 %.
Charles SANNAT
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– L’augmentation de la masse monétaire, les déficits US financés par le Trésor, n’ont jamais cessés malgré le soit disant tournant de la FED !
– L’augmentation du PIB US n’est du qu’aux injections d’argent
– De moins en moins d’acteurs ne veulent du $
On comprend qu’il faille augmenter les taux d’intérêts pour attirer les derniers clients.
DONC : L’évolution des taux n’a rien a voir avec l’évolution de l’inflation ou la solidité de l’économie mais tout à voir avec le fait de payer plus (à la grecque ! ) pour attirer !
Bonjour a tous,normal que l économie américaine soit forte ,on leur sert d amortisseur….
La distortion entre la politique de la Fed et de l’Euro entrainerait de facto une guerre des monnaies avec une dépréciation de l’une par rapport à l’autre.
Bonjour les importations d’énergie libellés en dollars
L’explication la plus simple ne serait elle pas que le PIB des USA est celui d’une économie de prédation tandis que celui de l’Europe vient d’une économie d’asservissement volontaire?
Merci Alain pour cette phrase qui résume beaucoup de choses dans ce bas monde.
Beh si la FED nebaiss epas la BCE ne baissera pas…faut maintenit la parite euro/dollar voyons. Mais dumoment que les banksters et leurs “zamis autorisés” (non pas Mr et Mme Michu) s’en mettent plein les poches hein…
Bonjour Il serait intéressant de connaître le PIB hors pipo financier des US
Quand en 2020 je suis tombé sur l’histotique du bilan de la BCE depuis la création de l’euro, j’ai compris que l’euro “aussi bon que le mark” n’est qu’une farce à saucisse de frankfurt.
La soit disant croissance n’est que du subventionnement à crédit (public ou privé) d’une pseudo demande qui relève du conformisme et du manque d’imagination des gouvernés et des gouvernants.
Je pense à toutes ces guerres contre des ennemis que la polotique persiste à s’inventer : terroristes, virus, dictateurs, CO2, et qui ne servent qu’à entretenir une agitation dépensière là où on pourrait se féliciter de la stagnation des dépenses d’un peuple repu comme d’une victoire sur la rareté.