Luis de Guindos est le vice-président de la BCE, la Banque centrale européenne et il vient de nous expliquer que son institution continuerait à augmenter ses taux malgré le risque de récession !
La BCE continuera à augmenter les taux d’intérêt directeurs jusqu’à ce que l’inflation retourne vers l’objectif moyen de long terme qui fait partie du mandat de la banque centrale.
L’inflation ne doit pas en effet dépasser les 2%.
Luis de Guindos a précisé que la hausse des taux qui sera décidée en décembre dépendrait des dernières prévisions économiques en zone euro et des chiffres de l’inflation de novembre.
“Je peux vous dire que notre approche sera toujours la même, nous continuerons à augmenter les taux d’intérêt à un niveau qui nous permet de faire en sorte que l’inflation converge vers notre définition de la stabilité des prix”.
Si la dernière fois la BCE a monté le taux de 0.75 % elle devrait ne le monter cette fois que de 0.50 % ce qui mettrait les taux directeurs à +2 % alors qu’ils ne sont actuellement que de +1.5 % et que nous étions encore en territoire négatif à -0.5 % il y a quelques mois.
Toujours selon le vice-président, la BCE s’attend à un ralentissement de l’inflation au premier trimestre 2023 ou au premier semestre 2023 ce qui serait logique car le gros du choc inflationniste lié au choc énergétique en raison des arrêts des livraisons de gaz russe est derrière nous.
Derrière nous pour cette première phase.
En effet, se posera rapidement et dès le milieu de l’année 2023, lorsque les réserves de gaz seront vides la question de nouveaux approvisionnements qui sont loin d’être garantis, et avec un ajustement par les prix qui pourrait bien faire sacrément monter les prix et engendrer une deuxième vague d’inflation avec un nouveau choc énergétique en vue de la préparation de l’hiver 2023/2024.
Charles SANNAT
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Source Agence de presse Reuters via boursorama.com ici
Bonjour. Qu’ils remontent, qu’ils descendent les taux!!! hi hi! Les carottes sont cuites!!!
Des gens incompétents, qui n’ ont pas de métier, qui sont incapables de produire ou de vendre des frites, décident des taux d’ intéret : la sottise humaine est infinie…
Que penser de “prévisions” de la part de nazes qui se sont toujours lourdement trompés et sans être sanctionnés, de “prévisions” qui ne sont que de l’intox.
Ils peuvent baratiner ce qu’ils veulent, ils font tout pour que le Great Reset puisse avoir lieu.
Et comme vous l’avez tous dit, les économistes, il n’y a que deux façons de remettre le système à zéro :
Soit on appuie sur le bouton reset,
Soit on provoque une inflation à la Weimar.
Ils ne veulent pas du bouton, trop voyant.
Enfumage !!!
Louis de Guinde fera ce que les grands argentiers lui diront de faire .Ce n’est certainement pas l’Europe qui décide de la stratégie en cours .
Là, je comprend une chose : ces gens ne maitrisent plus quoi que ce soit, sauf la malveillance. cela va réellement finir dans un chaos immonde.
Bonjour
Mais ce n’est pas lui un des seconds couteaux de la BCE qui commande il exécutera simplement les ordres de son patron de la FED a Washington et pour que le système se prolonge avant l’implosion je parie sur le retour de l’hélicoptère money rapidement ,l’inflation enrichie les riches et dans le même temps rend les pauvres plus pauvres ..c’est bien le but poursuivi par les mondialistes créolisés soumis sous influence des Rockefeller et Rothschild
Et oui les contrats à terme sont clos jusqu’en 2026, il ne reste plus que le marché spot, 2 à 3 fois plus cher.
J’avais cru lire “De Guignol” au lieu de “De Guindos” !!!
Concernant le gaz, 2023 c’est en plus la fin du tarif reglementé voté en 2019 : https://www.ladepeche.fr/2022/11/23/prix-du-gaz-que-change-la-fin-des-tarifs-reglementes-en-2023-10819782.php
Pourtant la gourdasse de Lagarde disait : l’épargne les gens s’en foutent, ce qu’ils veulent c’est du travail avant tout
Et bien là ce sera ni l’un ni l’autre ! Bravo et merci :-)))))
Bonjour/Bonsoir à toutes et à tous,
Et si, et si, et si…
Et si l’idée général était de se débarrasser des dettes…
Si on y réfléchit les dettes publiques et privées sont détenues en grandes partie par les banques (autres institutions financières), donc si on appliquait de façon concomitante un passage aux taux variables tout en montant ses taux directeurs quels serait le résultat ?
On préparerait le terrain en commençant par empêcher les gens d’emprunter à taux fixe grâce au taux d’usure.
Puis on passerait aux taux variables en accordant des prêts à ceux mêmes à qui on avait dit non juste avant.
Tout en continuant à augmenter les taux ce qui créerait une insolvabilité des emprunteurs bien connue depuis 2008.
Pourquoi faire ?
Détruire les banques privées et autres institutions financières car c’est elles qui détiennent les dettes…
un grand reset en somme…
Et accessoirement déployer ensuite les monnaies numériques. Car avec les monnaies numériques plus besoin de banque privée.
Votre compte bancaire pourra être directement gérer par les banques centrales.
Plus simple pour contrôler le crédit social qui arrive.
On rentre ainsi dans le fameux great reset ou vous ne posséderez rien et serez heureux tout en étant contrôler par la banque centrale pour votre bie… pardon, pour éviter tout débordement.
Si vous voulez sortir au café au restaurant au cinéma voir manger, il faudra rester sage…
Tiens ça me rappelle quelque chose qu’on vient aussi d’expérimenter…
Et si, et si, et si…
Réfléchir est un délit !
Bonne journée à toutes et à tous.