Je ne vous parlerai pas chaque jour du nouveau variant à la mode, je veux simplement attirer votre attention avec cette dernière information sur le fait que la vaccination vit en réalité son chant du cygne que l’on y soit favorable ou pas, n’y changera pas grand-chose à l’affaire.

Il faut également se préparer à vivre dans le temps long désormais avec ce virus, et il n’y aura aucune solution miracle pour nous “sauver” tous d’un coup de baguette magique.

Il faut aussi ne pas vivre dans la peur permanente sans pour autant nier la dangerosité de la maladie.

Il faudra réapprendre à soigner au mieux et parfois comprendre et accepter que vivre c’est aussi savoir mourir, le plus tard possible évidemment.

Ce sera sans doute les grandes tendances de l’année 2022 sauf découverte sensationnelle de dernière minute du médicament qui guérirait tout le monde.

Charles SANNAT

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Un nouveau variant baptisé “Mu” surveillé de près par l’OMS

Un nouveau variant du coronavirus, baptisé « Mu» et découvert en Colombie en janvier dernier, a été classé comme “variant à suivre” par l’Organisation mondiale de la santé (OMS), a-t-elle indiqué dans la nuit de mardi à mercredi.

“Bien que la prévalence mondiale du variant Mu parmi les cas séquencés ait diminué et soit actuellement inférieure à 0,1%, sa prévalence en Colombie (39%) et en Equateur (13%) a constamment augmenté”, a expliqué l’OMS dans son bulletin épidémiologique hebdomadaire sur l’évolution de la pandémie.
L’agence spécialisée de l’ONU précise que le variant présente des mutations qui pourraient indiquer un risque d'”échappement immunitaire” (résistance aux vaccins), et souligne que des études supplémentaires sont nécessaires pour mieux comprendre ses caractéristiques.

Le variant – B.1.621 d’après la nomenclature scientifique – a pour l’instant été classé comme “variant à suivre”, a indiqué l’OMS.

Tous les virus, y compris le SARS-CoV-2 responsable du Covid-19, mutent avec le temps. La plupart des mutations n’ont que peu ou pas d’incidence sur les propriétés du virus.

Cependant, certaines mutations peuvent affecter les propriétés du virus et influer, par exemple, sur la facilité avec laquelle il se propage, la gravité de la maladie qu’il entraîne ou l’efficacité des vaccins, des médicaments, des outils de diagnostic ou des autres mesures sociales et de santé publique.

L’apparition, fin 2020, de variants qui présentaient un risque accru pour la santé publique mondiale a conduit l’OMS à caractériser des variants à suivre et des variants préoccupants, afin de hiérarchiser les activités de surveillance et de recherche au niveau mondial.

L’OMS a décidé de nommer les variants à suivre ou préoccupants à l’aide de lettres de l’alphabet grec, afin d’éviter toute stigmatisation d’un pays en particulier et de permettre au grand public de prononcer les noms plus facilement.

Actuellement, l’OMS considère que quatre variants sont préoccupants, dont les variants Alpha, présent dans 193 pays, et Delta, présent dans 170 pays, tandis que cinq autres variants sont à suivre (y compris Mu).

Le variant Mu a été détecté pour la première fois en Colombie en janvier. Depuis, il a été signalé dans d’autres pays d’Amérique du Sud et en Europe.

Source agence de presse russe Sputnik.com ici

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