Mes chères impertinentes, chers impertinents,
Aujourd’hui je vais être un peu plus long que d’habitude, mais le sujet est d’ampleur et le mérite. Et puis nous sommes vendredi, vous aurez tout le week-end pour écouter et lire ce qu’il y a dans cet article.
Je ne veux rien vous imposer, mais partager avec vous un scénario qui me semble fondamental en termes analytiques.
Il n’était pas franchement possible de le faire il y a un an. Aujourd’hui, cela commence à devenir audible.
Hier j’étais invité par David Jacquot d’Ecorama pour parler de la sortie de crise. Il m’avait téléphoné dans l’après-midi de la veille et nous avions discuté à bâtons rompus.
Il me demandait comment je voyais la sortie de crise.
Je lui ai dit que les scénarios actuels penchent tous pour une sortie de crise simple et rapide, enfin, plus ou moins rapide et plus ou moins simple, et basée sur le miracle de la vaccination qui règlera son compte au virus une fois pour toute. C’est à mon sens une manière naïve de voir les choses qui seront beaucoup plus complexes que cela.
Vous avez la vidéo un peu plus bas dans cet article pour ceux qui veulent aller directement à la vidéo de mon intervention sur Ecorama.
L’ensemble des analystes et des analyses partent du postulat que nous sommes face à une crise classique qui a un début, un milieu, un paroxysme et une fin avec une sortie de crise. Chaque crise répond à ce type de schéma logique. C’est le cas des crises boursières. Il y a un déclencheur (au hasard la montée des taux aux Etats-Unis en 2006 et 2007) qui donne l’insolvabilité des ménages fragiles et surendettés à taux variables. Les impayés augmentent. On se demande qui a quelles exposition, a quel risque. Puis une banque tombe. C’est la panique. Le krach, l’effondrement. Les banques centrales interviennent, baissent les taux, injectent les liquidités nécessaires. Les Etats sauvent ce qui peut l’être et socialisent les pertes après avoir privatisé les gains, mais c’est un autre débat. Au bout du compte les choses se calment. Les affaires reprennent, les cours de bourse montent à nouveau, c’est la fin de la crise.
Voici la vision “Ligne Maginot” partagée par presque tous à l’heure actuelle
Chez les penseurs lignes Maginot (ceux qui retardent toujours d’une crise et d’une guerre) voici d’ailleurs comment on “gère” une cellule de crise.
L’été dernier nos mamamouchis en étaient déjà au plan de relance. Hahahahahahahaha !
Je me moquais d’eux avec irrévérence.
Il n’y a jamais de professionnels de la nouvelle guerre ou de la nouvelle crise. Il n’y a que des débutants lorsque l’on est confronté à un phénomène nouveau. Ils déconfinaient. Ils pensaient à un retour à la normale. Faisaient leur plan de relance et comme le montre le graphique travaillaient déjà au “retour d’expérience” avec les commissions d’enquêtes pour “mettre à jour le dispositif”.
Mais la dynamique d’une crise classique, géopolitique, ou boursière n’est pas la dynamique d’une crise sanitaire. Et les habitudes de cinétique d’une crise financière n’ont strictement rien à voir avec la cinétique d’une crise sanitaire.
Pour en savoir plus vous pouvez écouter cette émission.
Un ralentissement durable et profond des activités humaines.
Ces crises sanitaires sans fin auront pour conséquences de ralentir durablement et profondément les activités humaines. Ce sera bon pour la planète. Pas pour l’économie du toujours “plus”.
Nous nous adapterons, parce qu’il est dans la nature humaine de s’adapter. Nous nous adapterons car le système capitaliste, aussi imparfait soit il, est le plus adaptable. Et le grand danger sera que les dirigeants politiques, particulièrement en Europe où ils sont au mieux d’aimables technocrates sans vision ni culture économique, veuillent administrer l’économie en raison de la crise sanitaire chronique.
Confiez le désert du Sahara à nos élites bruxelloises et dans 5 ans vous aurez une pénurie de sable.
Pour le reste, il faut se reporter à un vieux philosophe romain et stoïcien Sénèque.
“Vivre ce n’est pas attendre que les orages passent, c’est apprendre à danser sous la pluie”.
Nous voulons continuer à danser encore, même s’il pleut !
Restez à l’écoute.
Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !
Charles SANNAT
« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
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« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)
« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »
Non décidément Charles, vous ne voyez rien….Le deuxième graphique c’est un Boa qui a mangé un éléphant,c est un dessin du petit prince… Bonne journée à tous et surtout beaucoup de poésie…..
Bonjour. Jamais de sorti totale de crise du COVID!!! Soumission des peuples!!!
Pour apporter de l’eau à votre moulin… https://www.lexpress.fr/actualite/monde/amerique-sud/infographies-malgre-une-vaccination-massive-le-chili-submerge-par-le-covid_2148676.html
Vous la connaissez la sortie de crise.
Une France qui n’existe plus sous tous les angles grâce à Bruxelles et une population décimée par la pauvreté et la mort accélérée par la fausse vaccination forcée et répétitive…
Les élites haïssent leurs peuples et veulent profiter des dernières ressources sans avoir besoin de 7 milliards d’individus devenus inutiles pour une bonne majorité.
Bonne chance. Je pense que certains préparent déjà leurs valises.
Notre ami Klaus a précisé que le retour au monde d’avant n’était pas souhaitable…donc on restera en crise. Il y a juste à lire le programme
Ahahahahaha!Tout le monde parle de vaccin,il ne faut pas être naïf,un vaccin n’a jamais protégé d’ailleurs des médecins et des épidémiologistes affirment qu’il ne faut jamais vacciner pendant une épidémie.Renseignez-vous monsieur Sannat.Depuis plus de 50 ans,Christian Tal Schaller médecin suisse à publié des ouvrages démontrant la nocivité des vaccins.Il prétend que notre organisme est armé pour faire face aux maladies infectieuses.
Notre société prétendument démocratique est “ouverte” censure toutes pensées dissidentes.
Dans “quelques” siecles la selection naturelle aura fait son oeuvre et l’espece humaine vivra en harmonie avec le(s) virus…
Bonjour Charles,
Je partage pleinement votre analyse sur le fond, à une exception près : nous ne sommes pas au coeur d’une crise sanitaire.
Dans une véritable pandémie, les cadavres jonchent les rues, on réquisitionne les incinérateurs à ordures ménagères pour les crémations collectives, l’armée patrouille dans les rues pour éviter les pillages, les patinoires sont réquisitionnées pour conserver les corps. Et les gens ont peur.
Qu’a-t-on vu de tout cela ? Rien. Nada. Peau de balle.
La crise ne vient pas du virus mais de la gestion (volontairement ou involontairement) catastrophique de nos dirigeants.
C’est une crise est celle de l’incompétence pilotée par le management et les processus : nous n’avons plus que des gestionnaires et des administrateurs, là où il nous faudrait des dirigeants ou, carrément, des chefs.
Parler de “crise sanitaire” revient à dédouaner les homoncules pédants et incompétents qui prétendent diriger un pays auquel ils ne comprennent rien.
La globalisation et la société consumériste sont les principales victimes de cette pandémie en dehors bien sûr des individus. Alors, si comme vous le supposez et comme je le prédis aussi depuis 1 an, une pandémie à coronavirus ne saurait être durablement contenue par la prophylaxie comme par la vaccination, fut-elle génétique, c’est la fin du libéralisme économique. La chute démographique sera durable si on persiste dans les mesures dites de “distanciation sociale” qui entrent en collision frontale avec l’éthologie d’une espèce de primate comme la notre, ce qui in fine va produire une implosion des sociétés et la fin du modèle de l’entreprise profitable. Ça tombe bien, cette fin aurait lieu quoiqu’il arrive à cause du bouleversement climatique et de la pénurie de ressources minières et de l’impossible transition énergétique à consommation constante (sans parler de croissance, bien sûr…). Une chose est certaine : ce siècle ne sera pas celui de l’essor de l’humanité, la survie en tant que civilisations disposant d’une technologie subatomique et capable de nourrir des mégalopoles est en question. Aller sur Mars n’est clairement qu’une chimère.
Confirmation de ce qui nous attend, ici :
https://www.lefigaro.fr/sciences/une-troisieme-dose-du-vaccin-pfizer-probablement-necessaire-20210415
Bonjour Charles, comme d’habitude votre lucidité est présente mais pas totale. Nos dirigeants connaissent vos conclusions puisqu’ils ont certainement les mêmes. Cependant pour manager une nation, de concert avec les managers voisins, il est indispensable de maîtriser un outil vital pour l’architecture de nos sociétés : « les éléments de langage ». Voilà ce qui organise nos vie depuis un peu plus d’un an, et franchement cela ne me dérange pas. Je l’ai déjà dit il n’y a plus de solution collective, il n’y a que des solutions individuelles. Personnellement pour être sauvé du Covid il a fallu que je rencontre un vrai médecin, qui m’a reçu, examiné et traité avec mon accord, je fus ainsi sauvé malgré parfois quelques manifestations de type rechute à minima, mais sans séquelle apparente à ce jour. Pour la vie économique c’est le même débat, il est urgent de s’extirper de l’organisation sociétale du moment car nos défis montrent bien qu’elle est devenue obsolète. L’idéal semble de s’expatrier en Patagonie; cela justifie de moyens colossaux puisque c’est l’éden des grands de ce monde. N’ayant comme beaucoup d’entre nous pas les moyens, la seule issue est d’être petite main des grands de ce monde, profitant à la fois de leur vanité et de leur incapacité à effectuer leurs propres services à la personne (ménage, cuisine, soins, conciergerie, conduite, jardinage ect…) Ce projet n’est pas glorieux mais je ne vois que celui-là pour quitter le masque, manger tous les jours en sécurité à moyen terme. Comme toujours il n’y aura pas ici de place pour tout le monde, même si ce projet est pitoyable, il sera moins aliénant que de ne manger demain que des insectes, croire au genre unique, compter l’autonomie de sa batterie pour ses déplacements, recevoir un vaccin 4 fois par an, ne connaître que la voix d’une presse transgressée, de ne voir la mer ou la neige que sur écran ect… Vous voyez Charles à chacun sa lucidité.
La solution n’est pas la vaccination mais reconnaître (enfin) qu’il faut traiter tôt. Cela risque d’être long car cela signifie la culpabilité de la quasi totalité des dirigeants actuels.
L’URSS n’est pas morte des plans quinquennaux, mais de la perte de liberté, et actuellement toutes les libertés sont étouffées.
« Vivre ce n’est pas attendre que les orages passent, c’est apprendre à danser sous la pluie ».Sénèque.
C’est l’éternelle fable de la cigale et de la fourmi, Charles lui il fait la fourmi.
Il faut s’inspirer de la nature et hiberner.
A propos de vaccination, les vaccinodromes… ça ne vous rappelle rien? Réunir des gens dans un stade pour les contrôler, pour les trier, leur appliquer un “traitement” …. certes sur une base volontaire (pour l’instant), ils pourront en repartir de leur plein gré, ils pensent que c’est pour leur bien, etc… Adolf va se retourner dans sa tombe !!! Il est né un siècle trop tôt ! HAHAHAHAHA
(Re)Lisez K. Schwab et vous comprendrez. De – en – de pétrole, robotisation, numérisation, sur-pollution, surexploitation des ressources, en si on laisse aller de + en + d’humains pollueurs à nourrir. Dans ma région on a dû abattre un cheptel de sangliers parce qu’ils étaient trop nombreux et trop prégnants pour leur ‘environnement. C’est EXACTEMENT la même chose pour nous. Quand j’explique ça à mon entourage privé ou pro on me regarde comme un chimpanzé devant une feuille d’impôt. Paraît que l’espèce humaine a développé une intelligence supérieure…. ben c’est pas gagné.
Abrutissement sociétal et éducatif dès le départ et voilà le résultat: des milliards d’abrutis scotchés devant leur Dieu écran, avalant les couleuvres, plutôt les boas constrictors que la propagande merdiatique leur impose. Ca va saigner. Quoique ceux qui vont se faire vacciner n’en auront peut-être pas le temps.
Mais oui Charles, n’ayons pas peur des mots, soigner = traiter et c’est bien ce que bien des pays non occidentaux font avec un certain succès quoi qu’en pensent et qu’en disent nos mamamouchis, au final il se pourrait que seul l’Occident dur périsse de son entêtement vaccinal pendant que les pays pauvres se referont une santé à coup de tisane d’artémisia. Ne sortiront de la crise que ceux qui ne s’y complaisent pas, ceci dit la vie n’en aura pas moins toujours un début, un milieu et une fin, les générations y pourvoient équitablement. Va falloir apprendre à accepter de mourir un jour mais cela n’est pas du ressort de nos mamamouchis. Merci pour vos analyses et votre humour indéfectible.
On sait qu’ils ont volontairement engendré cette crise avec la grippe narrée comme un virus digne d’être aussi dangereux qu’un virus d’un film catastrophe qu’ils nous montrent, afin d’instituer le NOM. Une fois débarrassés des 7 milliards de personne inutiles, il n’y aura plus de crise 🙂 Si vous voulez mettre un terme à cette crise créée pour les gueux,2 solutions : le réveil d’une population pour renverser toutes les institutions et les innombrables collabos ou l’armée en supposant que cette dernière veuille bien défendre l’intérêt constitutionnel de sa population. Sinon, nous ne vivrons pas jusqu’à la fin de cette crise 😀
Il existe une autre manière de s’apercevoir que la vaccination ne suffit pas :
I = e P + n (1-P)
I est le pourcentage d’immunité collective.
e est l’efficacité vaccinale.
n est l’immunité naturelle (pourcentage de gens ayant contracté le covid).
P est le pourcentage de gens vaccinés.
Première question : pour avoir 70% d’immunité collective avec un vaccin efficace à 80% et 20% d’immunité naturelle, il faut vacciner combien de gens ?
0,7 = 0,8 P + 0,2 (1-P)
P = 83 %
C’est plus que la population adulte…
2ème question : quelle est l’efficacité vaccinale minimale pour atteindre une immunité à 70% en vaccinant tout le monde ?
Alors là, c’est facile : on pose P = 1… donc 0,7 = e.
Si le vaccin est efficace à moins de 70%, vous pouvez toujours vacciner votre chien 😉
Au passage, l’efficacité e décroît avec le temps (ce qu’on peut modéliser avec une atténuation temporelle de P, c’est plus simple si vous voulez essayer – et vous convaincre définitivement qu’on se fiche de votre poire !).
Bon, le covid étant apparenté aux grippes, pour celles-ci il n’y a pas de fin, juste des mutations perpétuelles vaguement bordées, des vaccins parfois efficaces parfois non, mais des vaccins chaque année et depuis longtemps. Donc, pour le covid, monté en épingle mortelle et réductrice en libertés, que croyez vous?
Donc la crise est finie : on vit avec, c’est pas non plus un tueur.
D’autant que la vax tout azimut et dans les conditions actuelles est presque un non-dit de dépopulation massive.
Le non-dit des 1%, qui eux ne se vaccinent pas !
Bonjour Monsieur Sannat
Je partage votre analyse sur le grand retour du soin dans les mois qui viennent
Par contre, je ne me risquerais pas à faire l’apologie d’une ou plusieurs molécules
D’abord parce que ce n’est pas ma spécialité (et j’évite autant que possible de jouer au virologue ou à l’épidémiologiste de comptoir), ensuite parce que le temps est un juge farceur et qu’il semble que beaucoup des espoirs initiaux (hydroxychloroquine, ivermectine, colchicine, azithromycine, vitamine C et D, Zinc, graines de nigelle, etc) semblent peu à peu révéler n’être au mieux qu’inutiles, au pire nocives
J’aimerais avoir votre avis sur l’impact du télétravail sur la transformation de nos économies, sur l’immobilier, etc
J’avoue que je ne pensais pas que les comportements évoluent aussi vite, mais je constate, au moins dans mon domaine d’exercice ( ingénierie informatique), que de nombreuses offres d’emploi qui proposent du télétravail à 100% commencent à apparaître
Je me pose la question de l’ampleur du phénomène dans des domaines moins porteurs, et de l’impact que cela peut avoir sur l’organisation de nos sociétés, sur le marché immobilier et les prix de l’immobilier, sur les scpi de bureaux, etc
Je me fais peut-être des idées, mais j’ai l’impression qu’un mouvement est en train de s’amorcer
Après l’exode rural, le nouvel exode urbain?
Je partage vos conclusions, mais pas vos considérants. Vous nous parlez de l’existence d’une crise sanitaire : avec 0,45% de létalité soit un niveau inférieur à la létalité d’une grippe moyenne ce virus n’est pas encore si méchant. Donc ce n’est pas un pb sanitaire, mais une instrumentalisation de la crise sanitaire pour museler la démocratie, afin de faciliter le saut vers le Great Reset, soit passer du Capitalisme au Néo Féodalisme.
En conclusion, oui la crise n’est pas finie, mais pas pour les raisons invoquées.
Nb : Comme l’on suggéré des experts du GAVI, les campagnes de vaccination vont favoriser l’émergence de variants dont la létalité a de forte chance d’être supérieure à l’actuelle.
il est peut etre trop tard pour mettre ce commentaire, mais si c’est vrai c’est une bombe. Je vous le laisse a votre perspicacité:
https://www.francesoir.fr/videos-le-defi-de-la-verite/frederic-baugniet-au-defi-de-la-verite#disqus_thread
“L’épidémie de SARS-CoV de 2002 à 2004 a été endiguée mais nous parlons ici d’une volumétrie totale d’environ 10 000 cas. Les tests, les quarantaines et les confinements et les contacts tracing ont permis de mettre fin à cette épidémie.” Vous me ferez toujours rire avec vos croyances…
“L’une des grandes leçons de cette année de pandémie est que le monde doit fonctionner en compartiment étanche. Lorsqu’un pays est touché, il doit être mis en quarantaine.”
Elle est bien bonne celle là, alors vous croyez réellement que les virus arrêtent les frontières ? Un tel niveau de stupidité est digne des mamamouchis que vous décriez à plein gorge…
Pitié! pas encore la chloroquine !
“L’ensemble des analystes et des analyses partent du postulat que nous sommes face à une crise classique qui a un début, un milieu, un paroxysme et une fin avec une sortie de crise”.
Oh ! le vilain truisme… la principale fonction d’une analyse est de confirmer dans un brouillard de données les préjugés de l’analyste.
Quand une vision globale et un raisonnement par analogies permettent de cerner le problème, ce que Charles Sannat fait plutôt bien, du reste…
Il existe quelque chose de bien plus efficace que les vaccins pour lutter contre les maladies contagieuses, ça s’appelle le système immunitaire. Apprenez à l’entretenir et le renforcer et vous serez bien moins malade.
Les labo et les géants de la tech veulent transformer la nature, en remplaçant votre système immunitaire par tout un tas de potions, de cachets et d’injections qui vous évitent la mort…mais la mort c’est le lot de tous les êtres vivants. En fait ils veulent transformer les êtres biologiques en êtres artificiels, qui se font injecter des saletés, se font greffer des puces pour s’améliorer, mais sont incapables de tenir un raisonnement logique. Des zombies high tech quoi.
A noter que les enfants de l’oligarchie n’utilisent pas de téléphones cellulaires, de tablettes, et d’écrans divers, sauf à doses homéopathiques. Ils ne sont pas vaccinés non plus.
Allez savoir peut-être qu’ils ont conscience que tout ça ce n’est valable que pour les gueux…
Il y aura pourtant une une issue à cette crise: la ruine.
Parti comme c’est, j’imagine un scénario où le prix des matières premières se mettra à grimper, d’abord lentement, puis plus rapidement. Plusieurs scénarios sont possibles, mais faire rouler la planche à billets n’a aucune raison de fonctionner cette fois-ci, pas plus que chaque fois qu’on a essayé.
Inévitablement, nous allons à notre perte. On se retrouvera avec des millions d’inactifs (ou d’inutiles comme des fonctionnaires) qu’il faudra payer, et qui réaliseront alors qu’ils glissent vers la misère, plus ou moins lentement ou rapidement. C’est à ce moment-là, dans le désespoir que ça explose, et c’est rarement beau à voir, et encore moins à vivre.
Et pour la suite, reportez-vous à René Girard: “Achevez Clausewitz”. La “montée aux extrêmes” se mettra en place (rien à voir avec l’extrême-droite ou l’extrême-gauche), c’est-à-dire inévitablement une guerre, d’une manière ou d’une autre.