Ce que vous contemplez ci-dessous, ce n’est pas 40 siècles d’histoire comme a pu le dire Napoléon, mais la pyramide de Maslow qui définit et hiérarchise les besoins humains fondamentaux par ordre de priorité.
Le premier besoin consiste à combler les besoins physiologiques, comme manger… boire ou encore même respirer.
Une fois que vous avez le ventre plein, vous avez besoin de sécurité. SÉ-CU-RI-TÉ ! Ce qui veut dire que sans sécurité, aucune économie saine ne peut s’épanouir durablement, et je ne parle même pas de celles et ceux qui souffrent de la violence… Eux ne s’épanouissent pas du tout.
La sécurité est une nécessité, un besoin, et aussi… un droit humain fondamental !
« Selon la dernière enquête de victimation de l’Observatoire de la délinquance, 32 % des sondés disent avoir été les témoins d’au moins une infraction ces 12 derniers mois.
Le sentiment d’insécurité progresse à travers le pays au point d’atteindre son plus haut niveau historique. Désormais, plus d’un Français sur cinq (21 %) affirme éprouver une crainte et parfois de la peur dans le quartier ou le village dans lequel il vit. Soit, au total, 10,8 millions de nos compatriotes âgés de 14 ans et plus. C’est ce que révèle l’enquête annuelle de «victimation», conduite au premier semestre par l’Observatoire national de la délinquance et de la réponse pénale (ONDRP) auprès de 16 000 ménages interrogés en «face à face» lors du premier semestre. Selon ce document, pas moins de 43 % des sondés inquiets déclarent même «renoncer à sortir seuls dans leur quartier». »
Après, nous pouvons poursuivre la démagogie dégoulinante de bêtise, la réalité c’est que l’on se fiche bien de la couleur du brigand ou de sa religion ! Un vilain est un vilain, un bandit, un bandit. C’est aussi simple que cela.
Charles SANNAT
