Les défaillances d’entreprises en baisse de 40,1 % en janvier
“Alors que Bercy a annoncé la semaine dernière l’assouplissement du règlement de l’impôt sur les sociétés, le nombre de défaillances d’entreprises continue à diminuer sur un an en janvier, d’après la Banque de France. En fait, ce recul s’explique surtout par le contexte sanitaire et les aides de l’Etat.
Les défaillances d’entreprises en France ont diminué de 40,1 % sur un an au mois de janvier, a rapporté la Banque de France. Elle prévient cependant que cette baisse “n’indique pas une réduction du nombre d’entreprises en difficulté”.
Ce n’est pas une bonne nouvelle en soi, car la baisse est liée aussi bien à l’impact des restrictions sanitaires sur le fonctionnement des juridictions commerciales qu’aux “évolutions réglementaires” concernant “les dates de caractérisation et de déclaration de l’état de cessation de paiement”, rappelle la banque de France sans oublier l’ensemble des aides gouvernementales qui ont permis à nombre d’entreprises de gonfler leur trésorerie ou “de réduire ou retarder le paiement de certaines charges”.
Nous attendons toujours le “dégel” et le retrait des aides.
C’est à ce moment-là que les faillites exploseront.
Tant que l’Etat perfuse, les dégâts ne sont pas visibles.
Charles SANNAT
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Source La Tribune.fr ici
La majorité des petites entreprises n’ont pratiquement aucuns fonds propres et sont actuellement en survie .
Il y a aussi un effet d’aubaine pour un certain nombre de chef d’entreprises, qui non seulement ne seront pas en faillite, mais s’en sortent très bien avec 20% de leur CA et très peu de charges … On en parle pas mais c’est le cas de certains restaurateurs par exemple. Leur situation n’est pas facile à vivre pour autant, mais elle n’est pas si dramatique financièrement. C’est tout l’effet de notre système réglementé, centralisé qui distribue ou supprime sans analyse fine des situations.
Quitte à me répéter, tant que les charges seront “étatisées” (sécu-maffia), les entreprises auront le couteau sous la gorge. Cette crise sanitaire, artificiellement mise en place, montre bien les dérives et les incapacités d’une économie à gestion socialiste.
Et si….
Et si la perfusion durait ?
Et si les allègements, reports, simplifications duraient ?
Vous l’avez dit US + UE c’est 3 800 000 000 000 € pour arrondir…
D’où sort ce fric ? De la cuisse de Jupiter et alors ?
Alors rien
Je pense qu’il est temps de commencer à penser autrement vous autres économistes et ne plus jouer à vous faire peur.
Risque systémique = inacceptable
Faillites = inacceptable, car domino donc système
Conclusion : ?
Ses claques de ci de là, mais pas de quoi casser le système….
C’est pas possible car il n’y a pas de médiane entre l’orgie et le chaos.
Donc ça continuera encore et encore jusqu’à ce que les problème de zicoulogie, qui ont l’air de vraiment faire marrer remettent les nécessités physiologiques (tant méprisées par les gens si sérieux qui détiennent le pouvoir) au centre de l’échiquier…
Et là ce sera le chaos , les bas de laines ne serviront à rien et la colonisation de mars un vague souvenir…
Aller dansons !
et A la santé des placements…
il va disparaitre principalement des entreprises non financiarisé (pas en bourse). Et donc laisser des nouveaux marchés énorme pour les multinationales. Quel seront la possibilités des créer des PME après quand ceux qui sont censés les financés et les dirigés auront été ruinés et endetté a titre personnel ?
Les bars et restaurants fermés pour confinements, les cinémas et théâtres fermés pour confinements ne rouvriront jamais plus. Voilà ce que ne dit pas la banque de France, sans compter les commerces dont le CA a chuté et fermeront faute de trésorerie!
C’est vrai ce mensonge… de la banque de France!
Charles, QUAND aurez vous enfin le courage d’exposer LA vérité ? L’objectif du NOM n’est pas dans tout le baratin exposé !
Le monde devient fou. Nous vivons une crise sanitaire mondiale depuis bientôt un an avec un ralentissement généralisé de l’économie mondiale et le nombre de faillites diminuent. Tout fonctionne à l’envers … Nous sommes dans une autre logique, complètement déconnectée du réel. Le retour de manivelle risque d’être très très dur …
Le nombre d’entreprises en France a tellement diminué avec la mondialisation qu’ils n’en restent plus beaucoup susceptibles de faire faillite.
40% de la peau de chagrin, c’est ça ?