Alors que nous entrons dans une nouvelle phase de la “pandémie”, il va bien falloir se poser la question essentielle.

Sommes-nous face à un problème sanitaire durable ou passager ?

Si nous sommes sur un problème momentané et que nous pouvons enrayer l’épidémie par un confinement ou deux, alors l’idée de l’utilisation du confinement est une bonne idée, car elle est une arme de réduction des contacts sociaux et donc permet de réduire la circulation du virus. Le problème, c’est qu’un confinement doit être parfait, s’accompagner d’une fermeture durable des frontières comme le montre le cas de l’Australie ou encore de la Nouvelle-Zélande avec des mesures très strictes de quarantaine à l’entrée dans le pays. C’est nettement plus facile à faire en l’absence de frontières terrestres.

Si nous sommes confrontés à un problème au long cours alors, le confinement n’est pas une arme de temps long. Il est insupportable psychologiquement, contre-productif socialement, destructeur économiquement.

Si nous pouvions penser éradiquer le virus au départ, force est de constater, que nous avons au niveau de nos dirigeants mondiaux et pas que français globalement “merdé” dans les grandes largeurs.

Le virus a déjà muté à de multiples reprises. Il circule dans le monde entier. Il devient endémique.

Ceux qui disaient dès le départ, qu’il faudrait bien apprendre à vivre avec le virus semblent avoir raison dans les faits et c’est bien ce que semble nous montrer la réalité.

Le virus est là est pour longtemps.

Je n’ai jamais suivi le professeur Raoult quand il a dit que la chloroquine était la solution “miracle” dans sa vidéo intitulée “coronavirus fin de partie” parce que c’était un peu trop et si la chloroquine ne fait clairement pas le mal que certains de ses détracteurs voudraient faire croire, ses effets ne permettent pas de soigner tout le monde et tout le temps, mais ce n’est pas le sujet.

Le sujet c’est ce qu’il dit dans sa dernière vidéo, notamment à la fin, où il montre sa montre à 30 euros en exemple qui prend le rythme cardiaque, fait un électro, et prend la saturation en oxygène.

Lorsqu’il dit qu’il faut soigner, utiliser les technologies à notre disposition, mettre sous oxygène (pas en intubation), lorsqu’il dit qu’il faut tester, tracer et isoler, il a entièrement raison.

C’est ainsi que nous tiendrons contre le virus et avec le virus.

Oui, il faut autoriser tous les protocoles possibles et “malins” dans le sens où si cela ne fait pas de mal alors testons, soignons, à la chloroquine, comme à l’ivermectine et autres produits qui ont un intérêt.

Si cela ne fait pas mal, mieux vaut donner un peu que rien.

Et cela coûtera infiniment moins cher que les confinements.

Nous y arriverons par pragmatisme.

Plus nous y arriverons vite maintenant, mieux ce sera.

Il va falloir apprendre à soigner vraiment, plus qu’à vacciner.

Charles SANNAT

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