Comme nous sommes dans un monde devenu fou, dans un pays où d’abord il ne fallait pas porter de masque puis dans lequel vous êtes roués de coups par certains policiers si désormais vous ne les portez pas, puisqu’ils sont devenus obligatoires, cette information fondamentale est à la hauteur de notre naufrage collectif.

Nos infirmières n’avaient donc pas de masque, pas de blouse, pas de charlotte et de manière générale manquent à peu près de tout, y compris de temps pour leurs patients, mais désormais, elles sont pourvues en godemichets.

Voilà, puisque maintenant que les stations de skis sont ouvertes mais les remontées mécaniques fermées, les infirmières équipées de godemichets, mais sans blouse, c’est sûr, ça va mieux aller…

Charles SANNAT

 

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