Dans la nuit l’once d’or a dépassé les 1 700 dollars l’once.
Chez Joubert or (vous pouvez appeler de ma part), le Napoléon 20 francs or, cote presque 330 euros, le lingot s’échange à presque 51 000 euros…
Plusieurs pièces voient leurs cotations suspendues faute d’approvisionnement et de disponibilité.
Après plusieurs jours d’embolie sur le marché, l’activité reprend tout doucement pour le métal jaune bien que pour le moment les livraisons ou les retraits restent toujours impossibles confinement oblige.
Vous pouvez néanmoins passer des commandes, bloquer un cours d’achats, et espérer que le confinement prendra fin un jour. A ce moment-là vous pourrez définitivement déboucler votre opération en espérant que monde soit toujours debout. Si tel n’est pas le cas, vous aurez autre chose à faire que de courir après votre or, vous chasserez les raviolis dans la jungle urbaine.
Priviligiez évidemment, encore plus par les temps qui courent l’or physique.
Il y a beaucoup de façons différentes d’acheter de l’or.
De l’or papier sous forme de fonds ou de trackers qui reproduisent le cours de l’or côté à Londres ou aux Etats-Unis. C’est de l’or papier.
De l’or adossé à des cartes de paiement. C’est de l’or plastique.
De l’or en coffre chez des tiers ou en compte titre chez votre banquier… C’est de l’or électronique.
Si vous achetez de l’or pour spéculez faites ce que bon vous semble.
Si vous achetez de l’or à des fins d’assurance ultime pour votre patrimoine en cas de crash ou de terrible récession, disons-le, rien ne vaut l’or physique sonnant et trébuchant. Tout le reste, c’est de l’or que vous n’avez pas, c’est celui qui vous le garde qui le possède. Vous, vous avez une créance, un droit, un titre ce que vous voulez, mais vous n’avez pas votre or. A bon entendeur !
Prenez bien soin de vous, et de vos proches.
Charles SANNAT
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