Mes chères impertinentes, mes chers impertinents,

La lettre stratégie de Septembre est dans votre espace lecteur ici. N’oubliez pas, je n’envoie rien, il faut aller télécharger le document. En cas de problème écrivez-moi à [email protected]

Nous sommes en 1942, sous l’occupation nazi. Beaucoup ont du fuir, et beaucoup ont tenté l’aventure en Suisse. Si les passages clandestins en Suisse concernaient avant tout, les enfants juifs, ceux qui refusaient le STO ou les résistants trop recherchés et grillés, à la fin de la guerre, ce sera même le cas des collaborateurs sentant le vent tourner qui chercheront refuge dans les vallées de nos voisins suisses.

Si aujourd’hui, nous sommes en paix toute relative, rien ne dit, qu’un jour, poursuivi par une horde de zombies assoiffés de votre sang et de celui de vos enfants vous ne soyez pas contraints à nouveau de fuir.

J’ai donc profité du mois d’août sans édition quotidienne pour passer une partie de l’été en Suisse, mais avec un objectif clair. Aller sur les traces de celles et ceux qui persécutés prenaient la décision de fuir, et de passer clandestinement la frontière suisse.

Comment passer en Suisse discrètement ? Voilà une bonne question.
Comment ne pas avoir l’obligation légale de déclarer ses avoirs à l’étranger, voilà une autre bonne question !

Je parle ici, que de choses parfaitement légales bien évidemment, des possibilités qui nous sont laissées par la loi.

Cette question n’est pas aussi théorique qu’il n’y paraît.

Aujourd’hui, notre Etat fonctionne, l’administration administre, le gouvernement gouverne même s’il ne le fait pas exactement comme on voudrait qu’il le fasse, les pompiers pompent et policiers policent et globalement notre société, aussi imparfaite fonctionne.

Aujourd’hui vous pouvez passer les frontières facilement, faire vos déclarations « en ligne » dans votre « espace contribuable ».

Bref, tout fonctionne bien, mais un jour, de 1942, vous pouvez prendre la décision, légèrement contraint et forcé par quelques hordes nazis épaulées par des miliciens zélés, de fuir sur conseils de gendarmes parlant un peu fort (exprès) au comptoir du troquet, sur la descente prévue demain. Une des réalités ? Dénoncés 10 fois, prévenus 10 fois aussi… parfois hélas, dénoncés 10 fois mais prévenus que 9 fois. Arrestation, torture et déportation.

Le passage en Suisse fût pour certains, bien au-delà de l’argent, une question de survie.

Les Allemands n’étaient pas franchement des rigolos. Mais même l’armée allemande a échoué à contrôler parfaitement la frontière suisse qui est restée poreuse durant la guerre et qui le reste évidemment encore aujourd’hui.

L’or fut aussi, bien au-delà de sa valeur en soi, une question également de survie, car il a permis de payer quelques passeurs pour sauver sa vie ou celle de sa famille, mais aussi, de pouvoir s’installer de l’autre côté de la frontière, à l’abri.

Pour les citoyens européens, l’accès en Suisse est libre. Vous avez donc le droit (aujourd’hui) de traverser la frontière discrètement ou par quelques chemins de traverse sans enfreindre de loi, enfin dans l’état actuel de la législation. En effet, il n’y a pas de visa à obtenir, ou de passeport à faire tamponner.

Dans l’état actuel vous pouvez aussi positionner de l’épargne ou plus précisément pré-positionner de l’épargne en Suisse sans avoir dans certains cas très précis à la déclarer à l’état français et au fisc!

Je vous l’ai dit, il n’est ici question que de choses légales. Sinon cela serait sans utilité

Mais alors par où passer en Suisse facilement ? C’est ce que vous découvrirez en image et en vidéo dans la lettre STRATEGIES du mois de septembre qui est disponible dans votre espace lecteur sur le site insolentiae.

Vous allez le découvrir en vidéo, car cet été, je suis allé arpenter pour vous quelques coins peu connus de France, des coins un peu perdus, qui ont une spécificité, ils sont collés à un autre pays, la Suisse !

Vous comprendrez également aisément, que le contrôle aux frontières est une vaste plaisanterie sécuritaire sans des effectifs très importants que nous n’avons plus évidemment. Nous sommes donc bien incapables d’assurer une surveillance réelle des entrées et autres sorties dans notre pays.

J’en ai profité pour rencontrer Piero San Georgio LE survivaliste francophone

Piero San Georgio est certainement LE survivaliste le plus connu et aussi le plus critiqué dans la francophonie.

Il est “l’inventeur” du concept de BAD ce qui signifie “base autonome durable”. Il est l’auteur de l’ouvrage de référence “survivre à l’effondrement économique”, un ouvrage évidemment à lire, indépendamment de ce que l’on pense du “survivalisme”.

Au départ son analyse est fondamentalement économique et c’est ces inquiétudes économiques qui vont le mener à développer son axe survivaliste. C’est cet ouvrage véritable succès de librairie qui l’a fait connaitre.

Cette rencontre a donné lieu également à une vidéo de plus d’une heure où Piero San Georgio donne ses conseils pour se préparer à des ruptures importantes de la normalité.

Ce que j’ai souhaité faire?

Pousser la logique plus loin. Souvent on me demande “d’accord, cela va mal, et concrètement que peut-on faire?”

Souvent dans cette question, il y a toute l’impuissance, le déni parfois, et souvent l’incapacité de commencer à prendre des décisions de celles et ceux qui me la pose, comme un reproche.

Tout d’abord, je n’y suis pour rien si les choses vont mal. Ensuite, je ne prétends jamais détenir la vérité ou vous assener avec certitude ce qu’il faut que VOUS fassiez. Je ne suis pas vous. Nous sommes tous responsables de nos décisions, ou de notre absence de décision.

Je ne peux faire que deux choses.

Vous prévenir et vous alerter, mais aussi, alimenter votre réflexion, et vous montrer ce que certains peuvent faire, aussi bien sur leur gestion patrimoniale, que sur leur employabilité ou encore sur une préparation pour une résilience plus importante.

Ce que je veux vous montrer c’est qu’il n’y a aucune fatalité. Aucune.

Vos décisions et vos réflexions feront la différence. Et c’est valable pour tous les paramètres de notre vie qu’elle soit professionnelle, amoureuse etc. Vous pouvez choisir où vous vivez, votre travail, ou encore les compétences que vous aller acquérir. Vous pouvez choisir un pays différent, une autre ville. Vous pouvez choisir de dépenser ou d’épargner. Ici, ou là-bas.

Mais l’ampleur de la tâche paraît parfois insurmontable, tellement insurmontable, que la tentation naturelle, est souvent, surtout… de ne rien faire!

C’est pour vous aider et vous accompagner, que j’ai réalisé cette lettre STRATEGIES “Effondrement et préparation, comment passer en Suisse comme en 1942” et toutes les autres, sont rédigées, construites et pensées dans le même esprit.

En vous abonnant, vous aurez évidemment accès à cette lettre (et celles des 12 prochains mois), mais aussi aux archives de toutes les lettres STRATEGIES déjà parues. Pour en savoir plus c’est ici.

Il est déjà trop tard, mais tout n’est pas perdu. Préparez-vous !

Charles SANNAT

« Insolentiae » signifie « impertinence » en latin
Pour m’écrire [email protected]
Pour écrire à ma femme [email protected]

Vous pouvez également vous abonner à ma lettre mensuelle « STRATÉGIES » qui vous permettra d’aller plus loin et dans laquelle je partage avec vous les solutions concrètes à mettre en œuvre pour vous préparer au monde d’après. Ces solutions sont articulées autour de l’approche PEL – patrimoine, emploi, localisation. L’idée c’est de partager avec vous les moyens et les méthodes pour mettre en place votre résilience personnelle et familiale.

« À vouloir étouffer les révolutions pacifiques, on rend inévitables les révolutions violentes » (JFK)

« Ceci est un article ‘presslib’, c’est-à-dire libre de reproduction en tout ou en partie à condition que le présent alinéa soit reproduit à sa suite. Insolentiae.com est le site sur lequel Charles Sannat s’exprime quotidiennement et livre un décryptage impertinent et sans concession de l’actualité économique. Merci de visiter mon site. Vous pouvez vous abonner gratuitement à la lettre d’information quotidienne sur www.insolentiae.com. »

Please complete the required fields.