Finalement, vous savez, la Grèce, cela devait aller beaucoup mieux. Et puis comme prévu, mais il ne fallait pas le dire, ce n’est plus le cas !
On apprend par cet article d’Euractiv que “le gouvernement grec a drastiquement réduit ses prévisions de croissance pour 2017, dans la foulée des nouvelles mesures d’austérité imposées par ses créanciers.
La croissance grecque va dégringoler sous le coup d’une nouvelle vague de mesures drastiques d’austérité. Ainsi, le gouvernement grec a revu à la baisse ses prévisions de croissance, qui sont passées de 2,7 % à 1,8 % du PIB pour 2017.
Une dégringolade plus pessimiste que ce que prévoit la Commission, qui misait sur une croissance de 2,1 % en février dernier. La modification est apparue dans la proposition de budget pour 2017-2021 présentée au parlement le 13 mai au soir.
La Grèce prend ainsi compte des mesures d’austérité exigées par ses créanciers dans le cadre d’un renflouement controversé, qui inclut notamment l’augmentation des impôts, même pour les citoyens grecs qui frôlent le seuil de pauvreté.”
Charles SANNAT