Franchement, même si rien ne “remplace” le sérieux d’une étude scientifique, le “pifomètre” et le bon sens permettent aussi le plus souvent de gagner du temps et de tirer certaines conclusions qui ne sont pas “hâtives” mais biens réelles !

Je sais pertinemment que quand il fait beau, que les filles sont belles (je parle de ma tendre épouse évidemment), que les oiseaux chantent et que la douceur printanière est là, la motivation pour rester derrière un bureau et un écran d’ordinateur faiblit à très grande vitesse.

Dit plus sérieusement, cela donne ça : “Selon une étude universitaire, le mauvais temps empêcherait les employés de penser aux distractions et ainsi de se concentrer sur son travail.
La déprime due au mauvais temps ne nous rendrait pas pour autant moins productif.
C’est le printemps et avec lui l’espoir de belles journées ensoleillées… et le risque de moins bien travailler.

Les chercheurs Jooa Julie Lee, Francesca Gino (Harvard) et Bradley Staats (University of North Carolina), ont mené leurs recherches en deux temps, rapporte BFM Business. Dans un premier temps, ils ont comparé les données sur deux ans d’une banque japonaise, montrant le nombre de dossiers que traitaient chaque jour les 111 employés, à la météo de Tokyo durant cette période. Conclusion : plus le temps était maussade, plus leur productivité était importante car ils ne pensaient pas aux distractions de plein air.”

Bon, en gros, si vous voulez des gens qui bossent et productifs, ne lancez pas votre entreprise en Espagne ou en Grèce… ni à Marseille (désolé pour mes amis marseillais)… mais dans le Nord, le Grand Nord… Et c’est ainsi que l’on comprend aussi un peu mieux la compétitivité allemande… Fait tellement moche là-haut que l’on ne peut pas rivaliser !

Charles SANNAT

Source Boursorama ici

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