L’année dernière, tout le monde voulait des drones. C’est vachement bien un drone.
C’est indispensable de posséder son propre drone.
Pourquoi ?
Je ne sais pas, mais c’est quand même bien.
Pourquoi ? Utilité marginale du machin ?
Eh bien justement, après s’être envolée très haut, l’industrie du drone de loisir revient sur terre.
Ce qui est inutile ne se vend pas longtemps.
D’après cet article, les drones dits professionnels, eux, se portent comme un charme.
Logique. Prise de vue en hauteur, ou usages techniques divers et variés allant de la surveillance à la détection de pannes, les usages précis des drones ne manquent pas.
Il est finalement rassurant de voir que parfois, les choses peuvent reprendre leur juste place.
Nous ne sommes pas tous obligés de posséder une piscine chauffée, le dernier i-bidule à 1 500 euros ou encore le drone volant !
La simplicité volontaire reste le meilleur moyen pour parler réellement d’écologie, de protection de l’environnement, et pour lutter pacifiquement contre ce système totalitaire marchand qui vous fait croire que vous avez besoin d’un tas de choses inutiles que vous ne pouvez pas vous payer.
Commençons par inciter le plus grand nombre à couper la télé.
La seule différence entre 1984 d’Orwell et aujourd’hui, c’est que dans le monde de 1984, vous ne pouviez pas couper le télécran lobotomiseur d’état obligatoire.
Couper la télé c’est se libérer notamment du marketing, des publicités et de la fabrique massive à forger le comportement attendu par le système.
N’oublions pas la citation du célèbre prix Nobel de l’humour, Coluche : “Suffit de pas acheter pour que ça se vende pas !”
Charles SANNAT
Source Ouest France ici
